J'operais pour la 2ème solution car tout est plus simple (et l'isolation continue).

oui mais en cas de plancher chauffant sera-t-on bien sûr du repérage du passage des canalisations?
C'est mon cas et je me pose la question depuis un moment!!!!!!!!!!!!

JAMAIS sur la chape.

On fait toujours les murs avant. On passe les techniques(eau-electricité) au sol. Première chape.
Puis isolant, tubes chauffage, deuxième chape liquide et revêtement de sol.

Il n'y a pas d'autre choix possible.

Non c'est envisagé par le dtu ;

Dans le cas particulier où des cloisons légères (150 kg/m) sont montées après exécution de la chape, l'épaisseur minimale de celle-ci est de 5 cm avec armatures 0,9* 0,9 / 50 *50 pour des isolants de classe I et II et de 6 cm pour des isolants de classe III.

Si des cloisons d'un poids compris entre 150 et 200 kg/m sont montées après exécution de la chape, les prescriptions du paragraphe précédent sont complétées par un renforcement transversal d'armatures au droit de ces cloisons.

Si une chappe ne pouvait pas supporter une misérable cloison légère bonjour la tronche du carrelage avec un vaisselier plein à craquer !

je suis d'accord avec toi Arthémus, sauf lorsque tu vas monter ta cloison, nous sommes bien d'accord que tu vas placer une lisse ou un rail mécaniquement à la chape.....et je crois que c'est de là que viens le problème.

Après je vais pas m'embarquer dans la répartition des efforts liés au mille feuilles, dalle, isolant, chape et révêtement de sol…car je suis pas au niveau..

Ma chape vient d'être coulée ce matin, c'est une chape anhydrite vendue comme ayant une résistance mécanique élevée à la compression et à la traction, le chapiste m'a conseillé de fixer les cloisons au sol par cloutage pneumatique plutôt que par chevillage dans les 3 semaines- 1 mois après coulage,  la chape n'étant pas encore complètement sèche la fixation serait meilleure