+1 ,une grande partie de notre savoir provient de celui des autres.

C'est un brevet formalisé par un cabinet spécialisé ou un enveloppe solo ?

Il est difficile d'inventer un  nouveau mode  constructif vraiment différent de l'ossature bois ,mais la globalité du concept peut faire l'objet de modèles déposés .
En tout cas il sera intéressant que tu nous en reparle .

je fais dans  le sarcastique ,  j ai un humour grinçant , je suis hors cadre,  en ce moment je suis en pourpaler avec une municipalité    une personne d un service m a dit   il faut rentrer dans le cadre,    mon épouse a répondu ça fait 35 ans que j essaye   j y suis pas arrivé..

C'est déjà plus "réaliste"… N'empêche que quand on est en 1ère année (de quoi que ce soit, d'ailleurs) et même en milieu de première année - d'ailleurs - on se conforme au "programme". Les stages et les projets, c'est une façon moins potache que les DST de valider les connaissances acquises… "l'imagination prend le pouvoir", c'est pour plus tard

Pour que vous ne me preniez pas QUE pour le grincheux de service, je fais une exception à mon "devoir de réserve"… j'ai présidé pendant 10 ans l'Association des Ingénieurs de l'Ecole Supérieure du Bois (durant ce mandat, j'ai, entre autre, également ressuscité l'Association des anciens de l'Ecole Technique du Bois)
La principale activité de cette fonction, c'était le "coaching" des adhérents (à partir de la 1ère année de scolarité)…
La seconde, c'était de "rapporter" - tant au CA de l'Ecole qu'auprès des instances (CNISF, entre autre) - sur les questions de cursus vs carrière.
j'ai également été "référent" pendant 5 ans pour les projets-constructions de 2ème année dans une école d'ingénieurs

Mon propos est de vous remettre un peu les yeux en face des trous…
Si malgré ce que je vous dis, vous persistez dans votre initiative, pourquoi pas… mais rappelez-vous alors, en cas d'échec, qu'un homme averti en vaut 2… sachez également qu'un échec n'est pas blâmable… à condition de ne pas réitérer.
Bon courage

Bonsoir Méryl,

Même si votre projet est fictif ,il faut en théorie qu'il soit réalisable,pour être crédible.Le fait de créer une entreprises de construction bois en MI spécialisée dans le passif ou similaire nécessite de vous positionner sur le plan technique ,car si l'on vous aide en répondant a votre place et qu'il faille aussi définir votre structure juridique et le style de votre entreprise dans la mesure ou c'est une création cela va être compliqué pour que justement la fiction ne soit pas de la" science fiction".

En gros et en vrac :
Définir la structure juridique :rien de compliqué.
La politique  commerciale : c'est faisable .
Le style de l'entreprise: constructeur de maison individuelle avec les garanties légale,ou maitrise d'oeuvre ,ou .....
La fabrication: sous-traitance ou ,création  ou reprise d'un site de production ?
Après cela se complique :entre le moment ou l'entreprise est en route et a vendu, conçu et déposé un pc avec les impondérables liés a l'obtention d'un crédit client,de l'accord du PC  avec parfois des retards lié aux conditions climatique ou autres,puis la fin et la réception de l'ouvrage ,il peut s'écouler beaucoup de temps plusieurs mois ,ce qui nécessite une trésorerie très conséquente .
Et il n'est pas rare que ces délai soient souvent la cause des défaillances d'entreprises .
N'hésitez pas a poser des questions si vous persévérez dans votre démarche et excuser mes argument en vrac (manque de temps pour développer)

Bonjour,

désolé de ne pas nourrir le sujet de départ, je souhaite juste réagir sur la soupe que l'on cherche à nous faire gober sur le régime des retraites qui ne serait plus équilibré (rien contre toi Hector, ne le prend pas pour toi). Une petite conférence digeste à voir : https://www.youtube.com/watch?v=7Tm_TXSMRqY

Une autre vision est possible, il s'agit d'un choix politique. Pour preuve on entend parler de plus en plus souvent de revenu/salaire de base/universel.

A+
Fred

merci fredm, je regarderai ton liens dès que j'aurai plus de temps.
Arthémus, tes remarques sont pertinentes, effectivement, personne ne peut prédire avec certitude l'avenir de 2060 : il suffit de voir comment les choses évoluent et surtout à quelle vitesse…

J'ai entendu un conte similaire, mais africain, bonne lecture :-)   (comment dériver du sujet mdr)

Ce matin-là, le pauvre Woula, désespéré par l’impitoyable avarice de son lopin de terre, se résigna à abandonner son misérable séjour. De tous les paysans des alentours, il était sans aucun doute le plus défavorisé et partant le plus malheureux. Il prit donc la route, la tête basse, le pas traînant mais résigné, vers les rives du fleuve qui, peut-être, montrerait à son égard un peu plus de générosité, lui offrant quelques poissons pour apaiser la faim qui le tenaillait depuis plusieurs jours.

Woula n’avait pas remarqué l’homme immense et filiforme qui s’était approché de lui pendant qu’il contemplait les bords du fleuve. La peau aussi noire que la sienne, drapé dans un boubou dont la blancheur immaculée renforçait le contraste que faisaient les amulettes multicolores suspendues au bout des sautoirs enroulés autour de son interminable cou, l’homme, immobile, regardait fixement Woula. Le large sourire d’émail qui fendait son visage faisait écho à la bienveillance qu’exprimait ses grands yeux brillants, et cette attitude amicale suffit à éviter que la surprise de Woula ne virât à la crainte.

L’homme se présenta :

– Mon nom est Mbakhané. Tu ne me connais pas, mais moi je sais qui tu es, et je sais tes malheurs. Rog (Dieu) m’a confié d’immenses pouvoirs. Grâce à eux je peux réaliser ton vœu le plus cher. Et j’y suis disposé.

– Oh ! Merci ! Merci Maître ! Je sais ce que je veux… Je le sais, sans hésiter…

– Pas d’emballement ami ! Réfléchis tranquillement. Tu as deux jours pour cela. Mais sache bien que je donnerai à ton voisin le double de ce que je te donnerai, quel que soit ton souhait. Tiens, garde cette petite amulette de tissu pour t’aider à te concentrer dans tes réflexions, tu me la rendras dans deux jours, ici même, à l’heure où le soleil rougeoie avant de plonger dans la mangrove. Alors tu exprimeras ton souhait et je l’exaucerai. A plus tard !

Depuis le départ de Mbakhané, Woula ne prêtait plus aucune attention à son estomac vide, et encore moins à ces rêves de poissons qui attendaient là, tout près, dans les eaux voisines ; rien ne comptait plus que le vœu qu’il exprimerait bientôt. Il tripotait nerveusement l’amulette, la faisant sans cesse passer d’une main dans l’autre, et il pensait :

– Une caisse d’or ! Oui, une caisse d’or. Oh mais mon voisin en aura deux… Non ! Pas question !

– Une belle maison !… Et mon voisin en aura deux qu’il pourra réunir et ainsi être propriétaire d’un petit palais… Non ! Non !

Aucun des vœux qu’il formulait ne retenait son approbation, trop favorables qu’ils étaient, systématiquement, aux intérêts de son voisin. Quel souhait pourrait-il donc bien exprimer qui ne le désavantagerait pas, lui, Woula, par rapport à ce voisin peu sympathique, et qui l’avantagerait même, plutôt ?

Les deux jours étaient écoulés. Le moment de se rendre au rendez-vous de Mbakhané approchait, et toujours aucune décision. Il décida de terminer sa réflexion en marchant. Il se mit donc en chemin, tout en égrenant la longue liste de ses hypothèses.

Quand il arriva au lieu convenu, il trouva son bienfaiteur assis au pied d’un étroit palétuvier. Le temps de partager un salut et celui-ci lui demanda d’abord de lui restituer l’amulette. Puis il enchaîna :

– Alors, Woula, as tu choisi ton vœu ?

– Oh oui ! répondit le malheureux enfin déterminé, je veux que tu me crèves un œil !