personne n aurait des nouvelles de ce qui sait passé à l audience du tribunal de Rodez hier  17 decembre , un  gerant de société constructrice de maison bois madrier   aurait pris trois ans ferme avec mandat de dépot a l audience..   
il aurait pas pu expliquer ou était passé  l argent des clients qui attendent leur maisons   le prejudice s eleverait entre 400 000 et 500 000 euros..
Édition du jeudi 18 décembre 2008 
DR

JusticeTrois ans de prison pour le vendeur de maisons en Hier, l'audience correctionnelle
était présidée
par le juge Olivier A 32 ans, ce titulaire d'un diplôme de hautes études commerciales voit son commerce de maisons en bois l'envoyer en cabane. Hier, le président du tribunal de Rodez a en effet condamné ce jeune homme résidant aujourd'hui en Ile-de-France à trois ans de prison et plus de 470 000€ d'amende. Le dossier était volumineux : il concernait trente victimes, originaires d'un peu partout en France. Toutes espéraient avoir leur maison en bois, « leur rêve ». La plupart d'entre elles ne la verront jamais, où l'ont vu au terme d'un certain sacrifice, où bien sont aujourd'hui face à un chantier inachevé. Toutes avaient confiance en ce garçon qui, depuis le nord Aveyron, entre 2005 et 2007, se lança dans  ce qui allait devenir « un véritable désastre » comme le clama le procureur Camous : la vente et la construction de maisons en bois, via entre autres une société polonaise dont il était le gérant.
« Mais rapidement, vous aviez bien vu que cela ne marcherait pas », s'étonna le président, avant qu'un déluge de dysfonctionnements ne s'abatte. En particulier par le substitut Camous qui ne se priva pas de rappeler qu'il avait enseigné huit ans en économie … Du refus des assurances de couvrir son entreprise, en passant par la banqueroute sans oublier l'absence de contrat non conforme, rien ne lui fut épargné . Une des nombreuses victimes présentes dans la salle expliqua en outre avoir hébergé chez elle pendant cinq semaines deux employés polonais.
Le prévenu, arc bouté à la barre, tenta de répondre, expliquant qu'il « prenait soin de ses employés », où évoquant « ses regrets quant à la situation dans laquelle se trouvent les clients. » Mais il ne parvenait à éclairer ni l'absence de fonds de roulement ni la « disparition » de près de 500 000€ de préjudice. A quoi, il fallait ajouter l'emploi actuel du prévenu : attaché commercial dans une société exerçant les mêmes prestations et appartenant majoritairement à sa compagne. Le président de conclure : « Il semble que vous soyez dépourvu de notions de commerces et vous avez usé d'un procédé acrobatique qui bafoue les lois du commerce. » D ans ses réquisitions, le procureur parla, lui, de malveillance. « Il ne peut pas ignorer ce que les assurances lui avaient dit. » Des propos réfutés par la défense. « Je n'ai pas vu dans ce dossier la volonté de mon client de prendre l'argent des gens. L'intention frauduleuse ne ressort pas du dossier. Il a lui aussi raté son rêve. » Au final, nombre de victimes ont vu leur rêve brisé par ce constructeur aujourd'hui en cellule pour n'avoir pas su s'arrêter à temps

source  http://www.midilibre.fr/RUB_ML_IV_RODEZ … L_IV_RODEZ

Le gerant de cette société    dirigeait le société Brentwood.. donc prudence pour la  fameuse société dirigé par sa compagne