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Le titre n'a rien d'exitant mais à le mérite de m'inquiéter. NAture du terrain roc + 20 cm de terre végétale. Est-ce normal que le maçon ne soit descendu qu'à -30cm (décapage de la terre végétale et un peu du rocher) pour y couler les socles (80 x 80) et ensuite les plots. Pour les puristes, deux fers a béton sont ancrés dans le rocher et remontent à travers les socles et les plots de fondation et un treillage est placé de façon perpendiculaire dans les socles (je ne sais pas si c'est clair :-()
En lisant vos posts, je me suis souvent pareçu que vous parliez de mis hors gel des fondations. Vous aurez compris que ce qui m'inquiète, c'est le peu de profondeur des socles de pilotis. Voili, voilà. Qu'en pensez-vous? Je peux dormir sur mes deux oreilles ou me taper un ulcère?
vous etes a quelle altitude ?
MA reponse serait mais je ne pense pas que ce soit l'avis de tout le monde :
le DTU dit "hors gel" il doit y avoir une raison quand meme (mais sur le forum les avis sonts partages sur le respect des dtu que certains trouvent peu adaptes a certains cas de figure particuliers),et quand un macon ne respecte pas le dtu s'il y a un probleme je ne sais pas si l"assurance DC suit toujours ou si elle lache le macon qui est cense lui respecter le dtu.
Voyons la suite et d'autres avis .
MAIS SUJET INTERRESSANT,ne vous excusez pas .
Le DTU dit "hors gel" parce que les sols ordinaires (terreux) ont tendance à se gorger d'eau quand il pleut et, s'il gèle, l'eau ayant le pouvoir de se dilater quand elle refroidit, le sol gonfle, faisant bouger les fondations.
Si quelqu'un a vu du rocher "gonfler" quand il gèle, qu'il nous le dise.
Donc : fondation, même superficielle,, sur du rocher = "hors gel"
Mes plots de 60*60 reposent sur ce type de sol: granit à -30cm.
J'étais parti dans l'idée de casser le granit jusqu'au -80cm préconisé, et, au vu de la difficulté de casser le roc au pic, eh ben, je me suis dis que ça devait être assez solide comme ça.
Par contre, je pense qu'il y a toujours un risque de bris de roche : l'eau infiltrée dans les fissures fait éclater la pierre lors du gel.
La crainte n'est pas le gonflement mais l'effritement de la roche par le cycle gel/dégel…Une roche effritée est-elle aussi stable pour des fondations de MOB? Je pense tout de même ,sans aucun argument scientifique, que oui.
interressant; http://assohsf.free.fr/hsf_journal/bull … ton19.html
Merci pour vos réponses. Je me suis également documenté dans la journée et c'est la thèse de jfquillacq qui semble être cohérente et partagée. En fait, des synthèse de mes lectures, il ressort que la problématique du hors gel pour les fondations, c'est justement la gélifraction (phénomène de gel et dégel) sur le matériau qui suppporte et entoure les fondations. De ce fait, sur du roc (rocher natif) pas de risque d'éclatement dû au gel. Merci à tous d'avoir participer à ce fil.
Oui jfq a la bonne approche.
Sauf que le sol se gorge d'eau au dégel, un phénomène d'aspiration et de concentration de la flotte se produit à la ligne de dégel. C'est pour cela que l'on met en place en travers des routes, même si ça devient rare, des barrières "de dégel", et non pas "de gel". Une route hors gel est une route qui a une épaisseur de caillasse suffisante pour que la ligne de dégel ne se trouve pas dans le mauvais matériau.
mais Pensez quand meme a la qualite du beton ,voir le petit lien post precedent
Oui jfq a la bonne approche.
Sauf que le sol se gorge d'eau au dégel, un phénomène d'aspiration et de concentration de la flotte se produit à la ligne de dégel. C'est pour cela que l'on met en place en travers des routes, même si ça devient rare, des barrières "de dégel", et non pas "de gel". Une route hors gel est une route qui a une épaisseur de caillasse suffisante pour que la ligne de dégel ne se trouve pas dans le mauvais matériau.
Pour pinailler un peu, une barrière de dégel se traduit par une restriction de la circulation sur un tronçon routier. Souvent c'est un panneau et non une barrière d'ailleurs.
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