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Voila une vieille technique remise au gout du jour pas nos amis Suisses:
Pas de colles mais solide et simple.
http://www.crit.archi.fr/produits%20inn … ation.html

Très intéressante technique, et très intéressant site aussi !
complètement dénudé d'intérêt. Le rapport performance/matière consommée est ridicule
j ai vu le procédé il est fait pour servir de coffrage perdu a une dalle en béton en gros cela remplace les hourdis, il y a un bureau d étude en france qui s'occupe de ce procédé
mais si c est pour faire du plancher massif porteur il y a une société française qui fabrique de plancher de camion et vous fait donc du plancher en lamélé collé de 20mm d épaisseur à 60 mm d épaisseur en largeur de 30 cm sur des longueur pouvant aller jusqu a 11 m à des prix départ de 1.20 €uros le mm/m²
20 mm d épaisseurs 24 €uros Hors taxe
complètement dénudé d'intérêt. Le rapport performance/matière consommée est ridicule
Vous avez lu au moins l'article ?
Alors comme ca les Suisse sont ridicules a utiliser ce procédé…completement denué d'interet selon vous…
Vous avez lu au moins l'article ?
A.L. Vous faites encore dans la fantaisie. Avez vous lu l'article? Vous qui savez tout !
La franchement les pros vous me faites marrer
![]()
Faut evoluer, sortir des chemins battus.
moi tout seul dans mon coin, je suis pas un pro, ni un particulier avisé. Donc, au lieu d'aboyer, si tu pouvais m'expliquer pourquoi cette technique a de l'intérêt et pourquoi ce n'est pas ridicule, ça ferait avancer le débat, et enrichirait ma lanterne.
et puis tu sais, le monde sans fantaisie serait d'un chiant… moi j'aime bien l'idée qu'on puisse mettre chez soi un plancher de camion. je dis bien "l'idée".
ca y est vous cherchez la bagarre car vous etes un puit de science un découvreur de nouveau talant vous avez fait une decouverte sensationnelle
LE PLANCHER COLLABORANT
QUEL trouvaille!!!!
vous appelez cela de l évolution, c est un peu comme si demain je vous disais j'ai trouvé un mode de locomotion sensationnelle " le moteur a crotin"
ça existe , mais rien de bien nouveau
et surtout on a pas besoin des suisses faite sur un moteur de recherche "plancher collaborant" et vous aurez des tas de solutions… qui ont toutes faites leur preuve mais en fin de compte on été abandonné on pourrait dire que c est interessant pour éléminer ou utiliser les chablis
je ne parle pas de ce produit spécialement je dis qu un bureau d étude ( j'ai été en relation avec celui ci proposait la meme chose ) alors arretez de vous prendre pour une science infuse et un découvreur de nouveauté, je pense que Jean Francçois à certainnement plus d attitude à juger du bien fondé de cette technique, je vais prendre le temps de rechercher…
Les planchers en bois lamellé sont composés de planches de qualité inférieure ayant des propriétés mécaniques variables et provenant de bois de pays disponibles en grande quantité. Ces planches sont posés sur chant et jointives. L’assemblage peut-être réalisé par clouage, par vissage ou par collage.
La distribution repartie des joints des planches à leurs extrémités et la rigidité du système permettent de franchir des portées supérieures à celles des plancher à solivages (3 à 8 m).
Les planchers en bois lamellé ne sont pas déformables dans leur plan. Ils participent au contreventement des murs. La massivité du bois ainsi que ses caractéristiques thermo-hydrogrométriques permettent aux planchers en bois massif d’apporter une bonne réponse au confort thermique d’été et au traitement acoustique du local.
La sous-face du plancher est généralement finie et ne nécessite pas la réalisation d’un plafond complémentaire.
Afin d’améliorer l’isolation phonique, les planchers peuvent recevoir en partie supérieure des couches complémentaires ( panneaux en bois, plaques de plâtres pour sol, chapes en béton…) formant un plancher flottant.
Les variations dues à l’humidité et en particulier le retrait des planches sont toujours un problème important à prendre en compte. Ce mode constructif induit une gestion rigoureuse du chantier (pas d’exposition prolongée à l’humidité.)
On peut aisément réaliser des porte-à-faux dans le sens de portée des planches. Les planchers en bois lamellé se prêtent bien à la réalisation de planchers mixtes bois et béton.
Cette technique est également utilisable pour réaliser des parois verticales porteuses.
et sortir des "chantiers" battus oui mais qui c était"i" qui paye??? ah vous le maitre d ouvrage formidable mais alors ne demandez pas des prix aux artisans on peut tapper dans le portefeuille formidable, on peut donc construire a 5000 euros le m² sensas…
jfquillacq a écrit :complètement dénudé d'intérêt. Le rapport performance/matière consommée est ridicule
Alors comme ca les Suisse sont ridicules a utiliser ce procédé…completement denué d'interet selon vous…
Vous avez lu au moins l'article ?
Oui, je l'ai lu.
En premier lieu, je vous serais reconnaissant d'éviter de me faire dire que les Suisses sont ridicules ; j'ai seulement parlé du rapport performance/matière consommée.
Le professeur Natterer est suffisament connu et a assez contribué au développement de la construction en bois pour se permettre ce genre de fantaisie.
Il y a pas loin d'une dizaine de techniques différentes, plus ou mons brevetées, de plancher mixtes bois/béton. Il n'y en a pas beaucoup qui se généralisent, essentiellement en raison d'un prix souvent pharamineux. maintenant, si ça vous intéresse vraiment, jai les moyens de vous faire une étude technique concrète (faut bien vivre).
Pour en revenir à l'article, il manque un peu de rigueur. On commence par parler de "nouvelle technique" (ça coco, c'est tendance), pour indiquer tout de suite après que le procédé est multi séculaire…
Ensuite, on parle de planche de longueur limitée et de bois de faible qualité. C'est peut-être acceptable pour les murs, en aucun cas pour les plancher collaborants. Jusqu'à preuve du contraire, les réalisations qui n'ont pas subi de déboires sont en bois haut de gamme, aboutés par entures, séchés et calibrés, du moins pour celles dont j'ai eu à connaitre.
L'article dit également (dans la partie "technique")que la répartition homogène des efforts dans les aboutages est assuré par un clouage (simple cisaillement) à 25 cm en quinconce : ça, c'est carrément du pipeau.
Messieurs, soyons constructifs, dans tous les sens du mots. Voici ce que j'ai déniché pour alimenter la discussion (n'oubliez pas de télécharger le fichier PDF, il y a des choses très intéressantes à lire et voir) :
http://www.le-bois.com/fiches_technique … riquee.asp
http://www.le-bois.com/fiches_technique … que_fr.pdf
Bonne lecture
C'est marrant, personne n'a noté deux choses qui pour moi sont primordiales dans ce procédé:
- Pas de colles, pas de produits toxiques, pas de forlmaldehyde, ca ca compte !
- Valorisation des bois de petites section, ca permet d'utiliser noblement des bois qui autrement seraient voués a etre utilisés en chantiers puis jetés et brulés. Meilleure utilisation de la filiere bois.
D'un point de vue ecologique, ca compte pour moi. Dommage que personne d'autre n'ai relevé ce point.
Dans le meme ordre d'idée, il a ete rapporté recement sur ce forum de bois lamellés collés par simple frottements puis pression sans colles ni clous....et actuellement en voie de certification et encore par les Suisses.
- Pas de colles, pas de produits toxiques, pas de forlmaldehyde, ca ca compte !
Tout dépende de ce qu'on veut optimiser. Les seules TRES bonnes colles structurells sont à bases de résines (époxy, polyuréthane, résorcine, mélamine-urée-formol). On trouve ensuite des colles plus "naturelles" (mais pas forcément moins suspectes sur le plan de la toxicité) genre colle d'os, colle de poisson, qui pourraient avoir des performances pas trop éloignées, mais qui sont prohibées en structure parce que réversibles (à l'eau ou à la chaleur).
Et puis il y a le clouage, qui est au collage ce que la star'ac est à l'Opéra.
- Valorisation des bois de petites section, ca permet d'utiliser noblement des bois qui autrement seraient voués a etre utilisés en chantiers puis jetés et brulés. Meilleure utilisation de la filiere bois.
ça, c'est de l'utopie. on n'améliore pas les caractéristiques intrinsèques d'un bois en l'incorporant dans un produit élaboré. Si vous faites du lamellé collé avec des bois de second choix, vous obtiendrez un lamellè collé de troisième choix.
autre exemple : n'importe quelle planche à palette est (à épaisseur égale) 5 fois plus résistante qu'un morceau équivalent de panneau de particules (ça n'enlève rien aux autres propriétés du panneau de particules)
bois lamellés collés par simple frottements puis pression sans colles ni clous....et actuellement en voie de certification et encore par les Suisses.
donnez moi un lien, parce que pour moi, c'est encore au stade du labo de recherche pour plusieurs années.
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