merci pour l'info, je croyais que le sujet n'interressait personne.

en fait j'ai déjà fait des recherche sur le thème "piloti" et lu pas mal de chose dessus, mais j'arrive pas à me faire une idée car les avis sont divergeantes.

de plus, depuis ce mail, j'ai vu des macons et ils me disent que c'est aussi chère que la dalle.( ???!).

notre lieu est à eviron 850 mètre d'alt (c'est la lozère), et les macons conviennent qu'il faut faire au moins 2 mètres de dénivelé. il dois il avoir du dur (clacère ou roche en dessous des 2 m .

voila que dire de plus…

merci pour les réponses

Le mieux serait d'aller voir du côté de ceux qui ont fait sur plots ou pilotis (par exemple, voir le site www.eco-logis.com/cantemerle.htm et contacter les proprios qui font même visiter dans le Languedoc je crois. Voir également http://www.cantercel.com/ et les animateurs de ce projet qui ont fait à la fois une maison sur plots et une sur dalle. L'inertie est meilleure dans ce dernier cas mais il y a des moyens de compenser un peu  si la solution pilotis est préférable (contraintes techniques, terrassement très important,  zone à risque d'inondation, etc.). Du point de vue des coûts, ce que je vais dire n'est qu'une opinion mais il me semble qu'en autoconstruction, ce type de fondation imposera  moins de matériaux, pas ou peu de terrassement et la difficulté sera dans le bon dimensionnement et la précision du positionnement/des niveaux (voir, pour une expérience simple, et sur terrain plat, donc pas forcément justifiée, avec semelle bois http://pagesperso-orange.fr/autoconstructionbois/). Maintenant, si c'est une pente très forte avec beaucoup d'irrégularités, que la construction est grande, c'est pas forcément évident à mettre en oeuvre et il faut sans doute faire attention aux risques de tassement différentiel (là, je parle sous contrôle des experts). Il est aussi possible de faire des fondations mixtes : Par exemple, en haut de la pente, la maison repose sur une semelle filante + parpaings et dans la pente, sur des plots béton. Si c'est une structure poteaux-poutres, les poteaux peuvent partir d'un plot béton de faible hauteur). Pour les problèmes d'inertie, il faudra bien choisir les matériaux d'isolation et utiliser des composants en terre crue ou autre à l'intérieur. On peut imaginer que si un mur de la maison repose sur le haut de la pente, un puits canadien est possible et permettra un complément pour le confort hiver/été. Là se pose aussi la question de  l'exposition de votre terrain, notamment au vent. Si vous êtes bien abrité, ce sera un + pour ce genre de projet. C'est où en Lozère, à quelle altitude ? Dans quel environnement ?

C'est un avis, globalement peu d'afficionados sur ce site mais il y a des gens qui vivent dans ce type de construction donc vous en trouverez.

Hmm, 850 m d'altitude, de la neige, du vent, c'est pas évident. Tant qu'à terrasser, mieux vaut enterrer partiellement la maison, quitte à décaler l'étage s'il y en a un. C'est quand même l'esprit de la construction locale d'avoir des maisons semi-enterrées. Mais dans votre cas, l'étude de sol ne serait pas inutile avant toute décision. Pour les autres questions (budget dimensionnement), je vais laisser ça aux spécialistes du forum. D'une manière ou d'une autre, votre terrain n'est pas évident et ça engendrera des surcoûts. Reste à les maîtriser