que de bla bla pour pas grand chose, 
les liteaux,  cela dépends des régions , pour commencer en val de loire par exemple la plupart des maisons "ancienne" sont en peuplier et pourtant un peuplier ça pousse en 30 ans,  meme les charpente sont en peupliers,  un bois du moment qu il est au sec, restera dans sa qualité premiére
vous parlez du cedre rouge comme ci c était la pannacée…  faire venir du bois du canada, est une héresie, en soit, surtout au niveau écologique, pas certain qu'un parpaing fait sur place (je parle d 'un aggloméré de ciment) ne soit pas plus écologique.. donc laissez le bois cannadien au canadien,
vous pourriez m expliquer pourquoi en autriche on trouve des bardages naturels en épicéa..
quant à une maison, l oueuvre d une vie, oui mais pas plus,   

quant à une société qui ferait tout,  c est un bon concept mais , pas facile de trouver un electricien qui fasse charpentier , ou un couvreur, qui fasse carreleur.

et puis je pense que dans votre exemple vous parler de maison standart pas de maison d architecte, le quel architecte  change d idée à chaque réunion de chantier, une idée l ayant illuminée dans la nuit précédente…

C'est effectivement beaucoup de blabla et d'enfoncement de portes ouvertes !!! Petit détail : nous sommes en France et pas en amérique du nord. Certes nous utilisons le "standard canadien" mais uniquement en ce qui concerne les dimensions et autres caractéristiques dimensionnelles. Pour le choix des bois de structure et de parement, nous avons tout ce qu'il nous faut en europe et plus précisément en France. Et nous avons de bons constructeurs et charpentiers pour mettre tout çà en musique. Point besoin des canadiens même s'ils sont par ailleurs très sympa avec leur drôle d'accent.

Bonjour et petites précisions,

D'abord pour Monsieur Landry; il est vrai de dire que pour les liteaux celà dépend des régions. Toujours est-il que nous avons mentionné à plusieurs reprises «à titre d'exemple», afin de permettre à ceux qui sont à des réflexions et pour qui ça convient, d'éviter des erreurs en partageant un savoir qui amène à des réflexions. Le cèdre est une essence de bois et il est victime de se situer là où il pousse le mieux. Il n'a pas de nationalité; c'est un arbre de notre planète et il possède de grandes qualités, tout comme d'autres. Donc vu sa capacité de s'acquitter de la tâche d'être un liteau, la seule vrai question serait plutôt; comment puis-je en obtenir et à quel prix, ou encore; quelle essence m'offrirais ces propriétés dans mon marché local. Si vous êtes à la recherche de composantes qui sont en mesure de faire le boulot, il serait assez sage de viser les propriétés recherchés et de comparer avec ce qui existe car on trouve souvent d'excellents matériaux à des prix auxquels on aurait jamais cru.

Pour la question de l'hérésie, et bien elle est bel et bien commencée depuis des décennies M. Landry car le Canada (comme d'autres pays) est un grand exportateur de bois.  Nous exportons nous mêmes sur la France et pour plusieurs essences, même avec les frais de transport le prix à l'arrivée est moindre que celui que celui qui se paie sur place, y compris en ajoutant la célèbre taxe de 19,6%. Nous sommes donc portés à croire que l'exportation est un commerce qui fonctionne bien dans toute son hérésie; le bois canadien entrant sur la France, entre autres,  à plein navire depuis longtemps, tout comme pour les arrivages d'Amérique du Sud et de l'Afrique.

Il y a certes d'excellentes entreprises de construction en France et de toutes aussi bonnes partout sur la planète, toutefois, tout comme ici en Amérique du Nord, il s'en trouve aussi de moins bonnes et même des non recommandable. De là l'idée de vous suggérer de regarder du côté de ceux qui savent faire et de vous donner, suivant nos connaissances, quelques critères qui pourraient vous aider dans cette démarche.

Question écologie, tout au contraire M.Landry, il est de fait qu'une construction bois est infiniment plus écologique que l'utilisation du béton. Vérifiez comment un arbre vit et emprisonne le carbone contenu dans l'air. Vérifiez aussi la quantité d'énergie consentie à la production du béton et celle également pour en disposer une fois démoli; cette valeure figurant parmis celles qui sont les plus préoccuppante à l'échelle planétaire, «l'énergie grise».

On qualifie d'énergie grise celle qu'on ne tient généralement pas en compte lorsqu'on se sert d'un objet quelconque. C'est la somme de: l'énergie de production de cet objet; l'énergie qu'il a fallu pour le transporter jusqu'à son endroit d'utilisation; l'énergie qu'il faudra pour sa démolition et sa préparation à un futur recyclage; l'énergie qu'il faudra pour dépolluer l'environnement en cas de non-recyclage ou en cas de sa transformation, au cours de son existence, en substances gazeuses dégagées inopinément dans l'atmosphère. Consommer le moins possible d'énergie grise est une règle de base, relativement simple à suivre et qui garantit de satisfaire à la fois la préoccupation écologique et le souci d'autonomie.

Pour la longévité d'une construction MOB, oui celà dure toute une vie et bien plus. Bon nombre de constructions bois sont multi centenaires et font encore l'orgeuil de leurs propriétaires actuels; les fondateurs d'origine ayant eux, les os blanchis par le temps.

Concernant la polyvalence des travailleurs de la construction; de fait un menuisier est parfaitement capable d'exécuter; formage + ferraillage+ coulée des fondations & dalles + montage structure + toiture + zinguerie + isolation, insonorisation + placo plâtre + pré filage électrique (branchement par l'électricien) + passage de la plomberie (sans raccordement)+ pose d'armoires, comptoirs, escaliers et rampes + carrelage + parquets + systèmes d'échangeur d'air + biens d'autre choses encore. Toutefois nous parlons ici d'un menuisier de bon calibre,  formé et expérimenté dans l'industrie canadienne de la construction. Nous pensons donc qu'il n'y a pas de réelle limite à l'apprentissage autre que celle que chaque personne se fixe à elle même. Le talent fait rârement du tort, quant à l'ignorance, nous n'avons pas constaté qu'elle symbolise la performance ni l'innovation.

Ce qui est à retenir c'est que plus l'équipe se compose de gens polyvalent et talentueux, moins ça vous coûte cher. Toutefois nous sommes d'accord avec vous de dire que le carreleur ne pourra pas faire les branchements électriques, par exemple!.

Concernant l'Autriche, nous n'avons aucune connaissance dans ce marché et de l'utilisation des essences. Nous savons parcontre qu'aussi, dans certains pays d'Afrique certaines toitures se composent d'un mélange de feuilles de bananiers, ce qui ne dit rien sur la résistance du toît face aux intempéries mais laisse largement d'espace pour comprendre l'innefficacité du dit matériel.

Pour parler de l'architecte, à moins de construire une résidence de calibre olympien sur un terrain sans études de sol, il n'y a pas de raisons pour que ce dernier change d'idées comme on change de chemise. Une maison bien pensée en fonction de son implantation et de la réglementation  n'a pas à subir de modifications en cours de route; du moins ça fonctionne comme ça ici et sur tout chantier élaboré par un vrai professionnel.

Errer dans le questionnement est plutôt l'appannage des amateurs qui ont mal prévu le coup et tente de récupérer la situation. L'une des plus belle constructions qu'il m'a été donné de voir fut une maison qui borde le Léman et où le coût final fut de l'ordre de 54M de francs Suisses. Conçu également par un architecte compétent; nous n'avons pas observé de modifications en cours de route, tous savaient quoi faire sur ce chantier et malgré un grand nombres d'équipes, ce chantier à bien tourné tout au long de son cheminement.

Ce qui est essentiel de comprendre c'est de ne pas se limiter à une seule façon de faire ni à un seul produit. Il faut construire non seulement écolo mais logiquement et essayer de maximiser son investissement. La malfaçon est en soi un manque de professionnalisme et reflète un degré d'ignorance auquel se rattache un coût. Nous croyons qu'en en sachant le plus possible, les «j'aurais dû » seront moins nombreux en bout de course.

Presque tous savent que bon nombres d'entreprises font assembler leur composantes dans d'autres pays que celui dont elle originent. La raison est simple et découle de la mathématique la plus rudimentaire. Le coût le moindre pour la même qualité ou plus.

Donc continuez dans vos recherches, il y a fort à parier que vous y trouverez votre compte pour votre plus grande satisfaction.

Si vous avez des questions plus pointues, il nous fera plaisir d'y répondre dans le mesure du possible et au meilleur de nos connaissances.

Bonne continuité à tous!

Bonjour M.Merlin.

Le cèdre rouge de l'ouest porte le nom de Thuya géant.

Voici sa description en résumé.

Feuille : Écaille vert jaunâtre et luisante.
Branche/Rameau : Rameau aplati en forme de fronde (feuille) de fougère portant des écailles.
Cône : Cône ovale d’un peu moins de 2 cm, vert pâle à l'état jeune et devenant brunâtre à maturité.
Écorce : Brun rougeâtre, fibreuse, se divisant en lanières étroites.
Taille :  Pouvant atteindre 60 m de hauteur, tronc élargi à la base en contrefort, cime conique.
   
Autre :   Il peut mesurer jusqu’à 6 m de diamètre.
   
Écologie:  Vit dans des milieux très humides.

Histoire : Les Amérindiens sculptaient des totems et confectionnaient des canots avec son bois.
   
Fait intéressant :   Peut vivre durant près d’un millénaire.

Particularité : imputrescible

Là il s'agit du thuya plicata  (il a d'autres "cédres" au Canada)
les amérindiens y sculpte toujours des totems (Pris en compte dans les études d'impact avant exploitation de la forêt)
L'utilisation du WRC n'est pas approprié en charpente ou ossature en France (coût)
Le WRC n'est pas imputtrescible il est classe 3 point barre

Il est sensible aux termites et à quelques attaques.

A part cela, en France, c'est un excellent choix pour le bardage.