Effectivement, tu as raison!
Sauf qu'à l'époque, ces expériences ont été vécues dans l’esprit des utopies hippies où l’on partageait tout, en négligeant l’intimité de chacun !
Aujourd’hui, ce type d’expérience est en train de se renouveler autrement. Chacun chez soi, à chacun son intimité et sa façon de vivre, mais tous sont animés par le désir de partager des instants de vie avec intelligence et grande finesse, de se retrouver de temps en temps, faire des activités ensemble et de se prémunir de l’isolement, dont souffre un grand nombre de personnes…

c est un peu de l utopie.. deja quand on se marie il faut au moins 10 ou 15 ans pour apprendre a vivre ensemble, homme et femme ( et  c est pas facile si on  voit le nombre de divorce dans les 10 premieres années) alors  se taper le voisin en plus.. dans la meme cour  avec des momes..  c est  une declaration de guerre sous jaccente

la faut voir mais  justement c est la que ça risque d evoluer vers des confilts..  y  a tellement de jaloux..

c est pas que ça me déplairait  , mais par exemple moi j aimerai , mon épouse pas..   et je crois que votre idée  n est pas dans la maniére de vivre du français
visitez n importe quelle lotissement ou voyez  une construction   le premier boulot du maitre d ouvrage c est grillage,  haie ou  mur , portail  etc
voir pont levis (intephonne , caméras de surveillance,  alarmes  en options la 12/7

j'aurai pas dit l'art de vieillir ensemble, mais simplement de vivre ensemble. Votre idée n'est pas une utopie. Rien à voir avec les communautés seventies. Seulement les règles du vivre ensemble doivent être soignées dès le départ tant que tout le monde est de bonne foi.
J'ai 31 ans, pas eu de mal à financer mon terrain ni ma maison, et puis la chance de pouvoir autoconstruire. mais c'est très loin d'être le cas de tous les gens de mon age. Mes parents s'étaient payé à leur époque une immense baraque à retaper à 20km de Bordeaux, avec juste un salaire de prof. Maintenant c'est absolument impossible. 
Vivre ensemble est une idée qui tourne pas mal et se concrétise parfois.
Bon courage najwa, je serai vraiment curieux de connaître la suite.

Quand nous avons décidé de faire construire, notre choix s'est porté sur un lotissement. En fait ce n'était pas du tout mon choix. J'aurais voulu un terrain en campagne, loin de tout et de voisins potentiels. L'Homme de la maison s'y est formellement opposé. On a donc opté pour un lotissement parce que le grand terrain c'était hors de nos moyens.

Les hasards de la vie ont fait que deux de mes collègues ont fait construire dans le même lotissement, puis une autre. Coup de bol, des gens très sympas. Double coup de bol, il s'est avéré que c'est le cas de tous les voisins.
La majorité ont dans les mêmes âges que nous et ont des enfants du même âge, ce qui est plutôt fréquent dans les lotissements. Chacun vit chez soi et certaines affinités sont plus marquées entre certaines familles, les enfants vivent en bande (bon on s'inquiète un peu pour l'age des scooters) et chacun s'efforce de respecter les autres et leur intimité. Mais au final, sur 20 familles, il y a toujours un voisin pour donner un coup de main quand on bricole, une voisine pour emmener les enfants au sport ou à l'école, quelqu'un pour dépanner en cas d'imprévu. Et cette année on vient de passer à 2 repas de quartier par an, parce qu'un c'est un peu juste, y en a toujours qui ne sont pas dispos.
J'y allais vraiment à reculons dans ce lotissement, inquiète de ce que serait le voisinage. Aujourd'hui, même si je gagnais au loto, je ne déménagerais pour rien au monde, alors je crois qu'avec de la chance, le projet est réalisable.

et bien moi les camps pour les vieux que l on voit se developper  ça me fait penser  a des heures bien sombres.. aprés chacun ses choix..  c est pas le mien  mais je respecte ceux des autres meme si c est pas ma tasse de thé