c est de la charpente donc de l emploi de bois  pas sec.. et qui a séché trop vite du a son exposition,  aprés    que ça soit pas grave   oui et non.. mais bon il peut rectifier le tir,  car on peut pas dire que c est de la bonne pub,   et pourquoi pas mettre un boulon pour ramener tout ça,  pour le poteau  aussi  un ou deux boulons sur la hauteur,    a tete cachée et on n en parlera plus,  il faut quand meme qu il se dise que pour un  client lambda ça ne rassure pas, et que  si   ça venait  devant un tribunal,  il n aurait que  ses yeux pour pleurer et refaire..    pour le poteau mauvais choix de bois

C'est général ces désordres ou il n'y en a que quelques uns (pour ce qui est visible)?
Pour la décennale, il faut que la stabilité ou la solidité du chalet soit compromise, autrement dit qu'il risque de se casser la binette…
Pour moi, un charpentier sérieux devrait pouvoir reprendre ou consolider ça.

Avez vous souscrit une assurance dommages ouvrage lors de la construction?
Si oui, faites une déclaration de sinistre.
Si non, évitez que le constructeur ne joue la montre.

Pour qu'il y ait indemnisation, il faut qu'il y ait un "sinistre" (un désordre affectant la solidité de l'ouvrage)…
Là, vous nous montrez 2 aboutages de pannes qui ont tournés ; c'est pas forcément esthétique, mais c'est pas près de lâcher…
un bon coup de "tourne-bille" pour les réaligner un peu et 2 vis SFS WT-T et ça devrait rentrer dans l'ordre

est ce au client de faire ça.. ou plutot a l homme de l art qui   s entete.. a ne rien faire pour  jfq tout depends du juge et de l espert .

Beaucoup d'entre nous estiment cela aisément réparable et que la solidité du chalet n'est pas compromise, condition d'intervention impérative de la décennale. Que peut faire le juge? Rien, puisque la décennale ne peut s'appliquer…! L' expert rien de plus. Tout dépend de la bonne volonté du constructeur, qui peut laisser trainer sans souci puisqu'il a la loi pour lui.

Vaut mieux que le client s'abstienne d'y toucher. Sinon, en cas de souci ultérieur, le constructeur va dire que c'est lui (le client) qui a fait des con…, pardon des boulettes.