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Oui tu seras à peine à la rt 2005…!!!!!!!!!

Très dur à définir uniquement avec ces données. C'est plutôt un bon début.
qq Remarques :
La VMC 2F en Picardie doit avoir un intérêt plus que limité. Une VMC + hygrostat serait peut-être plus plus appropriée (ne se déclenche qu'au delà d'un certain seuil d'humidité) et bcp moins chère.
Une conception bioclimatique apporte évidemment aussi un plus non négligeable (moi cela me semble obligatoire, c'est la base)
Le choix des menuiseries influe aussi énormément. Et pas que les vitrages, le chassis est primordial (éviter l'alu, c'est très en dessous thermiquement parlant, le PVC a une durée de vie limitée en qualité de base)
Si l'isolation du toit est prévue en combles perdus ça ne coûte pas grand chose de rajouter 10 cm. Et éviter les laines minérales de faible densité (=premier prix) qui se tassent irrémédiablement et perdent de leur pouvoir isolant. La cellulose en soufflage est une bonne alternative à peine plus chère, et nettement plus performante. (passer de suite à 40 cm => 35 cm après tassement.)

Sinon, le chauffage semble cohérent. Le tout est de ne pas s'en servir bcp.
Il faut bien se dire quand même que 300€ de chauffage aujourd'hui, ça semble peu, mais ces 300 deviendront rapidement 500, 1000 € et plus d'ici qq années. Penser aussi à l'ECS solaire, en thermosiphon, c'est assez économique à l'achat.

Pour nicom,
si tu le souhaites j'ai le logiciel de calcul pour le DPE. C'est un fichier excel. Si cela te dis, fais moi signe et je te l'enverrai sur ta MP.

Oui, Oui, OUI !!!!!

Merci à toi

je veux bien aussi

http://perso.orange.fr/herve.silve/debvis.htm

L'excellent site d'Hervé Silve propose dans la rubrique téléchargement un bilan thermique en xls.
Pas mal du tout pour dégrossir. C'est bien sûr également du calcul statique (et mono-zone) mais ça permet déjà de se faire une idée. C'est autrement mieux foutu et pertinent que la m***asse du DPE. C'est gratuit aussi, bien sûr.
Pour avoir pas mal bossé dessus il y a qq années, c'est franchement fidèle à la réalité si on prend les bonnes hypothèses de départ bien sûr, et pour des bâtiments moyennement performants (50/60 kWh/m² ça passe encore)
Mais au dessous d'un certain seuil de performances, les approximations faussent évidemment trop les résultats, la prise en compte de l'inertie est trop grossière, et les bilans n'ont plus bcp de sens ni de rapport avec la réalité. Là, il faut avoir recours à une simulation dynamique si on veut qqch de cohérent.
A+