Bonjour à tous.
je suis surpris de voir 25 lectures et aucune réponse. Alors y aurait-il quelqu'un qui s'y connaisse d'expérience sur le forum qui puisse m'aider?
Je réitère ma question de nouveau : connaissez vous un diffuseur d'insecticide efficace et DURABLE qui éliminerait les capricornes et autres petits coléoptères xylophages comme les vrillettes à mettre/accrocher au début du printemps dans mon grenier. Diffuseur automatique électrique ou sous forme de plaquette durable?
Ou connaissez-vous le système efficace le plus économique?
les insecticides diffuseurs qui s'adressent aux moustiques sont-ils valables pour les dits capricornes?
merci de vos réponses à venir
cordialement
JC Marcel
PS rajout : je suis entrain de traiter au xylophène les parties atteintes (environ 5%) avec une seringue de vaccin de vache. je trouve cela efficace dans la pénétration du bois de sapin/pin et seul la marque xylophène s'absorbe bien. Les autres coulent. j'ai bien sur la combinaison et le masque pro et lunettes pro pour protections.
Donc à partir du début du printemps, EN PREVENTION j'envisage une action à longue durée de diffusion d'insecticide jusqu'à fin d'automne DANS LES QUATRE GRENIERS. Insecticide bio ca serait parfait, mais je ne pense pas que ca existe!? J'ai 800m2 de grenier sous forme de quatre greniers séparés! ya donc du boulot sur la planche. Merci.
Si on repond pas c'est qu'on sait pas, c'est pas qu'on veux pas repondre…meme si on a lu votre question.
Aussi faut etre patient, tout le monde n'est pas connecté 24/24 sur le forum, certains repondent le soir, d'autres le week-end, ca depends et y'a pas de garantie de resultats.
Si tout le monde reponds pour dire non, ca sert a rien.
Donc moi j'y connais rien la dedans, mais aller chez un droguiste il devrait pouvoir vous aider…sinon essayer un charpentier pres de chez vous.
Salut,
Il existe normalement un produit écologique et sain, c'est le xyleco qui est préventif et curatif.
Yanic
Le principe de diffusion est illusoire. Ce ne sont pas les insectes qui sont nocifs, mais leurs larves. Il suffit donc d'inhiber le processus de croissance juste après la ponte (qui se fait dans le premier millimètre à partir de la surface), et le plus efficace, c'est l'application de produits "ad'hoc" par badigeonnage ou pulvérisation.
Le coup de la seringue dans les trous, c'est du folklore d'antiquaire !!!
Les trous, ce sont des orifices DE SORTIE ; vous pouvez toujours mettre du produit dedans, l'insecte est DEJA PARTI, tout au plus, il va rigoler dans son coin.
Ensuite, il n'est utile de traiter QUE les bois avec un aubier NON DIFFERENCIE. vous parlez d'une atteinte de 5%, ce qui indique selon toute vraissemblance qu'il s'agit d'un pin (si c'est du résineux) avec assez peu d'aubier. Or, le coeur de pin n'est pas sensible au xylophages ; tant mieux, d'ailleurs, car il n'est pas non plus imprégnable.
Alors, laissez les bestioles bouffer les 5% (d'ailleurs, c'est déjà fait), et faites l'économie de l'achat du produit, des gants du masque et du temps passé. Vérifiez simplement (auprès du scieur u du charentier du coin) de quelle essence il s'agit réellement.
Il existe un produit bio produit par Q-chem: insectkiller (http://www.qchem.nl/fr/)
Je ne connais pas son importateur francais, mais vous pouvez les appeler.
Il ne s'agit pas de diffusion mais de produit a dilluer différemment selon le type d'insectes a éliminer
Merci à FOO pour vos remarques fondées. J’irai voir un droguiste et un charpentier aussi.
- Merci pour le conseil du Xyleco à Yanic
- et merci encore pour les conseils détaillés de JF Quillacq. Dont je reprends ses remarques.
D’accord avec vous JF Quillacq: « Ce ne sont pas les insectes qui sont nocifs, mais leurs larves ». Mais le principe de diffusion dans une action préventive annuelle par exemple par un produit fumigène à deux, trois reprises dès le printemps, un autre fin juillet ne serait-il pas un système radicalement efficace (soit l’insecte adulte est tué en sortant des poutres pour les larves qui n’auront pas rencontrées le xylophène, soit le nouveau insecte pénétrant sous le toit est repoussé ) et AUSSI surtout ne serait-ce pas une solution peu coûteuse ?
J’écris cette fois-ci « fumigène » et non plus « plaquettes » comme dans mon message initial, car j’ai appris depuis par un fabriquant industriel de « plaquettes in'secticides » que celles-ci ne seraient pas efficaces contre les insectes rampants et volants genre coléoptères xylophages à l’exception des mouches, moustiques.
Le spécialiste m’a alors proposé d’utiliser des « boîtes fumigènes insecticides » redoutables pour les insectes volants et rampants. Des boîtes fumigènes coûteraient bien moins chers que de traiter les 600 m2 de toiture pour lesquels :
- soit les devis que l’on m’a proposés vont jusqu’à 15000€
- ou soit par moi-même comme vous me le suggérez JF Quillacq : « …d'inhiber le processus de croissance juste après la ponte (qui se fait dans le premier millimètre à partir de la surface), et le plus efficace, c'est l'application de produits "ad'hoc" par badigeonnage ou pulvérisation.! » comme vous le suggérez bien, mais système qui prend beaucoup beaucoup de temps et coûte tout de même beaucoup d’argent, même si je fais entièrement moi-même, plus le côté dangereux d’être en contact longtemps avec le « Xylophène » malgré les précautions indispensables. Les poumons en prennent au minimum un coup !!
Vous voyez je cherche le moyen efficace et bon marché et durable,!? Chaque année, je serai confronté à ces problèmes de ces petites bêtes.
Parce qu’en remarquant les poutrelles qui sont affectées, j’ai noté que ces dernières ont plusieurs trous, alors que les poutres saines n’en ont aucun ! Vu les photos des trous des insectes sur internet, et les textes d’explications de vie des xylophages, j’en ai conclu qu’il s’agirait dans mes toits peut-être des « capricornes de maison » qui adultes ne prennent pas le temps de voler, ne mangent pas et restent au même endroit pour seulement rencontrer le/la partenaire et refaire le cycle pendant trois semaines.
Parce que un peu malheureusement, (bien que j’accepte que tout le monde défende son bifsteak, c’est loyal), ces explications sur les sites d’insecticides concluent toutes au conseils du « buchage » des parties des bois atteintes, puis traitement en profondeur par pression très forte par leur société diffusant le site.
La, je ne suis pas convaincu par leurs théories onéreuses, parce que en vrac :
1 - « Bucher » déforme vilainement les belles poutres qui ont conservé leur forme et dont le solide est encore assuré.
2 — traiter le reste sain affaiblit la poutre, car parfois la pression de 1OO bar peut casser le bois !? Mettre le produit en surface me parait suffisant.
3- vue la surface immense à traiter, je ne crois pas que même les professionnels puissent traiter entièrement la totalité correctement, ce qui leur prendrai des semaines à réaliser !?
4 - Parce que les personnes professionnelles dans leurs devis considèrent dans leur prix la totalité de la surface du bois comme totalement affecté, ce qui est loin d’être le cas !? Puisque j’ai moi-même finalement frotté toutes les poutres à la paille de fer et testé à l’aiguille leur consistance, vérifier les trous existants, etcetera puis commencer à traiter les quelques parties atteintes seulement dans un grenier sur les quatre.
D’accord avec vous et merci de dire que :
« Le coup de la seringue dans les trous, c'est du folklore d'antiquaire !!!
Les trous, ce sont des orifices DE SORTIE ; vous pouvez toujours mettre du produit dedans, l'insecte est DEJA PARTI, tout au plus, il va rigoler dans son coin. » Vous avez raison, mais j’avais l’impression au moins d’inonder les anciennes galeries pour les autres copines encore à l’état larvaire !
Vos remarques suivantes sont pertinentes : « Ensuite, il n'est utile de traiter QUE les bois avec un aubier NON DIFFERENCIE. vous parlez d'une atteinte de 5%, ce qui indique selon toute vraissemblance qu'il s'agit d'un pin (si c'est du résineux) avec assez peu d'aubier. Or, le coeur de pin n'est pas sensible au xylophages ; tant mieux, d'ailleurs, car il n'est pas non plus imprégnable.
Qu’appelez vous UN AUBIER « NON DIFFERENCIE » ?
Alors, laissez les bestioles bouffer les 5% (d'ailleurs, c'est déjà fait), et faites l'économie de l'achat du produit, des gants du masque et du temps passé. Vérifiez simplement (auprès du scieur ou du charentier du coin) de quelle essence il s'agit réellement. » et JE VAIS EFFECTIVEMENT M’ENQUERIR DE ME FAIRE CONFIRMER soit ici sur le forum soit en allant voir un ou deux charpentiers et droguistes pour me faire confirmer cet avis. Parce qu’alors pourquoi les « professionnels des traitements du bois » n’en parlent pas si le cœur des résineux n’est jamais attaqué par les larves de capricornes, mais seulement l’aubier des résineux!?
Le sujet reste encore un peu à débattre.
Cordialement
Marcel
juste une remarque, question d'en prendre plein les bronches :
- si vous faites une application par badigeonnage (voire par pulvérisation), vous la ferz une fois tous les 10 à 15 ans. Donc pendant le temps du travail, et même si c'est un peu plus compliqué, vous pouvez mettre des gants et un masque.
- si vous faites de la diffuson 2 ou 3 fois par an, il y a toute les chances que ce soit vous qui en respiriez le maximum (et une fois que vous aurez + ou - tué tous les insectes volants présents dans votre espace et que la diffusion aua été arrétée, qu'est ce qui vous protègera des insectes volants qui viendront de chez le voisin ?)
Bonsoir.
J'ai eu la confirmation par un technicien industriel KAPO fabriquant de fumigènes que celui-ci ne résoudra pas le problème, mis à part les jours suivants d'action de celui-ci. J'ai déjà acheté une de leurs boîtes pour voir les textes pensant l'utiliser avec d'autres au début du printemps prochain!
Merci encore JF QUILLACQ de votre remarque tout à fait logique. J'aime bien que cela soit confirmé deux fois vu l'enjeu financier et le temps. Je rappelle que les devis vont jusqu'à 15000€!
Je reprends donc JF QUILLACQ votre autre remarque importante suivante, et j'aimerai la confirmation d'un autre spécialiste parce que je n'ai pas trouvé sur place de personnes pouvant me répondre et donc je reprends le forum, à savoir: .
: « Ensuite, il n'est utile de traiter QUE les bois avec un aubier NON DIFFERENCIE. vous parlez d'une atteinte de 5%, ce qui indique selon toute vraissemblance qu'il s'agit d'un pin (si c'est du résineux) avec assez peu d'aubier. Or, le coeur de pin n'est pas sensible au xylophages ; tant mieux, d'ailleurs, car il n'est pas non plus imprégnable.
Alors, laissez les bestioles bouffer les 5% (d'ailleurs, c'est déjà fait), et faites l'économie de l'achat du produit, des gants du masque et du temps passé. Vérifiez simplement (auprès du scieur ou du charentier du coin) de quelle essence il s'agit réellement. »
1/ Alors si le coeur de pin n'est pas sensible au xylophages, pourquoi les « professionnels des traitements du bois » n’en parlent pas si le cœur des résineux n’est jamais attaqué par les larves de capricornes, mais seulement l’aubier des résineux!?
2/ Dois-je laisser le grenier en état puiqu'il s'agit dans les greniers de bois de résineux datant de 1930.
si votre remarque s'avère confirmée, le problème est effectivement résolu tout simplement qui plus est sans frais.
Cordialement
JC Marcel
1/ Alors si le coeur de pin n'est pas sensible au xylophages, pourquoi les « professionnels des traitements du bois » n’en parlent pas si le cœur des résineux n’est jamais attaqué par les larves de capricornes, mais seulement l’aubier des résineux!?
1-les professionnels en parlent : voir NF B 50-100 dans son ancienne version ou EN 335 dans la nouvelle, ainsi que EN 350 -2 (guide de la durabilité naturelle et de l'imprégnabilité d'essences de bois choisies pour leur importance en europe)
2 - j'ai tujours soutenu que demander conseil à quelqu'un qui gagne sa croute par l'application de ce qu'il conseille était assez illusoire (autre aspect de la question : demander à un restaurateur : il est bon, votre plat du jour ?)
2/ Dois-je laisser le grenier en état puiqu'il s'agit dans les greniers de bois de résineux datant de 1930.
ça me parait raisonnable ; ça fait 75 ans qu'il résiste allègrement.
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