il faut dire que j'ai eu un mauvais souvenir en bretagne bien que breton d origine familiale, mais j'ai eu la malchance de tomber dans un bled de bretagne où plus raciste ça n'existe pas , il s'agissait de la bretagne Centre, plus exactement A Corlay, je n'ai pas peur de le dire, donc il est vrai qu'a chaque fois que je peux me faire un breton j hésite pas oubliant qu en toutes personnes il y a une vrai personne et que cette personne est une personne bien, fusse t il breton,
Alors que j'ai récement eté sauvé une maison en terre dans le nord bretagne à Yffiniac la Tour plus exactement, grace à l ossature bois;
je suis un peu choqué de mettre du béton dans une maison ossature bois, l ossature bois a pour avantage l emploi de matériaux sec alors pourquoi y ajouter du matériaux humide, d'ailleurs c est un peu pour cela que je suis contre le chauffage par le sol, lorsque l'on a fait la dalle, en béton, et qu une fois quela maison est faite on rapporte des produits humides dans la maison, je trouve cela anachronique, , Mais force est de reconnaitre que le chauffage par le sol c est peut etre la solution pour le chauffage , surtout si on fait un chauffage solaire, directe, l inertie de la dalle du rez de chaussé est utile, et par exemple pour ma maison, je vais réalsier les fondations périmetriques, mais sans faire la dalle, je ferai la dalle ensuite pour que celle ci puisse me servir de masse chauffante,
Joyeuses fetes
Quelle prose, quel style !
Cependant, quelques pécisions me semblent indispensables. Les voici donc :
1 - Vous ne sauvez rien ni personne mon cher. Le patrimoine bâti breton leur appartient. Libre à eux de le réduire en poussière si ça les amuse. Avec un comportement pareil, 100% pur paternalisme jacobin, vous vous feriez botter les fesses dans n'importe quelle région fière de son indentité, et pas qu'en Bretagne.
2 - C'est Yvigniac-La-Tour. YVIGNIAC !
3 - Traditionnellement, l'ossature bois est remplie d'un torchis et éventuellement enduite à la terre. C'est plutôt humide tout cela, ne trouvez-vous pas ? C'est pourtant ainsi que ça s'est fait pendant des siècles, c'est donc loin d'être anachronique. Ah, une petite information avant d'oublier… c'est plein d'eau, mais ça sèche (incroyable, non ?). A moins de vivre dans un aquarium et d'avoir des branchies, bien sûr.
4 - Vos solutions sont inapplicables au bâti breton vernaculaire car il n'a pas de fondations. Si vous comptez appliquer ce traitement en "nord Bretagne", vous allez remettre l'assise des murs en question. Catastrophique.
Je suis un farouche opposant au béton, pourtant je considère vos méthodes à base de matériaux secs comme n'étant pas meilleures.
J'espère que vous avez passé de bonnes fêtes vous aussi.
Je ne suis pas de Corlay, rassurez-vous, mais à chaque fois que je peux me faire quelqu'un qui n'y connait rien au bâti breton… "j'hésite pas" ;-)
Un breton (si, si, vous aviez vu juste)
pas de chance l'inculte breton a son émail caché , maintenant que j'y connaisse rien en bati breton, reste à voir, petit historique de mes aieux maternels nous sommes déscendant des barons de bretagne gardien des portes de Guingan, et je me suis bati pour la bretagne … mais j'en dirai pas plus malgré la prescription…
mais il est evident que les cotes du nord sont un cas en par , car plus rouge qu eux c est rare.... il ny a qu'a regarder la carte des batailles et des enrolés dans la virée de galerne…
et je vous fait grace de mes amis de la clef de la presqu il de quiberon…
au dela de ces querelles partisanes et des biens fondés à accepter des statues de Hoche à quiberon, ou des rues gambetta, ou la statue de dusgueclin sur la route saint brieuc Rennes (traitour)
voyons ce qui nous interesse
j'ai pas trés bien compris ce à quoi vous répondez de quel solution vous parlez là j'aimerai avoir une explication
vous parlez de quel traitement ou est ce queje vous ai donné une solution
ensuite comme vous le dites si bien les maisons bretonnes d'ailleurs toutes les maisons de frances et de navarres ayant plus d'un siécle d existance, ne posséde pas ou prou de fondation du moment qu'il ne s'agit pas de maison a étage et de maison de ville
Maintenant du torchis en nord bretagne ça ne courre pas les rues il s agit de bauge, en l occurence une terre mélangé avec non pas de la paille mais des ajoncs la paille étant trop cher, comme le beure d'ailleurs à cette époque on préférait consommer du pommé....
et pour construire un mur de bauge et une maison en bauge on méttait une saison, ensuite pour la question des fondations j' ai entre les mains un contrat établis entre l un de mes ailleux qui était batisseurs de maisons en bauge, et il est dit que les fondations seront creusées jusqu'a la profondeur ou la pelle sonnera…donc il y avait fondation , tout dépends si il y avait eu un hiver sec ou humide…
ensuite pour avoir une bonne maison en terre il faut des bonnes bottes et un bon chapeau,
et puis une maison de bauge se montait comme l'on monte un tas de fumier dans les centres équestres, je peux vous résumer comment cela se faisait l'ayant pratiqué, on creusait les fondations et l'on empilait des pierres "oppus incertum en réservant les portes , on effectuait des portiques en bois, pour les portes ainsi que pour le fenetres,
que l'on plaçait le soubassement de pierre varie selon la richesse de la demeure et sa hauteur les maisons a étages appartenant a des bourgeois ou a de riche fermier, les pierres sont a hauteur d 'étage, les autres a hauteur du bas des fenetres, ensuite on mettait de lapaille tout autour de la maison , une couche de paille une couche de terre une couche de paille etc. et on mouillait jusqu'au refus, ensuite on faisait marcher un "breton" dessus pour mélanger le tout et on montait à la fourche environ 80 cm de haut sur 80 c m de l'arge et puis on attendait
3 semaines a un mois que le mur séche et on le coupait à la pelle pour l équarir, et on continuait jusq'u a hauteur d étage ensuite solivage souvent beaucoup trop long de porté 6 à 8 m deporté pour du 20/20 entre axe 80 c:m ce qui le donne un flambage non négligeable
que l' on remarque dans toutes les fermes restées intactes
et a par ça j y connais rien… pauvre breton
au fait c est pas yffignac ok mais c est pas non plus Yvigniac
mais Yvignac [380m] à coté de caulnes mais soit dit en passant je vous invite au printemps à venir nous donner un coup de main à restaurer cette maison à la hunnelaye rebaptisée "la lune là"
.ou bientot s instalerra une école de théatre, et ou d ou j éspére partira dans deux années une tournée théatrale a travers la france de saltimbanque en roulottes tirées par des chevaux et qui plus est des chevaux de races bretonnes....
Postiers et Traits…
Grand Dieu, que vous êtes prompt à répondre ! A peine le temps de me nourrir et de parcourir quelques pages de messages que vous êtes déjà au garde-à-vous. Véloce, le français.
Mon e-mail ? Caché par défaut, je n'ai rien demandé. Il ne vous aurait pas servit à grand chose, pointant sur un compte que je n'utilise que dans des situations comme celle-ci, quand je dois m'enregistrer de façon 'temporaire'. En effet, je suis tombé sur ce forum en faisant des recherches sur les chaudières à bois déchiqueté. Puis j'ai vu ce message. Et mon sang régionaliste n'a fait qu'un tour. :-)
Quel pédigré ! Les généticiens ont raison de nous avertir du problème de la consanguinité. La foisonnante noblesse bretonne ne l'a que trop bien connu et l'on en voit aujourd'hui le résultat. ;-)
Bien, reprenons…
Vous savez, le Trégor ne fait pas les Côtes d'Armor (eh oui, le nom a changé il y a un bon moment de cela). Vous êtes censé y posséder un bien, il serait donc bon de mettre deux ou trois choses à jour, juste histoire de ne pas passer pour un 'parisien'. Il sont un peu spéciaux par là bas cependant, je vous le concède.
J'avais cru comprendre que la réalisation de fondations 'périmétriques' et l'emploi de matériaux secs s'appliquaient à votre maison costarmoricaine. Si ce n'est pas le cas, je vous présente mes excuses (vous voyez, on peut être breton et avoir de la classe !).
J'ai employé le terme générique de 'torchis' dans le but de faire passer l'information plus facilement, n'étant pas sûr que ce mélange vous soit connu. A ma décharge, vous admettrez avoir émit le souhait de proscrire toute cohabitation entre matière humide et structure bois. Mais je m'aperçois avec grand plaisir que vous en savez assez sur le sujet, presque autant qu'un breton. Pour parfaire votre culture, je paufinerais votre explication en précisant que la 'pelle' en question se nomme un paroir.
Vous avez raison, c'est bien Yvignac-la-tour qu'il fallait lire. Par contre, c'est vous qui y avez une maison. Pas moi. J'ajouterais que ce n'est pas 'Guingan' non plus, mais Guingamp. Maintenant ça fait deux erreurs contre une. Je suis beau joueur, mais si vous le voulez bien nous en resterons sur ce score.
Je vous remercie de votre invitation, que je m'empresse de décliner car j'ai moi même beaucoup de travail sur mes bâtiments et je ne voudrais pas vous voir nourrir de faux espoirs. Cependant je vous souhaite bonne chance dans votre entreprise. Souvenez-vous : ce patrimoine volé aux bretons, vous en avez maintenant la charge, alors respectez-le ! De la terre, des fibres végétales/animales, du bois et de la pierre. Rien d'autre. ;-)
P.S : Idem, le postier breton n'existe plus. Ce sont tous des demi-traits croisés.
et en plus vous voulez m'apprendre la génétique des chevaux; je coupe la la discussion qui n'a pas de mise ici, nous parlions batiments vous parlez de régionalisme, vous pouvez donc y pourrir dans votre bretagne ou la senteur est plus proche du cochon que de la mer
je me suis un peu emballé car j'ai pas été au bout du post je n'ai lu que la dérniere ligne au sujet des chevaux, je vous invite donc pour les chevaux a aller en arrigé ou des bretons on été déporté au cours du 18 et 19 eme pour repeupler des départements en voie de desertifications, ils ont emporté avec eux leur chevaux, et non pas été obligé de les alourdir pour la viande de boucherie au moment ou les bretons commeçaient a detruire leur région, en la transformant en un immense champ industriel…
que ce soit pas des usines a cochon, des laiteries dementiels ou des épiceries grandioses, ou seul el fric compte, transformant les stations balnéaires somme Saint michel en gréves en un immense desert..; les plages étant plus vertes que bleu par l'apport excessifs de nitrate, alors je veux bien du regionalisme mais force est de constaté que vou avez une certaine façon de défendre votre région en la transformant en un immense dépotoir.
Pour en revenir au chevaux vous trouverez donc des jolis petits postiers en arriége, chevaux épris de liberté pendant les estives dans la montagne,
Ensuite vous irez voir mon ami Quémener champion de france d'attelage et vous lui direz que les postier on disparu…
quand au patrimoine volé au breton, je vous signale que la plupart des maisons en terre sont vulgairement transformé en hlm moyen par des soits disant breton de souche… dalle de béton à l'étage et enduits de ciment par dessus… asphyxiant la terre,
ce n'est pas ma maison, c est un certaiin Amans Gossuel comedien en herbe qui l'a acheté, pour la sauver et faisant venir des artisans bretons, ceux ci lui on répondu que des maisons comme çà il fallait les détruire a coup de bull, cela ne valait pas du bon parpaing… alors les leçons....
vous pouvez les gardez pour vous, et je m'excuse pour les termes employés si dessus vous m'y avez poussé et je suis tombé dans le panneau
Mais de régionaliste de votre accabit la bretagne n'en n'a que faire.... surtout dans un pays européen....
pour en revenir a la "lune là" je signale que la personne a eu des devis refection quand meme de 250 000 à 750000 francs pour refaire le pignon, moi j'ai fait ça en échange d un verre de cidre et d'un amitie
Je pensais ne plus revenir, mais la curiosité l'a emporté. Je commence à vous trouver symphatique, Mr Landry…
Il est tout à fait compréhensible de s'emballer en parlant de chevaux (s'emballer… chevaux… comme quoi, on peut être breton et avoir un mauvais humour !).
Une petite parenthèse pour commencer avant de revenir au bâtiment.
La Bretagne, contrairement à vos attentes, n'est ni un musée ni la Côte d'Azur. C'est une région dense, très peuplée, où les gens ont besoin de manger toute l'année. Pas seulement l'été, quand les touristes daignent leur jeter des cacahouètes. Aussi, le rachat massif de résidences secondaires a l'effet pervers de faire grimper l'immobilier de façon démentielle tout en asphyxiant les petits villages et les hameaux , empéchant ainsi les jeunes locaux de gérer le patrimoine ou de repeupler les campagnes. Ces 'visiteurs sédentaires' qui déboulent pendant les vacances tuent petit à petit l'endroit où ils s'installent car ils n'ont aucune fonction économique. Et l'industrie s'en trouve renforcée. C'est tout le problème d'une région à la mode. En ce qui concerne les artisans bourrins qui préconisent le Bull comme outil de réfection, force est de constater qu'ils n'ont pas été formés par l'Education Régionale. La tendance française à se servir d'une formation en bâtiment inadaptée à l'ancien comme bouche-trou social ayant pour but de recycler des jeunes qui n'en ont que faire (du bâtiment), parce que jugés incapables à suivre l'enseignement en sections générales, en est la cause. De même, les projets qui ont été financés au cours des cinquantes dernières années en Bretagne le sont par des banques (pas bretonnes pour deux centimes d'euro)… qui exigent du rendement ! Quand vous êtes entrepreneur/agriculteur et que voyez votre voisin réussir à s'implanter dans l'industrie/l'intensif avec le support des grands comptes nationaux, vous comprenez vite que c'est la seule route à suivre. Essayez de faire financer une initiative locale non lucrative et observez le sourire amusé de votre banquier. Heureusement, cela commence à changer grâce à l'ampleur que prennent certaines associations.
Ce qui me ramène au thème du forum : le bâtiment. Il existe ici plusieurs associations, comme Tiez Breiz par exemple, qui favorisent l'auto-construction et la restauration du bâti ancien avec des matériaux locaux, et non pas avec du béton ou du PVC. Si mes souvenirs sont bons, la Bretagne est même l'une des seules régions où une association (la Charte Patrimoine) décerne un label de qualité aux (trop peu nombreux) artisans employant des techniques 'à l'anciennes'. Leurs prestations sont un peu plus chères, d'accord, mais c'est un investissement. Le résultat n'est pas fait pour tenir quarante ou soixante ans, mais des siècles. Et la valeur ajoutée à votre patrimoine est colossale. J'en parlais il y a peu avec un menuisier allergique au vinyl et aux essences exotiques qui rêve d'entrer dans ce club de l'excellence technique.
Comme vous le voyez, l'ouverture sur la nation de notre région n'a pas eu que des côtés positifs, tant sur le plan culturel (éducatif) qu'économique. Mais la révolution est, je l'espère, en marche. Quant au régionalisme, il me semble plus censé à l'échelle de l'Europe de le nationalisme. Un jour, la France disparaitra administrativement parlant pour faire place à une entité plus importante. Je doute que cela arrive pour la Bretagne. Elle est l'évolution logique de ses cinq (oui, cinq, car n'en déplaise à Pétain qui a fait la division, c'est toujours vrai pour la Justice) départements. Elle existait bien avant l'arrivée des francs et elle leur survivra. ;-)
P.S : Merci beaucoup pour l'information sur les postiers. Je ne suis pas moi même féru d'équidés, mais certains de mes amis seront ravis d'apprendre cette nouvelle.
n'allez pas dire a un Nantais qu'il est breton… je suis Andégave car je suis né dans les Andes de parons breton si l'on peut dire car en bretagne vous etes tellement "racistes" que vous considérez qu'un natif du pays de REdon n est point un breton… et je parle de Sixt sur aff… ou j'ai un cousin charpentier,
pour en revenir au patrimoine acheté par des parisiens, comme vous dite, je signale quela maison en question à été vendu 15000 euros et que sans se parisiens elle serait tombé en ruine, d'ailleurs dans cette région il y en encore quelques unes a vendre toutes en bauge
et coincidence je vais y retourner pour poser de fentre en bois… et faire un sol de terre cuite puisqu'il y a encore la terre battue, donc vous voyez cest une maison dans son jus.
quand au équidé j'ai fait du débardage avec des postiers bretons, et de l'attelage de compétitions… voila et puis il n'y a pas que la terre pour construire des maisons, et je puis vous dire queles bretons sont assez " terroristes " pour exquinter leur maison eux meme je connais du coté de Plussulien des maisons dite en pierre debout qui on était masqué par un enduit de chez lafarge…
Attention, ne vous méprenez pas, je parle ici des gens qui déboulent de nulle part pour arriver en colons républicains et qui, sous prétexte qu'ils sont en France, transforment des hameaux entiers en villages de vacances. Ils sont très, très nombreux. Par contre, j'ai le plus grand respect pour les gens qui viennent vivre ici, montent des projets, forment des familles, car eux aussi deviennent des moteurs de la région. Vivre et travailler au pays. Si en plus ils entretiennent dans leur jus des bâtiments, alors je dois avouer qu'ils valent mieux que bon nombre de breizhou de ma connaissance. Dailleurs, votre ami n'est plus parisien. Si il vit définitivement par ici et se prend d'amour pour le coin, il est maintenant breton. S'il a des enfants, il les élèvera avec ces mêmes valeurs, et en fera aussi de petits bretons. Même si cela a tout pour vous déplaire. ;-)
Le saccage des habitations par leurs propriétaire ? Comme le disait un célèbre chanteur, "Je suis né quelque part, laissez moi ce repère, ou je perds la mémoire". La tradition rurale voulait que les habitations bretonnes soient belles et solides, même pour des fermiers modestes. Ceci grâce au régime du "domaine congéable" qui en faisait des propriétaires, et dont voici une définition :
"Régime agricole spécifique à la Bretagne, très courant du 14e au milieu du 19e siècle. Il distingue deux propriétés sur une même exploitation : l’une foncière appartenant le plus souvent à la noblesse, l’autre édificière appartenant le plus souvent à l’exploitant. appelé notamment domanier. La première était illimitée dans le temps. La seconde était temporaire ou « congéable », au terme d’un bail de 9 ans accordé par le propriétaire foncier. Ce bail était toutefois renouvelable indéfiniment, si bien que des lignées familiales restaient parfois plusieurs siècles sur la même exploitation."
La pression des politiques, de l'Education Nationale et des industriels comme Lafarge ont donné un mélange explosif. Ajoutez y la vie moderne, et vous y mettez le feu. Boum. Le patrimoine bâti breton était exceptionnel de beauté et de richesse. Il l'est de moins en moins, pour ne pas dire 'pas mieux qu'ailleurs'. Mais que voulez-vous… c'est le progrès… :-(
L'exemple urbain est différend. Beaucoup de villes ont été largement bombardées pendant la seconde guerre mondiale. Pourtant, en restant dans les Côtes d'Armor, voyez Saint-Brieuc. Presque plus une seule maison à pan de bois, alors qu'elle en était aussi remplie que sa voisine Dinan. Et pas la plus petite bombe pour l'effleurer. Une destruction "municipale" pendant la première moitié du siècle dernier, pour faire de cette préfecture un "petit Paris".
Il y a eu tellement de dégats. C'est maintenant trop tard. Le marketing, les commerciaux, les politiques appâtés par le gain, les banquiers, l'Etat réclamant une nation unique et indivisible… ils ont tous gagné. Le problème n'est pas qu'un opportuniste fasse son petit trou de temps à autres, non, c'est plutôt que tout est arrivé d'un coup, sur quelques dizaines d'années. Pourtant, je garde espoir grâce aux associations dont je vous parlais, qui sont très actives, gagnent en importance, et synonymes d'un réveil progressif. Après trois ou quatre générations à qui on a inculqué de force un modèle qui n'était pas le leur, j'ai confiance dans la jeunesse.
merci, au fait je pense que le petit parisien qui n habite pas en core definitivement a yvignac la tour, la restaurera dans son jus sans trop de confort moderne, retenez son nom Amans Gossuel, et faite une recherche sur google, on parle déja de lui… et pourtant il ne roule pas sur l'or, son épouse est institutrice et il s'est epris d'une maison en terre , en bauge, qu'il restaure avec peu de moyen, et je lui donne un coup de main, il l'a payé 15 000 euros il veut la rendre habitable pour 15000 euros, paris insensé direz vous, c est pourquoi les bonnes ames sont les bienvenus…
mais je pense que l'on va y arriver pour que d'ici quelques années, il puisse venir y habiter et que son épouse puisse enseigner dans un village de bretagne, et qu'il puisse aussi créer son école de théatre.
bien a vous
alain landry
Et ben dis donc.....
Quand je pense que je me faisait engueuler, quand j'osais parler de construction mixte: brique alvéolaire+ Bois.... car nous sommes sur un forum devant parler de bois....
Moi j'aime bien… J'ai pas tout compris (le rapport entre les chevaux et les maisons bretonnes?), mais c'était instructif.
Finalement c'est pas plus mal si les acteurs du forum ont compris que construire ce n'est pas seulement assembler des bouts de bois. N'est-ce pas Mr Landry (je plaisante) ;-).
Au fait, ils ont toujours des chapeaux rond les Bretons? … Bon bon d'accord…je vous laisse discuter tout les deux.... Vous couchez pas trop tard quand même.
Bonsoir kamasoutra. :-)
Figurez-vous qu'au début, je n'avais pas trop saisi non plus le rapport entre chevaux, généalogie et murs en bauge. Mais bon… faut s'adapter, nest-ce pas ? Je suppose que ce type de débordement irrationnel rend le personnage plus attachant. A la longue, on se fait à tout, même à Mr Landry. ;-)
Je pense que vous avez raison de parler de construction mixte. La restauration est une chose mais la construction en est une autre. Dans ce domaine beaucoup de choses sont à expérimenter pour valider dans la durée celles qui seront les normes de demain. Les industriels ne s'y colleront pas. Alors à vous de jouer !
Et les chapeaux ? Eh bien non, ils ne sont pas obligatoirement ronds. En fait, ils se transforment à volonté, courts, longs, carrés (minces, gros ou roooooooonds). :-D
A nous deux, Mr Landry. J'ai cherché quelques informations pour votre ami (comme quoi, on peut être breton et passer dix minutes à aider un futur compatriote à s'installer au mieux). Les adresses suivantes pourraient lui être d'une grande utilité, s'il ne les connait pas déjà. Elles sont aussi des pistes pour en trouver d'autres.
* Le CAUE des Côtes d'Armor
29 rue des promenades, 22000 Saint-Brieuc, 02 96 61 51 97, caue22@wanadoo.fr
* Tiez Breiz - Maisons et paysages de Bretagne
http://perso.wanadoo.fr/tiez-breiz/
(Contient pas mal d'infos pour les auto-constructeurs amoureux du bâti dans son jus)
* La Charte Patrimoine (UCQPAB)
http://www.ucqpab.com
(Label de qualité. La charte et les conseils peuvent se consulter en ligne. Contient également une liste des artisans agréés)
En vous souhaitant une bonne nuit, car il est déjà bien tard. :-)
bonjour merci,
pour le CAUE, j occuleterai, comme vous le savez je travail chez un architecte, et les architectes detestent les CAUE, qui emploi de "architectes ratés" et qui en plus son payé par les architectes qui payent des taxes pour pouvoir payer des architectes ratés,
J'ai le cas de votre CAUE, qui déconseillait la construction en Ossature bois sur la cote bretonne défigurant le paysage , et meme que le systeme constructif n'était pas adpaté a la région, qu'il préféreit le parpaing…
il est evident que le jour d'une grande réunion qui eu lieu à Saint Brieux et quej'ai sorti la lettre, il y eu un mouvement d humeur
l'autre association je connais c est l équivalent des maisons paysannes de france mais pour la bretagne il faut bien que les bretons se distinguent… régionalisme et indépendance suréaliste oblige que ferait les bretons sans les français, meme si j'ai eu un moment la faiblesse de croire que celle ci pouvait etre indépendante…
Quand aux diffenrentes chates , je ne retiens que la charte de Venise, qui ferait bien d etre apliqués en bretage et dans toutes les régions de france, mais c est pas demain la veille lorsque l'on vois la multitude des PLU qui se mettent en place et fond barage au construction contemporaines pour préserver le caractére des petits villages de france… si ça c est pas une forme de racisme, appliqué à la construction contemporaine , j'en veux rien....
je rappelle que la grande ligne de la charte de Venise est de ne pas construire en copiant ce qui existe , on doit dés le premier coup d oeil pouvoir distinguer une construction recente, d'une construction ancienne, alors. M.... avec le néo Breton, le néo angevin, le néo provençal, le néo basque, le néo savoyard … etc.
Je rentre de week-end et j'ai mon petit message tout chaud de Mr Landry. Que demande le peuple ?
Vous avez fait jusqu'ici un redoutable camarade de jeu.
Mais reprenons les choses où elles en étaient. J'ignorais que vous fûtes un collaborateur d'architecte. Ceci explique beaucoup de choses quant à votre conception pour le moins sectaire du bâtiment, si bien sûr je puis me permettre. Et puisque nous en sommes à étaler nos CV, allons-y gaiement. Je suis un jeune retraité des bureaux d'études techniques où j'ai dû pendant quelques années gérer l'incompétence notoire d'architectes et de designers (accompagnés de leurs collaborateurs) sur quatre continents. C'est dire si je connais par coeur ce type de raisonnement conditionné par des écoles dont le niveau laisse plus qu'à désirer (et c'est un euphémisme), ou encore par un milieu professionel où l'on cultive l'absence de remise en question. Ce n'est pas valable qu'en France, c'est une tendance globale à l'heure de la mondialisation. Pour aller jusqu'au bout de mon idée, j'ajouterais que de l'aveu même de vieux spécialistes maintenant membres de jurys decernant les diplômes, qu'un 'architecte raté' c'est un peu comme employer les expressions 'monter en haut' ou 'descendre en bas'. On forme mal les maçons, on ne forme pas mieux les archis. Bien heureusement, beaucoup d'entre eux sont les exceptions qui confirment la règle. Ce sont en général ceux qu'on retrouve sur les chantiers, ceux qui s'occupent de la maîtrise d'oeuvre. Ce qu'ils n'ont pas appris à l'école, ils le découvrent sur le terrain. Mais il n'est pas permis à tout le monde de vouloir devenir compétent.
Le CAUE n'a qu'un rôle consultatif, et fait en général plutôt bien son travail, surtout dans les Côtes d'Armor. Il me vient à l'esprit l'exemple récent d'une personne désirant également construire en ossature bois sur la côte, près d'Erquy me semble-t-il, et qui a subit le véto du préfet. Ce fait est extrèmement rare, le représentant de la République n'intervenant que rarement dans les affaires de constructions, mais que voulez-vous… un châlet suisse face à la mer… tout le monde en rit encore. Il en va de même pour les PLU. Quand il sont bien pensés, en concertation avec tous les acteurs concernés, ils sont indispensables pour empécher les "bretons de Paris" (les pires) ou autres de faire n'importe quoi.
La fédération des acteurs du patrimoine bâti en Bretagne est une demande formulée il y a quelques 25 ans par les Maisons Paysannes de France elles-même, à une époque où cela devenait indispensable alors qu'elles ne pouvaient s'en charger. Une fois de plus, vous parlez sans savoir… Et je ne parlerais même pas de la charte de Venise. Relisez-la, certains détails ont dû vous échapper.
Pour finir, je vous signale que vous faîtes l'amalgame entre régionalisme et autonomisme. Si vous avez oeuvré pour l'indépendance de la Bretagne, alors vous lui avez fait plus de mal que de bien. Heureusement que votre ami souhaite limiter le budget de la restauration de sa maison, l'obligeant à s'orienter vers les techniques à l'ancienne qui ne coûtent presque rien, sinon vous auriez continué. Il met tous les atouts de son côté pour réussir son intégration. Ce n'est visiblement pas votre cas, ni votre désir. Alors soyez sympa avec lui, contentez vous de travailler et ne le conseillez pas trop… ;-)
Sur ce message, je vous salue Mr Landry. Je confesse que l'aveu de votre profession me déçoit un peu car j'ai l'impression de trop bien connaitre l'amertume qui vous motive. Remettez les choses en perspective et prenez un peu de recul. Vous verrez, ça fait du bien.
Avant d'oublier. Ce n'est pas Saint Brieux mais Saint-Brieuc. Bon, c'est vrai, j'avais dit que je ne comptais plus points. :-)
Kénavo, ha chañs vat en Aodou an Arvor.
(Au revoir, et bonne chance en Côte d'Armor)
A nos deux protagonistes…
Maintenant que nous avons vos deux CV, nous aussi nous comprenons mieux de quoi vous parlé.
Tous les deux entre 55-60 ans, au lieu d'utiliser vos precieuses compétences acquisent durant de laborieuses années, vous vous cantonnez à évoquer les monuments historiques, le patrimoine, les façons à l'ancienne, etc…
Vous devriez vivre un peu plus dans le présent, vous dire que les anciens avaient parfois tort, et que s'ils ne s'étaient pas parfois remis en questions, nous serions encore dans des huttes (c'est vrai que les maisons bretones y ressemblent un peu), des chateaux forts, ou encore dans des cavernes.
Un ingénieur et un maitre d'oeuvre, qui devisent allégrement sur l'incompétence des architectes. L'ingénieurs qui "corrige" parce qu'il ne se trompe jamais, qui compare les ossatures bois à des "chalets Suissses", le maitre d'oeuvre qui comme sur son chantier considèrent que c'est le dernier qui a parlé qui a raison, et qui en remet, en remet....
Finalement entre pédance et prétention, j'ai du mal à qualifier votre discution…
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