j ai un peu de mal avec les bretons du nord… leurs ancétres ont fait tellement de mal a la bretagne,

Alain Landry a écrit :

gt22 a écrit :

Salut AL

cela fait X semaines que je ne poste plus sur le site je me contente de lire et constater que tu continu a polluer avec tes conneries

le breton qui te veux du bien

@+

PS: encore beaucoup de visite de mon auto-construction des projets de nouvelles réalisation en route
et tout cela toujours dans le tregor

enfin on fait dire ce que l on veut bien dire a ce qui nous arrange  je pense que l enchanteur est un integriste,    j ai un peu de mal avec les bretons du nord… leurs ancétres ont fait tellement de mal a la bretagne,   (pas tous il est vrai mais je crais que   pour les conneries ok  mais  ne me dites pas que le red cedar est exploités de façons raisonnées…   rien n est moi sur ,  je ne comprends pas qu un type se disant breton fasse de la publicité pour des bois étranger alors que le douglas envahis la bretage depuis 35 à 40 ans

Bonjour Mr Landry,

Voici un  article récent paru ds ouest france :

Chaque année, seul 42 % du renouvellement de la forêt bretonne est utilisé. C'est trop peu pour les professionnels de la filière bois. : Jérôme Fouquet

Il y a, en Bretagne, 124 000 propriétaires de bois privés. Qui ne tirent pas forcément avantage de ce matériau dont le prix ne cesse pourtant d'augmenter.
« Le prix du bois flambe ! », remarque, d'un air amusé, Michel Hamon, patron d'une scierie à Merdrignac. « Le prix du résineux a augmenté de 30 % en deux ans ! » Le marché du bois se porte bien. Il est tiré par les constructions de maisons à ossature bois qui progressent de 20 % par an. Meubles, parquets, charpentes… Ce matériau noble et chaleureux séduit de plus en plus.

Une opportunité pour les 124 000 propriétaires bretons de parcelles boisées. « La grande difficulté est de les toucher et de les convaincre qu'il est de leur intérêt de valoriser leurs forêts, », dit Laurent Denormandie, président national de la Fédération nationale du Bois. Les propriétaires de forêts privées l'ont compris depuis longtemps. La difficulté de mobiliser le bois en Bretagne vient du morcellement de la propriété forestière privée. « Nous n'utilisons chaque année que 42 % du renouvellement de la forêt bretonne (1), note Claudine Josso, présidente du Syndicat des exploitants forestiers et scieurs de Bretagne, ce n'est même pas la moitié de ce qui repousse. On ne risque pas de mettre la forêt en danger ! »

Protection, récréation, production

Exploiter une forêt, ce n'est pas la détruire. C'est l'entretenir, lui permettre de se régénérer naturellement. « La forêt, résume Laurent Denormandie, remplit trois fonctions : elle protège, contre l'érosion ou l'avancée des sables, par exemple ; elle est récréative, c'est un lieu de promenades, de cueillette de champignons, de chasse ; et elle est productive, elle fournit toutes sortes de bois. » Or, une forêt mal entretenue ou qui n'est pas valorisée n'assume plus ces fonctions. « Sans entretien, sans éclaircies, sans coupes rases et replantations, pas de promenades, pas de champignons et pas d'entreprises », explique le président de la FNB.

« Une coupe rase, pas question ! C'est du massacre ! », s'exclame le promeneur amoureux des bois. « Pas question de raser mon bois ! », s'insurge de son côté le petit propriétaire qui tient à son patrimoine. Et pourtant, l'un comme l'autre ont grand tort. « Quand une parcelle d'épicéas Sitka parvient à l'âge de 45 ans, il faut l'exploiter, insiste Olivier Ferron, de l'Abibois, l'interprofession bretonne du bois. Il suffira au propriétaire de ne remettre que 20 % à peine de ce qu'il aura gagné pour replanter une forêt qu'il pourra léguer à ses enfants et petits-enfants. » Garder trop longtemps ses arbres ne sert à rien. Ils deviennent sensibles aux maladies et au vent et consomment fort peu de CO 2 , alors que de jeunes plants en consomment beaucoup. « Un mètre cube de bois, c'est une tonne de CO 2 , un matériau écologique, constamment renouvelable », rappelle Claudine Josso.

La forêt française se porte bien. Elle n'a jamais été aussi étendue avec seize millions d'hectares, alors qu'elle n'en faisait pas la moitié au Moyen Âge. « Elle progresse de 30 000 hectares chaque année, dit Laurent Denormandie, l'équivalent de 50 000 terrains de foot ! » Et pourtant, faute d'une bonne valorisation, la France est obligée d'importer 3,5 millions de mètres cubes de sciage. Tout est bon dans le bois. On en tire de tout : papier, panneaux, emballages, palettes, et aussi meubles, parquets, lambris, terrasses, charpentes, maisons. Mettre du bois dans sa vie fait aussi vivre la forêt.
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J'ai l'impression que le problème à l'air plus complexe que cela .

on ne va pas choisr du Douglas de Bretagne sous prétexte qu'il y en a bcp de disponible mais plutôt parceque ses performances correspondent au besoin d'un bardage et équivalent à d'autres essences.
Le Douglas doit être traité en plus je crois ? comparer au red cedar et Melèze ?

Mr Le Garrec
PS : j'attends la volée de bois vert !