+1pour l'étude de sol et étude béton,  c'est l'étude de sol qui a préconisé la mise en place de puits de fondations, le bon sol chez nous se trouvant à 1.40m de profondeur.
Le problème qui s'est posé aussi c'est que tous les maçons ne sont pas capables de faire correctement des puits et les archi de faire appliquer une étude de sol et un devis, nous en sommes au 4ème maçon pour notre dalle et une architecte qui a dégagé, celle-ci ayant validé la mise en place de tranchée pour semelle filante malgré les préconisations de l'étude de l'étude de sol et le devis signé avec le maçon qui indiquait la mise en place de puits de fondations, pour ceux qui font construire une mob en Poitou Charentes j'ai des adresses de personnes a éviter absolument.

Tyoc, merci pour ta réponse, d'après l'étude de sol j'ai 1m d'argile gonflante après les 30cm de  terre végétale, et ensuite l'argile se mélange au calcaire pour former la couche dur.
La préconisation du cabinet d'étude de sol indique des fondations par puits, on l'a donc suivi et demandé des devis sur la base de ses préconisations.

Après sont venus les maçons, le premier au moment de passer à l'acte profitant que le marché de travaux n'était pas signé s'est désisté (entreprise de maçonnerie spécialisé dans les bâtiments industriels) à la faveur d'un plus gros marché, il repoussait notre projet de 4 mois,
Le second recommandé par l'architecte était plaquiste de métier(mais ça on l'a su après) et s'est dit qu'il y avait des sous à se faire dans la maçonnerie, il n'a jamais commencé les travaux mais nous a quand même demandé 1/3 d'accompte.

Le troisième lui aussi recommandé par l'archi était tailleur de pierre ( et pourtant on a pas cherché au moins cher puisqu'on avait signé  pour près de 40000 euros pour 90m2), ce dernier  alors que le devis précisait la mise en place de puits de fondations de diamètre 60, nous a fait de belle tranchée pour semelle filante bien parallèle à la pente (de travers donc par rapport au dallage) et alignée de  travers en plus avec une profondeur en bas de terrain de 30cm dans la terre végétale donc.
Sans intervention de ma part j'avais du béton dans 30cm de profondeur et 20 de large et l'archi elle ne voyait rien a redire au travail effectuée…

j'ai fait des puits et monté un vide sanitaire dessus…

voir ces photos:

http://www.mbautoconstruction.com/index … ph=36&pa=1

Le pire c'est l'architecte qui a soutenu le maçon alors que celui-ci reconnaissait de fait qu'il avait mal effectué sont travail car suite a un courrier avec AR que nous lui avions envoyé le maçon nous indiquait que l'entreprise technitra (entreprise specialisé dans les fondations par puits) était prête a intervenir sur notre  chantier. L'architecte ayant encaissé 2 phases de suivi de chantier (montant 3700 euros) alors qu'elle n'avait effectué qu'une seule réunion de chantier et mal effectué, cette dame a donc soutenu que comme le béton n'était pas coulé, les travaux n'était donc pas fini et que les travaux  était conforme à l'étude de sol. 
Elle nous a donc proposé de résilier le contrat mais à condition que l'on s'assied sur les sommes versées.
L'affaire est dans les mains de notre protection juridique.

Merci à tout le monde pour vos petits commentaires (c'est pas ironique, je précise… par les temps qui courent !)

Réponses en vrac :

Tyoc : Je n'ai pas réussi à jeter mon super mètre de chantier !

Phil12 : pas de sous-sol, terrain inondable (réponse à Gate du même coup !) mais récupérer l'inertie du béton du "sol" du vide sanitaire… Comment est-ce possible ?

jfquillacq (et un peu tout le monde) : en effet, le prix était le même entre radier et pieux (je n'ai plus les prix en tête mais il devait y avoir 200€ d'écart pour un total tournant autour des 10.000€ HT. Il fallait de toutes façons élever 5 ou 6 rangs de parpaings pour cacher tout ça.
Avec le recul, je pense que l'étude de sol pas obligatoire (quoique avec les décennales, c'est pas gagné !) mais plus que conseillée lors de terrain douteux était plutôt pessimiste, l'ingé béton a fait une crise de parano sur le ferraillage et l'épaisseur (40 cm au début !!!). Mais je ne sais pas jusqu'à quel point j'aurai pu négocier des fondations plus légères.
La prochaine fois, je choisirai mieux le terrain car zone inondable + périmètre bâtiments de France, ça commence à faire cher : surcout fondation 15.000, couverture au moins 10.000… ça payait le red cedar à l'aise !