Bonjour tous,
Nous avons construit, il y a 5 ans, une extension ossature bois sur pilotis. Les caissons du plancher ont été remplis d'isolant cellulosique.
La sous-face a été simplement protégée par un pare-pluie.
Ces caissons de plancher se revèlent une source de froid, nous voudrions faire un complément d'isolation par l'extérieur.
Problème : il y a environ 50 cm entre le dessous du plancher et le sol. On y accède en rampant, on doit travailler allongé sur le dos et on ne peut pas rester tres longtemps dans cette posture sans avoir de vomir..
Le conseil que je vous demande : quel est le matériau d'isolation et le procédé de pose le plus adapté dans cette situation ?
Alain G.
quel épaisseur d isolant y a til, quel matériaux en plancher,
Peut-être se procurer un chariot type mécanicien avec un système de cordage pour le "va et vient" en fonction bien sur de la nature du sol ? Pour l'isolant je verrais bien des plaques de polystyrène extrudé tant pour sa légèreté et son pouvoir d'isolant, quand pense CB ?
ce que je ne comprends pas c est pourquoi le sol est froid, quelle est l épaisseur de ouate qui a été mise en place pour un plancher on est souvent en 250 mm ce qui est largement suffissant
d autres par à t il était posé un pare vapeur sur le plancher,
on nous parle de pare pluie ,
ensuite est ce que le vide sanitaire est férmé tout autour,
pour la question de vomir .. alors que dirait un mécanicien, ou un peintre decoratif qui peint un plafond ou le restaure, faut pas exagérer,
il est certain que le meilleur isolant sera le pse extrudé rl, en 50/60 mm qu il faudra faire tenir avec des tasseaux vissés au droit des solives ,
Avant de sur-isoler, si c'est possible, fermez cet espace aux courants d'air.
Merci pour vos réponses rapides. On se sent moins seul sur la difficulté !
Sur l'existant quelques précisions :
Le vide sanitaire est ouvert, on est sur pilotis en utilisant la pente. En fait l'espace libre où on doit travailler va de 8O cm en bas de pente à 40 cm en haut.
En haut, la construction bois s'accroche à un élément béton. C'est de ce côté que la sensation de froid est sensible
Plusieurs explications se conjuguent :
- l'accrochage en haut de pente entre la construction bois et la structure béton laisse un petit espace qui a été mal obturé
- dans cette zone, il y a sans doute eu des mic-macs de passages de câbles électriques dans les caissons qui n'ont pas du arranger l'isolation.
on ne va pas revenir sur le passé, le chantier a été à certains moments assez rock'roll..même si on était, je crois, sur du bon standard en terme d'épaisseur de ouate, de pare-vapeur et de pare-pluie.
Sur les préconisations :
- pas bête du tout, le chariot de mécanicien pour sortir rapidement quand on est pris de vertige ! (et dire que je faisais de la spéléo quand j'étais jeune !)
- fermer l'espace aux courants d'air : oui, je pense évidemment m'occuper des fuites du côté de la jonction bois-béton. Mais, au delà, il est difficile d'envisager de totalement fermer le vide sanitaire. Peut-être simplement vers le fond.
-sur le materiau : du pse ? ça ne va pas bloquer un peu trop la perméance ?
- possibilité de visser directement les panneaux sur la sous_face ?
quel perméance…
C'est plus à la mode les histoires de ..perméance ? Pourtant, quand j'avais construit, ces questions étaient importantes. Le PSE, en isolation extérieure, c'est pour du béton, pas pour une MOB ?
les intégristes ne sont pas mort , la preuve ils défilent le 13 janvier 2013
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