la version 2007 passe très bien sur excel pour mac au dernières nouvelles (c'est marrant ça en parlait hier sur le forum privé de LaMP). C'est en cours de validation/vérification pour OpenOffice (la version 2004 passait pas très bien sur ce dernier)
Les MP sont l'amélioration du concept bioclimatisme.
ok merci je vais aller voir ça.
Les MP sont l'amélioration du concept bioclimatisme
je suis pas tout à fait d'accord mais la discussion dépasserait le topic de ce post. Je dirais juste que c'est 2 approches différentes.
je suis d'accord avec LAURENT ,pour moi il y a egalement bioclimatique ecolovivante,et passive technoantibiotique.Chacun ses choix de vie!
Il est clair qu'on ne peut pas tenir le même raisonnement pour du vitrage sud destiné aussi au captage passif, et du vitrage est, ouest ou nord. Un dbl vitrage basse émissivité argon g=64% capte 25% d'énergie en plus qu'un triple vitrage avec 51% de facteur solaire.
Qui plus est, pour que l'investissement en vaille la peine, il faut que le gain soit significatif.
Il est très facile de simuler l'impact du VITRAGE SEUL (le chassis, c'est encore un autre débat) sur un bâtiment, grâce à un logiciel comme PLEIADES+COMFIE, par exemple, sur une période donnée non pas avec la méthode des moyennes mensuelles, mais avec des données journalières réelles fournies par une station météo. Pour l'avoir fait un certain nombre de fois sur nos projets, je suis arrivé à la conclusion que, pour une architecture "très" climatique (idéalement plutôt 80% vitrage sud, 10% est, 10% ouest, surface vitrée>20% de la surface habitable) non seulement le gain n'est pas significatif, mais que ce gain est… une perte (thermiquement et financièrement, bien sûr).
Voici une petite simulation à réaliser en 5 mn sous Pléiades (ou mini-Pléiades) : créer une boite de 3*3m, toutes les faces étant identiques et isolées (ici 20 cm d'isolant) ne mettre qu'une fenêtre (1m²) sur la face sud, qui ne contient que du vitrage (100% de clair, pas de chassis) et effectuer une simulation thermique au plus froid de l'hiver avec du double vitrage FE AR (U=1.1 et g=64% (le Climaplus N de SSG) puis avec du triple vitrage (g=51% et U=0.5). On a donc un simple cube isolé chauffé uniquement par le soleil.
Pour Carpentras et Nancy, c'est le double vitrage qui permet d'obtenir la courbe de t° la plus élevée. A Carpentras, l'avantage est très net (parfois plus de 2° en journée), à Nancy l'écart se resserre. Bien sûr, il est probable qu'à 1000m d'altitude en Savoie, ce soit l'inverse. Il est aussi certain qu'un vitrage au nord aura un meilleur bilan en triple vitrage. Reste à voir ce que ça donne avec du chauffage, bien sûr. Et là tout est question de conception : les pièces très vitrées n'étant pas utilisées la nuit.
La conclusion : triple vitrage, pourquoi pas, mais ça dépend où et pourquoi. On ne met pas de lunettes de soleil pour conduire la nuit, ce qui ne veut pas dire que les lunettes de soleil sont toujours inutiles.
TV :
- Pour du captage, c'est plutôt mauvais (facteur solaire trop faible)
- Pour la lumière, c'est à peu près équivalent
- Pour des fenêtres mal exposées, c'est une solution intéressante. Mais, si on veut pousser le bouchon plus loin, la solution à privilégier dans ce cas, c'est d'essayer de ne pas créer d'ouverture mal orientée. Le risque, comme toujours, c'est de faire passer le composant avant la cohérence du projet d'un point de vue thermique : "je mets du TV, donc je peux créer n'importe quelle ouverture dans n'importe quelle direction".
Qui plus est, la solution souvent adoptée pour limiter les surcoûts liés au TV est de se passer de volet, le vitrage étant déjà très isolant (pour l'hiver). Sauf que… en été, ça peut aussi être bien pratique (le facteur solaire plus faible du TV ne permet pas de se passer de protections solaires estivales) et en hiver, un DV+volet sera nettement plus perfomant au sud qu'un TV.
Il me semble donc que ça vaut le coup de se pencher sérieusement sur le problème, et d'étudier la pertinence de tel ou tel choix au cas par cas (ei ouverture par ouverture) et en fonction du lieu. Pourquoi un type de vitrage serait-il sytématiquement "meilleur" en tout, et partout ? C'est finalement le même problème que pour l'isolation, qu'on devrait dimensionner en fonction du lieu et du climat et non d'après les garde-fous de la RT2005 (ou autre, d'ailleurs).
En ce qui concerne le prix, c'est à nuancer toutefois. Dans mes retours (8) devis j'ai des offres doubles vitrages 1,5 à 1,8 fois plus chers que des offres triples vitrages (de qualité pourtant) : très grande variabilité.
Pour les vitrages autre que sud, même en triple c'est déficitaire. Nord c'est du déficit pur et E/W c'est en plus le problème de la surchauffe si pas de protection extérieure.
C'est un excellent résumé Architecture Naturelle ! Merci aussi pour l'exemple.
Ce qu'il faut retenir est que chaque projet est unique et doit donc être étudié individuellement et qu'il n'y a pas de solutions uniques mais des solutions adaptées avec des compromis à faire.
Il est aussi bon en effet de rappeler la nécessité des volets qui ont un rôle primordial d'isolation la nuit en hiver, quelquesoit le vitrage choisi, mais seulement si tout flux d'air autour du volet est neutralisé lorsque celui-ci est fermé (ce qui n'est pas le cas des volets à translation).
Pour ma part j'attends avec impatience l'esquisse de mon projet par mon archi pour pouvoir me lancer dans les simulations !
LP dit:
Dans le cas d'une maison bioclimatique on a une très bonne isolation mais le chauffage principale est l'apport solaire. Le stockage de cet apport se fait par inertie. On a pas forcément besoin d'une VMC double flux. Par contre le calcul thermique se fait bien aussi mois par mois (obligatoire car il faut connaître le taux d'ensoleillement, l'inclinaison du soleil etc …). Dans ce cas ci le double vitrage au sud est plus judicieux, même dans des régions comme la mienne, le nord.
Dans le cas de maison passive dont tu parles on optimise l'isolation , la ventilation pour minimiser les pertes de calories et on inclue éventuellement les apports passifs. Dans ce cas effectivement il me parait logique que le triple vitrage soit la solution même au sud.
jl demande à laurent Paille:
malgré tout comment calculez-vous vos besoins de chauffage et comment calculez-vous les apports solaires (enn KWH) ? L'hiver il n'y a pas toujours du soleil!
Quelle différence entre une "très bonne isolation" (maison bioclimatique) et "l'optimisation de l'isolation" (maison passive)
Avez-vous besoin d'un chauffage complementaire dans votre maison ?
En tout cas merci pour l'ensemble des explications qui aident vraiment à une meilleure compréhension du sujet....
Dans le cas de maison passive dont tu parles on optimise l'isolation , la ventilation pour minimiser les pertes de calories et on inclue éventuellement les apports passifs. Dans ce cas effectivement il me parait logique que le triple vitrage soit la solution même au sud.
Tout à fait.
jl demande à laurent Paille:
malgré tout comment calculez-vous vos besoins de chauffage et comment calculez-vous les apports solaires (enn KWH) ? L'hiver il n'y a pas toujours du soleil!
Quelle différence entre une "très bonne isolation" (maison bioclimatique) et "l'optimisation de l'isolation" (maison passive)
Avez-vous besoin d'un chauffage complementaire dans votre maison ?
Pour être précis ce calcul se fait par logiciel de simulation thermique.
Cela prend en compte l'ensoleillement du site de la maison en fonction du mois de l'année. Ensuite en fonction de l'inclinaison du soleil (donc de la saison considérée et de l'heure) on connaît la puissance solaire reçue (en W/m2). Puis le logiciel intégre les ouvertures et donc connaît la puissance solaire "reçu" à l'intérieur de la maison. Si le logiciel est bien fait il tiendra compte d'un stockage inertiel de cette énergie solaire reçue et donc de sa restitution graduelle participant à une température correcte dans l'habitat.
Voilà ce que fait le logiciel de simulation (entre autre car il tient compte aussi de la ventilation etc …).
Tout ceci peut se faire à la main mais c'est complexe , long et peut être plus approximatif.
En hiver effectivement il y a des périodes sans soleil. C'est alors que le chauffage d'appoint entre en action ! Ce chauffage va remplacer momentanément l'énergie non reçue par le solaire. La maison devant être bien isolée, ce chauffage n'a pas besoin d'être puissant.
Sa puissance est aussi calculée par simulation : connaissant l'ensoleillement sur un mois (période donnée en exemple, je ne connais pas exactement quelle est la durée prise dans ce cas) en hiver , je sais quelle quantité d'énergie il me manque pour maintenir une température intérieure donnée (c'est un bilan solaire reçu / pertes donné par le logiciel) alors je sais l'énergie à fournir sur cette période par mon chauffage d'appoint.
Ainsi par ex si je trouve qu'il me manque 20 kWh sur cette période et sachant que le bois produit environ 4 kWh par kg (0% humidité) alors :
en prenant une humidité de 10 % et un rendement de poële de 85 %, chaque kg de bois donnera 4*0,9*0,85=3 kWh (en gros)
Et donc il me faut 20/3 = 6,7 kg de bois pour cette période.
C'est ex est juste pour illustrer RAPIDEMENT.
Quant à l'isolation on est dans le même ordre d'idée pour une maison bioclimatique que pour une MP. C'est plus au niveau des gains/pertes qu'il y a une différence de technique et d'approche.
Quant à l'isolation on est dans le même ordre d'idée pour une maison bioclimatique que pour une MP.
quantitativement : non. ou alors la dualité DV / TVitrage <==> bioclim / passif n'a plus lieu. C'est bien la quantité d'isolation qui va donner la durée de saison de chauffe. Et la durée de la saison de chauffe qui va faire choisir le DV ou le TV.
Pour moi la dualité se fait au niveau des apports et des pertes et de la manière d'appréhender ces problèmes.
Par ex la maison passive va optimiser fortement la ventilation pour minimiser les pertes de ce côté.
Pour ma part, et de même pour ceux que je connais qui essaye de faire une maison bioclimatique, l'isolation est primordiale aussi. Avec une isolation paille (mon cas, enfin mon projet exactement) on arrive à un R d'environ 8 (toiture, murs, sol). On est de l'ordre du standart passif. Par contre je ne vais pas optimiser la ventilation comme dans une MP, mes murs sont perspirants (pas le cas en général des MP) et surtout je vais optimiser les apports solaires (non obligatoires avec une MP).
Mais c'est vrai qu'en général dans les maisons bioclimatiques l'isolation est moindre car on a pas besoin d'aller jusqu'au super isolation.
Encore une fois on voit bien que l'approche n'est pas la même donc les solutions techniques différent.
Je ne dirais pas qu'il y en a une meilleure que l'autre c'est juste différent et cela dépend aussi je pense de la sensibilité de chacun.
PS: je parle ici de MP au sens allemand du terme, pour qu'il n'y ai pas d'ambiguité sur la signification de MP.
Bonjour
Vous pouvez me faire parvenir le contact sur l'autriche pour les fentres.
Merci d'avance
salutationsss
Sinon la solution de Alain Landry est intéressante notamment avec du matériel de récupération car on obtient presque du double vitrage pour rien.
Par contre niveau isolation (et je ne parle que du vitrage et non pas du bati) ce n'est pas équivalent à du double vitrage car la distance entre les deux fenêtres fait qu'il y a de la convection qui détériore l'efficacité de l'isolation contrairement à un double vitrage où la faible distance entre les 2 vitrages (16 mm classiquement) empêche cette convection.Voilà j'espère avoir fait un peu avancer le schmilblick !
Juste pour aller dans le même sens que l'intervention de A. LANDRY (la double fenêtre pour avoir une très bonne isolation), d'autant plus que celle-ci était constructive et complètement exempt d'agressivité:
Pour moi c'est une bonne idée et c'est très isolant, à mon avis beaucoup plus que du triple vitrage si c'est correctement mis en oeuvre, n'oublions pas que c'est l'air prisonnier entre les vitres qui est isolant. Mais je n'ai pas d'étude scientifique à vous soumettre, c'est juste une intuition, enfin un peu plus qu'une intuition, voir ci-dessous. Si le phénomène de convection est bien réel pour une lame d'air épaisse, celui-ci est minimisé par l'isolation du double vitrage de part et d'autre puisqu'on a: vitre/ épaisseur d'air fine/vitre/ épaisseur d'air large/vitre/épaisseur d'air fine/vitre.
On peut toutefois reprocher à ce système d'être un peu plus contraignant sur deux points: en manipulation (ouvrir deux fenêtres successives…) et deuxième (petit) défaut, ça bouffe un peu plus de lumière, mais on peut y remédier si on en tient compte en amont en agrandissant les ouvertures.
On trouve ce genre de montage de deux fenêtres l'une derrière l'autre (chacune en double vitrage) en Suède. Il y en a un peu au sud vers Stockholm et beaucoup plus au nord, en se rapprochant du cercle polaire et au delà.
En fait les fenêtres sont d'abord montées sur un cadre en bois avec une étanchéité la plus parfaite possible (pour avoir une épaisseur d'air la plus stable possible donc plus isolante) et ensuite l'ensemble est installé dans le mur (maison ossature bois bien sûr). Résultat; un quadruple vitrage!
Une fenêtre se trouve au nu extérieur du mur et l'autre pareil mais à l'intérieur. A noter que l'épaisseur des bois, ouvrant et dormant, est, d'après mes souvenirs lointains, assez conséquente. A noter aussi que le cadre entre les deux fenêtres est pris en sandwich contre les dormants des fenêtres (il n'est pas fixé sur le champ des dormants). Enfin, le cadre entre les deux fenêtres est placé au ras des ouvrants, on peut dire que le pont thermique des dormants est supprimé.
La fenêtre intérieure est parfois ouverte en cas de soleil et de température plus clémente pour bénéficier de l'apport solaire et elle est refermée si ça se gate. Quand on ouvre les deux fenêtres c'est la fête. On a donc une flexibilité par rapport aux apports solaires que le triple vitrage ne permet pas.
Au sud, enfin vers Stockholm ça descend pas si bas que ça en hiver, disons -5 -10 mais l'hiver dure longtemps et en été quand il fait 18/20 c'est au top et tout le monde est en tee shirt, par contre au nord -30 à -40 en hiver c'est la norme et ils arrivent à se chauffer avec un poêle à bois… et +10/+12 en été,
Je rajoute que ce système de double fenêtre n'est pas du tout nouveau en Suède, je l'ai vu lors d'un voyage en 1983… et que ce n'étaient pas des fenêtres "high tech" mais construites pas les menuisiers du coin… tout ça pour dire qu'il y a des solutions très performantes, même si elles peuvent paraître étranges à première vue parce que ne faisant pas encore partie de nos pratiques, qui peuvent être une alternative aux fenêtres triple vitrage assez chères pour la majorité.
Voilà, pour finir, même si les techniques ont du évoluer au pays d'Ikéa depuis les années 80 (maintenant c'est peut-être 2 x triple vitrage…), leur système fonctionne avec des températures extrêmes de -40, donc pourquoi pas chez nous pour du passif…
Pour rebondir sur le dernier message, vous prenez l'exemple de la Suède mais avez-vous demandé l'isolation murs et toiture? pas les 12 ou 14cm qui sont la norme en France. Probablement 25cm murs et 35cm toiture voir même 45cm murs et 55cm en toiture… Donc si à -20 ils se chauffent au poele à bois, ce n'est pas uniquement dû aux vitrages. Et en 1983, je ne pense pas qu'INTERNORM ou d'autres avaient déjà inventé le triple vitrage passif…
Pour vos système de double fenêtres, l'efficacité du triple vitrage n'est pas uniquement lié au verre mais à l'ensemble menuiserie + verre et la différence entre du double même bon et du triple est importante… lorsque vous passez de 1.6 à 0.78 vous comprennez que 2 x 1.6 n'équivaut pas forcément à 0.78.
Pour un bon double vitrage, le Ug= 1.1 et le Uw = 1.4 voir parfois 1.6 donc la menuiserie n'est pas très bonne en isolation. Maintenant il est vrai que mettre du triple dans une maison mal isolée n'est pas utile…
Pour rebondir sur le dernier message, vous prenez l'exemple de la Suède mais avez-vous demandé l'isolation murs et toiture? pas les 12 ou 14cm qui sont la norme en France. Probablement 25cm murs et 35cm toiture voir même 45cm murs et 55cm en toiture… Donc si à -20 ils se chauffent au poele à bois, ce n'est pas uniquement dû aux vitrages. Et en 1983, je ne pense pas qu'INTERNORM ou d'autres avaient déjà inventé le triple vitrage passif…
Pour vos système de double fenêtres, l'efficacité du triple vitrage n'est pas uniquement lié au verre mais à l'ensemble menuiserie + verre et la différence entre du double même bon et du triple est importante… lorsque vous passez de 1.6 à 0.78 vous comprennez que 2 x 1.6 n'équivaut pas forcément à 0.78.
Pour un bon double vitrage, le Ug= 1.1 et le Uw = 1.4 voir parfois 1.6 donc la menuiserie n'est pas très bonne en isolation. Maintenant il est vrai que mettre du triple dans une maison mal isolée n'est pas utile…
Effectivement je ne pense pas que le triple vitrage passif existait à cette époque et je ne connais pas les caractéristiques des fenêtres suédoises actuelles. Toujours est-il que celles que je décris, fabriquées par des menuisiers du coin, sans haute technologie, gaz argon et compagnie, permettent une température intérieure agréable (avec le reste de l'isolation qui suit…) avec moins 40 à l'extérieur, juste avec un poële à bois (maison compacte, pas d'ouverture au nord).
Oui bien sûr le reste de l'isolation est en rapport avec les fenêtres et oui même à -40 c'est chauffage au bois: suivant la situation géographique de la maison et les exigences des propriétaires, entre 20 (au sud du pays) et 40 (au nord) d'isolant dans les murs et 35 à 50 en toiture. Et il est évident que les fenêtres dont il s'agit doivent être associées à une isolation de ce genre, il faut que le tout forme un ensemble cohérent sur le plan thermique.
Surtout ce que je voulais dire dans mon intervention c'est que je ne conteste pas l'efficacité des triples vitrages mais aussi que ce n'est pas forcément la seule solution pour une isolation la plus performante possible.
Ce serait dommage que les économies d'énergie donc d'argent ne bénéficient qu'à ceux qui ont le plus de moyens…
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