Bonjour
Je suis nouveau sur le forum mais un grand lecteur des posts des autres !
Nous avons signé pour acheter une maison plain pied de 40m² en parpaings, dalle béton sur hourdis (10m x 4m), sur s.sol total, avec mur aveugle au nord. Nous allons ajouter une extension en ossature bois de même surface, en façade Sud. Puis nous élèverons le tout (existant + extension, soit 2 x 40m²) d’un étage en ossature bois également, avec toit plat végétalisé. On refera l'isolation de l'ancienne maison par l'extérieur + bardage.
Au sol du RDC, carrelage classique. Plancher bois et parquets à l'étage.
Nous réfléchissons encore pour une dalle béton sur vide sanitaire ou un plancher bois sur plots bétons pour l'extension au RDC.

Nous avons entendu dire que les maisons en ossature bois manquaient "d’inertie" :

Nous aurons un poêle à granulés au centre du rez-de-chaussée, au pied de l'escalier pour tout mode de chauffage + VMC DF
Nous pensions à adosser le poêle à un mur de brique de terre crue qui monterait jusqu’à l’étage ( 1,20 m x 6m environ), mais qui ne recevrait que la chaleur du poêle (pas de chaleur solaire à cet endroit).
Questions existentielles :
Est-ce que ce mur en brique de terre crue sera utile pour donner de l’inertie à la maison ? Doit-il monter jusqu'à l'étage ?
Est-ce qu’il sera suffisant ?
Ou au contraire, sera t-il  inutile car l’inertie sera déjà assurée par la partie en parpaings/dalle béton du rez-de-chaussée (au Nord) ?

La maison sera construite en région Parisienne (pas de températures extrêmes), dans un quartier à forte densité de construction (à l’abri du vent).
Merci de me donner vos opinions et vos idées pour prévoir au mieux cet aspect «inertie» dès la conception de la maison.
Pardonnez-moi si le vocabulaire est inadapté ou si je n'ai pas tout compris sur l'inertie ;-)