Bonsoir,
Nous avons décidé de construire une MOB, avons le terrain et choisi un archi.
Nous souhaiterions un bardage naturel, mais, les quelques constructeurs contactés, et également l'archi, nous mettent en garde sur l'esthetisme lors du viellissement du bois, et l' entretien. Par ailleurs, j'ai pu lire à différente reprise qu'un entretien à l'huile de lin une fois tous les 4 à 7 ans était suffisant (en particulier pour le red cedar)
Pourriez vous me faire part de vos experiences en fonction des bois ? Meleze; Douglas et red cédar ?
Existe t-il d'autres essenses avec des qualités intéressantes ?
D'avance merci pour vos lumières.
Laurent
vous voulez qu il soit naturel laissé le griser sans rien faire, car de toutes façons il grisera, avec ou sans huille de lin , et de façon irréguliére si vous mettez de la poudre de perlinpinpin.... ou tout autres produits, par contre pensez a l ap2 de chez durieu…
au niveau meleze j ai la possibilité d avoir un produit de belle qualité en provenance d autriche
Je vais être un peu dur !
Si vous n'aimez pas que le bois grise, évitez le bois.
oui c est un peu ça
et pour le douglas demandez le traité a coeur en naturel ou traité a ce que vous voudrez mais traité,
Merci pour ces infos, pour en avoir rediscuté aujourd'hui avec l'archi, il me conseille si nous le pouvons de rester sur du red cedar
Affaire à suivre
le red cedar n'est pas le meilleur choix notamment d'un point de vue environnemental puisqu'il vient du canada..;alors que le douglas est depuis plusieurs siècles un bois élevé en france.
pour cette raison notamment nous avons opté pour cette essence en thermo huilé.
oui pour le douglas mais traité par contre plusieurs siecles;..
il a été introduit en france en 1842 donc a peine un peu plus de un siécle et demi… donc comme a 100 ans il fait environ 3 m de circonférence vous comprendrez que les douglas que l on trouve sur le marché ne sont principalement que des bois de pousse rapide a peine mature… dont la fragilité des bois, et son aubier à peine voilé (trainé blanche sur les bord du bardage , l aubier disait les anciens , c est pas du bois, et ça pourri dans les trois ou quatre années si celui ci n est pas traité,
donc traitons le, p
pour ce qui est du red cedar on est a peu prés pareil , on n est dans des bois jeune qui ne sont pas mur et plus la demande est importante moins bonne sera la qualité
donc a tout prendre prenez donc du douglas thermo huillé
oui pour le douglas mais traité par contre plusieurs siecles;..
pour ce qui est du red cedar on est a peu prés pareil , on n est dans des bois jeune qui ne sont pas mur et plus la demande est importante moins bonne sera la qualité
Tordons le cou aux idées reçues.
Les coupes de red cedar se font sur des bois "anciens" (250 à 400 ans)
les bois plantés vers 1900 sont loin d'étre exploitables
Les études d'impact avant les coupes sont EXEMPLAIRES et devraient nous servir de modèle
les réhabilitations des sites sont réelles (plantations effectives avec des plants issus de graines de l'endroit), destruction et replantation des pistes …
le red cedar est un vrai classe 3 sans traitement, le Douglas français c'est du bois de "pipeau"
NB le Douglas c'est du pin d'Orégon. poussant à toute vitesse.
vous etes quoi " canadiens" ou pro canadiens, vous devriez allez faire un tour au canada, des arbres qui ont 400 ans doit pas en avoir des masses…;
le canada n a que depuis trés peu de temps un politique de reboisement,
et vous pourriez m expliquer pourqoi les canadiens, les vrais pas les " folklorique du salon du bois d angers, viennent en france et en europe pour acheter du bois… vous avez certainnement une expliquation, la mienne , enfin celle de ceux que j'ai rencontré , c est un manque de bois " au canada…
alors laissez le bois candien au canadien, entretenez vos maisons et vos bardage ou sinon restez locataire, avoir une maison ca se mérite, et ça s entretien,
expliquez moi cela
Une norme régionale a été développée pour la C.-B., mais son utilisation n'a pas encore été approuvée par le FSC International. En conséquence, peu de certifications du FSC ont été obtenues à ce jour.
cb colombie britanique et oui on se congratule mais peu d effet , alors avant d avancer des choses…
vous etes quoi " canadiens" ou pro canadiens, vous devriez allez faire un tour au canada, des arbres qui ont 400 ans doit pas en avoir des masses…;
le canada n a que depuis trés peu de temps un politique de reboisement,
et vous pourriez m expliquer pourqoi les canadiens, les vrais pas les " folklorique du salon du bois d angers, viennent en france et en europe pour acheter du bois… vous avez certainnement une expliquation, la mienne , enfin celle de ceux que j'ai rencontré , c est un manque de bois " au canada…
alors laissez le bois candien au canadien, entretenez vos maisons et vos bardage ou sinon restez locataire, avoir une maison ca se mérite, et ça s entretien,
expliquez moi cela
Une norme régionale a été développée pour la C.-B., mais son utilisation n'a pas encore été approuvée par le FSC International. En conséquence, peu de certifications du FSC ont été obtenues à ce jour.
cb colombie britanique et oui on se congratule mais peu d effet , alors avant d avancer des choses…
Des tours en Colombie britannique j'en ai fait,
TOUS LES RED CEDAR coupés jusqu'à ce jour, le sont dans la forêt primaire, donc l'age moyen des coupes doit se situer vers 300 ans.
Les volumes de bois produits dans l'Ouest canadien sont gigantesques, une grande part de cette production part aux USA.
Les replantations " industrielles" de WRC ne seront pas exploitables avant 2100 et bien avant pour les hemlock et pin d'Orégon.
Les capacités des scieries canadiennes dépassent de loin les + grandes d'europe, en particulier le long de la Frazer.
Une certaine confusion est entretenue sur les différents "cedres" surtout par des québequois.
Pour les bois "acheté" en France, je ne vois pas leur intéret sauf pour des feuillus, mais vraiment nous ne jouons pas dans la même cour.
SVP arrêtons de faire croire qu'il a des équivalents au WRC en bardage, c'est de la désinformation voire de la tromperie !
Mais tout est possible, les archis …, j'ai même fait un bardage de 3000 m² en iroko, pour ne pas faire canadien.
Pour la norme : royalties quand tu nous tient …
Les 2 + grands scieurs sont ISO 14001, je ne crois pas qu'un seul français le soit.
voilà....ça y'est.......vous me faites peur avec mon bardage douglas de pays, non purgé d'aubier ![]()
si l'huile de lin, ne suffit pas…que conseillez vous…un produt d'impregnation avant l'huile?
merci
donc evidement on joue pas dans la meme cour, car prendre de l iroko pour faire du bardage, je ne crois pas que c est trés ecologique, le bilan ecologique est trés certainnement a moins 1000 si la norme c est zéro.
des campagnes canadiennes ne nomme t il pas leurs pays "le bresil du Nord" peut etre y vont ils u peu fort mais dire que le canada est un exemple en matiére d exploitation forestiere il y a a un pas..
iso ne veut rien dire c est du classement financier pur, rien de plus… montre moi ton portefeuille , dit moi ce que tu peux me donner et je te donnerai ton classement… (ça n engage que moi)
moi j'aurai pas osé dire que j'ai fait un bardage en iroko…
pour ce qui est de l exploitation des forets primaires, j appelle cela du massacre de la planete, rien de plus…et je ne serai pas fier de participer à ce desastre écologique en pronant l emploi de red cedar , pour que ça fasse joli sur ma maison…
je préferai construire béton… à défaut de terre…
car iroko foret tropicale
CONTEXTE
Les forêts jouent un rôle important dans la survie de centaines de millions de personnes dans les pays en développement. De fait, la sécurité alimentaire dépend énormément de l'exploitation responsable et durable des forêts. Malheureusement, c'est là un lien dont les programmes de développement nationaux tiennent rarement compte.
Qui souffre le plus de l'insécurité alimentaire? Ce sont les pauvres : les habitants de la forêt, les agriculteurs de subsistance, les familles sans terre, et les gardiens de troupeaux. Jouir de la sécurité alimentaire, c'est disposer d'une quantité suffisante de vivres de bonne qualité qui permette de mener une vie saine et active.
Or, une exploitation abusive des fôrets et des terres forestières menace actuellement la sécurité alimentaire.
Chaque année, dix-sept millions d'hectares de forêts tropicales sont défrichés et brûlés pour servir à des fins souvent non durables, telles que l'agriculture à petite échelle et le pâturage. La coupe des arbres et des arbustes, pour répondre aux besoins de bois de chauffage, appauvrit aussi les sols. Le déboisement a de nombreuses conséquences : augmentation de l'érosion, intensification des inondations, abaissement des nappes phréatiques, modifications dans les microclimats et diminution de la protection contre le vent.
Toute cette activité a des conséquences à l'échelle planétaire, les forêts tropicales étant essentielles au maintien de la qualité et de la stabilité de l'environnement dans le monde
que pensez vous de l exploitation des pins blancs au canada, ne croyez vous pas que c est pas la meme chose pour toutes les essences
Vie et mort des grandes forêts de pins blancs
Sur les six millions d'hectares de pinèdes qui existaient avant l'arrivée des Européens, il en reste moins de 25 000, et ces peuplements sont menacés de disparition.
par Francine Saint-Laurent
Déjà, en 1871, le premier ministre sir John A. Macdonald reconnaissait le problème et écrivait à son homologue ontarien: «Le spectacle de ces immenses quantités de billes qui passent sous mes fenêtres tous les matins me fait comprendre la nécessité absolue de protéger l'avenir de cet important commerce. Nous détruisons avec insouciance des forêts que nous ne pourrons remplacer. […] Il me semble qu'il faut faire quelque effort pour préserver cette ressource
Mais l'appât du gain l'emporta et, 50 ans plus tard, au lendemain de la Grande Guerre, cette source de bois d'œuvre que l'on croyait inépuisable avait à peu près disparu. Il ne subsiste aujourd'hui que des traces des grandes forêts de pins blancs d'antan. Sur les six millions d'hectares de pinèdes matures de l'est du Canada et des États-Unis qui existaient avant l'arrivée des Européens, il n'en reste qu'environ 24 000, soit moins de 1%. Depuis une quinzaine d'années, on estime même que ces pinèdes constituent un écosystème menacé (Peter A. Quinby, écologiste, directeur d'Ancient Forest Exploration and Research).
mais il y a des personnes qui comme vous pensent que c est inépuisable....
Le ministère ontarien des Ressources naturelles considère toujours ces forêts anciennes comme des ressources «renouvelables», que l'on peut exploiter commercialement et régénérer, alors que la chose apparaît n'être plus possible. Quant au Québec, la situation y est encore pire…
publié dans l'édition du printemps 2006 de géographica
Mr Landry vous me prèter des pensées que je n'ai pas.
Je décris une situation, je n'en fait pas l'apanage.
Il faut faire la différence entre une forêt tempérée, primaire, bien gérée et une forêt tropicale pillée et détruite.
Je citais le cas de l'iroko pour étayer mes exemples et non pas comme une bonne solution.
Les plus grands destructeurs de forêts restent les asiatiques qui exploitent les bois brésiliens, africains et "indochinois" sans vergogne.
Il ne faut jeter le bébé avec l'eau du bain, et confondre la déforestation de Bornéo et Sarawak pour du ramin avec l'exploitation intelligente de la ressource qu'est le red cedar.
Il est bien plus dangereux de continuer des remembrements "sournois" sur nos sols que de prélever "temporairement" 10% d'un bassin versant en red cedar.
FSC PEFC ISO toutes se payent …
Comme Greenpeace, Robin des bois etc …
un pavé dans la mare ![]()
entendu à TV5 la semaine dernière : 40% des scieries canadiennes seront fermées d'ici l'année prochaine par manque de demande de bois d'oeuvre !!!
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