peut etre faut il se refaire 1789 et redonner au peuple ce que les nouveaux nobles leurs on pris… avec un maximum de une maison par couple .. tu en as dix t as pas besoin de ça.. donc on t en saisi 9.... ou on te mets la tete au bout d un pique.. c est peut etre des solutions a envisager..
Génial. Pourquoi s'emmerder à bosser et a s'endetter pour faire construire puisqu'il suffit de décapiter un proprio et de s'approprier son bien.
C'est sûr, ça incite vachement à faire construire. On s'éloigne à grand pas de la pénurie de logement ![]()
. Posséder une marchandise (une maison, une entreprise, une machine), c'est détenir du travail humain, donc cela crée une domination de l'homme par lui-même. ( c est pas de moi, vous aurez reconnu l auteur.. )
construisez pour vous , pas pour louer.. pas pour aliener un locataire..
Bonsoir Alain ,crois - tu qu'il faille appartenir a une caste ou une catégorie sociale pour définir sa valeur ou son humanité? il y a des proprios correct et d'autres qui le sont beaucoup moins ,c'est pareil pour les locataires .Et si l'on ne construisait que pour soi qu'adviendrait-il de l'offre locative ?Il faut imaginer que tes critéres " d'un monde meilleur" soient différents pour les autres.La révolution est un systéme qui tourne en rond,je préfére l'évolution !
. Posséder une marchandise (une maison, une entreprise, une machine), c'est détenir du travail humain, donc cela crée une domination de l'homme par lui-même. ( c est pas de moi, vous aurez reconnu l auteur.. )
construisez pour vous , pas pour louer.. pas pour aliener un locataire..
Oui, je m'étonne juste que l'on fasse encore référence à cet escroc.
être propriétaire, c'est être libre. Votre propriété vous en faites ce que vous voulez; vous pouvez la donner, l'utiliser, la vendre, la détruire, vous êtes libre d'en faire ce que vous voulez.
Nier la propriété, c'est nier la liberté.
Pour avoir connu les cages à lapins des pays de l'est à la grande époque de la doctrine du fou que vous citez, je vous garantis qu'il vaut mieux être locataire d'un propriétaire privé que logé par l'Etat. Parce que question domination, l'Etat se pose un peu là ![]()
. Posséder une marchandise (une maison, une entreprise, une machine), c'est détenir du travail humain, donc cela crée une domination de l'homme par lui-même. ( c est pas de moi, vous aurez reconnu l auteur.. )
construisez pour vous , pas pour louer.. pas pour aliener un locataire..
Je dirai simplement que c'est de la jalousie mal placé
Parce que question domination, l'Etat se pose un peu là
par définition l' Etat est l'institution qui s'arroge le monopole de la violence; point barre. Toute autre définition serait erronée.
après… ce que ceux qui contrôlent ce monopole (les dirigeants de l'Etat) en font, c'est une autre histoire. et cette violence peut être physique (police/armée), financière (les impôts) voire morale…
Mais bon, l'avantage en démocratie c'est qu'il y a régulièrement des élections : rappelez à vos élus que ce sera dans moins d'un an :-)
Alain Landry a écrit :. Posséder une marchandise (une maison, une entreprise, une machine), c'est détenir du travail humain, donc cela crée une domination de l'homme par lui-même. ( c est pas de moi, vous aurez reconnu l auteur.. )
construisez pour vous , pas pour louer.. pas pour aliener un locataire..
Oui, je m'étonne juste que l'on fasse encore référence à cet escroc.
être propriétaire, c'est être libre. Votre propriété vous en faites ce que vous voulez; vous pouvez la donner, l'utiliser, la vendre, la détruire, vous êtes libre d'en faire ce que vous voulez.
Nier la propriété, c'est nier la liberté.
Pour avoir connu les cages à lapins des pays de l'est à la grande époque de la doctrine du fou que vous citez, je vous garantis qu'il vaut mieux être locataire d'un propriétaire privé que logé par l'Etat. Parce que question domination, l'Etat se pose un peu là
un philosophe n est pas un escroc surtout que sa philosophie n a pas encore été mis en place, elle le deviendra lorsque le capitalisme s écroulera.. d ailleurs il l a dit lui meme..
je ne vois pas en quoi il est le responsable des cages a lapins que vous citer.. sa doctrine n a pas été encore appliqué attendons qu elle le soit ..
mais bon c est pas le sujet et il m étonne qeu vous ayez subit la doctrine de ce philosophe mort en 1883 à Londres…puisqu elle n a jamais été apliqué, je crois que vous n avez pas lu son livre.. ne pas confondre sa doctrine et les régimes qui ont suivit.et qui malheureusement a transformé la Russie en un pays en voie de developpement..
un philosophe n est pas un escroc surtout que sa philosophie n a pas encore été mis en place, elle le deviendra lorsque le capitalisme s écroulera.. d ailleurs il l a dit lui meme..
je ne vois pas en quoi il est le responsable des cages a lapins que vous citer.. sa doctrine n a pas été encore appliqué attendons qu elle le soit ..mais bon c est pas le sujet et il m étonne qeu vous ayez subit la doctrine de ce philosophe mort en 1883 à Londres…puisqu elle n a jamais été apliqué, je crois que vous n avez pas lu son livre.. ne pas confondre sa doctrine et les régimes qui ont suivit.et qui malheureusement a transformé la Russie en un pays en voie de developpement..
En tout cas, merci Alain pour cette digression intéressante.
Mon opinion est que le communisme, puisqu'il s'agit de cette idéologie, ne pourra jamais être mis en place de la façon dont l'imaginait Marx. La raison en est simple, Marx à fait une erreur fondamentale en introduisant dans son argumentation la notion d'Homme nouveau, totalement dévoué à la collectivité.
La nature de l'homme est ce qu'elle est, on ne peut pas la changer. On peut la forcer, par la violence, la terreur mais pas la changer.
Par conséquent, soit vous laissez faire et vous ne verrez jamais cette doctrine appliquée, soit contraignez les individus à agir dans le sens que vous souhaitez. C'est ce qu'on essayé tous les Etats dits communistes avec les conséquences effroyables que nous connaissons tous.
Pour ma part, mon rêve de société se rapproche finalement assez du communisme primitif puisque je rêve d'une collaboration libre entre individus sans intervention arbitraire sur nos vies d'un Etat ou d'une mafia comme c'est malheureusement le cas dans nos sociales- démocraties.
Haa, pouvoir construire ce que je veux, comme je veux et quand je veux, sur mon terrain sans avoir de compte à rendre à personne, quel pied! ![]()
Haa, pouvoir construire ce que je veux, comme je veux et quand je veux, sur mon terrain sans avoir de compte à rendre à personne, quel pied!
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est sur le terrain de mon choix .. pourquoi est ce de bureaucrate qui decide si tel ou tel terrain est constructible.. et si telle ou telle matériaux est utilisable ou pas ou si telle ou telle couleur va avec l environement..
est sur le terrain de mon choix .. pourquoi est ce de bureaucrate qui decide si tel ou tel terrain est constructible.. et si telle ou telle matériaux est utilisable ou pas ou si telle ou telle couleur va avec l environement..
Ha!
Comme quoi nos opinions peuvent parfois converger.
est sur le terrain de mon choix .. pourquoi est ce de bureaucrate qui decide si tel ou tel terrain est constructible.. et si telle ou telle matériaux est utilisable ou pas ou si telle ou telle couleur va avec l environement..
Le communisme et la nature humaine ne sont pas vraiment pour aller de pair… le modèle de Marx demanderait que l'homme soit honnête et qu'il soit égal à son voisin. Sauf que nous ne sommes pas égaux, loin de là. On peut rêver ce ce Monde idyllique mais dans la réalité humaine, ce serait le chaos…
Il faut compter avec les tricheurs, les profiteurs, les fainéants et les autres qui sauraient pourrir le Monde Marxiste comme ils pourrissent le Monde Capitaliste.
J'imagine bien la révolution : "Bonjour m'sieur, je représente l'Etat, je viens saisir votre demeure au nom de la redistribution sociale. dorénavant, ce que vous avez construit de vos mains ne vous appartient plus…enfin…si, puisque cela appartient à l'état, mais la maison que vous avez construit avec vos tripes, en mettant votre vie familiale entre parenthèse ne vous appartient désormais plus, à vous, en tant que personne.
Pas d'inquiétude à avoir, vous n'êtes pas le seul, votre voisin, locataire depuis toujours ayant préféré investir dans les vacances à la neige plutôt que dans l'immobilier n'a pas non plus le moindre bien, mais grâce à vous, il partage désormais le petit bout d'un petit quelque chose."
Pire, vous avez tous dans votre entourage une personne qui n'a jamais travaillé de sa vie alors qu'il ne présente pas le moindre handicap, qui se contente de boire son RSA (non? alors vous ne faites pas partie du panel représentatif français) : ce mec là, à moins d'user de violence pourrait tout en conservant sa médiocre personnalité vivre de la même manière que vous, avec les mêmes ressources.
Non, définitivement…c'est mieux de rêver que de transposer le Marxisme à la réalité, l'humanité est bien trop décevante et puis, ce serait injuste que le vaillant ne puisse pas jouir de ses concessions.
Pour ce qui est de construire où l'on veut et ce que l'on veut: après les bidonvilles, voici les bidonpays :-) Les goûts et les moyens économiques des uns et des autres défigureraient assez rapidement le paysage, et puis en imaginant que notre population s'accroisse, nos belles forêts seraient vite dégommées, comme nos côtes. décidément, le marxiste comme l'anarchisme ne sont pas fait pour les humains, nous avons trop de défauts pour ne pas tout bousiller en un rien de temps; nous avons besoin de règles.
Pour ce qui est de construire où l'on veut et ce que l'on veut: après les bidonvilles, voici les bidonpays :-) Les goûts et les moyens économiques des uns et des autres défigureraient assez rapidement le paysage, et puis en imaginant que notre population s'accroisse, nos belles forêts seraient vite dégommées, comme nos côtes.
Je ne partage pas ce point de vue. En effet, il me parait hautement improbable de voir un bidon ville au sein d'un quartier huppé pour la simple raison du prix du foncier. Il y a donc de fortes chances qu'en cas de libéralisation totale du foncier, les zones soient assez homogènes.
En outre, on peut constater que toutes les époques libérales ont vu les plus belles merveilles architecturales s'ériger. Tout ce que l'Etat s'échine aujourd'hui à préserver à coup de règlementation fut le fait du privé à des époques de liberté.
A comparer avec les cages à lapins soviétiques: tout le monde dans du fonctionnel moche à-pas-cher.
Concernant la forêt, même raisonnement: pour s'installer en forêt il faut avoir des moyens considérables pour construire une voie d'accès à ses frais, amener tous les réseaux d'eau, d'électricité et de téléphone, toujours à ses frais. A moins de vouloir vivre dans une hutte. C'est possible mais j'ai des doutes sur la déforestation que vous évoquez ![]()
Quant aux côtes, je ne vois pas en quoi il faudrait les protéger plus que d'autres zones.
Une solution serait la création de sortes de "conservatoires du littoral" privés, d'associations d'amoureux du littoral qui achèteraient des bouts de côtes pour les "préserver". Mais je ne vois pas au nom de quoi, il faudrait arbitrairement interdire une construction à un endroit donné.
Une révolution marxiste effacerait la différence de prix du quartier huppé non? Pour le reste, je n'ai pas l'impression que nos avis divergent (et dix verges, c'est beaucoup ) .
Le bidonville comme la déforestation, lorsque je les évoquais, c'était dans le cas où chacun d'entre nous construisait ce qu'il souhaitait et où il le souhaitait. L'homme s'approprierait alors la terre qu'il souhaite et tout le monde, en fonction de ses moyens, ne se prendrait pas la tête à choisir des matériaux de qualité; quelqu'un peu aisé financièrement ne pourrait-il pas se passer de route carrossable, de réseaux d'alimentation? Qu'est-ce qui empêcherait le marginal de s'installer à côté de la belle demeure huppée? On parle et on rêve de la liberté à outrance puis on n'a de cesse de réfléchir, penser, pour enfin brandir et citer les règles et les normes comme la RT2010, RT2011 le DTU etc… sans lesquels nous ne semblons plus savoir vivre et construire.
Pour les côtes…j'avoue être un peu éloigné du problème à titre personnel mais dans certaines régions, on a l'impression que si les gens pouvaient construire sur la plage, ils le feraient. Lorsque mes beaux parents ont construit leur maison, sur une côte bretonne, il y a 30 ans, ils voyaient la mer…ça n'a pas duré longtemps :-) Après, je peux comprendre que l'aspect visuel des côtes n'est pas interprété de la même manière pour chacun d'entre nous.
Une révolution marxiste effacerait la différence de prix du quartier huppé non? Pour le reste, je n'ai pas l'impression que nos avis divergent (et dix verges, c'est beaucoup ) .
Le bidonville comme la déforestation, lorsque je les évoquais, c'était dans le cas où chacun d'entre nous construisait ce qu'il souhaitait et où il le souhaitait. L'homme s'approprierait alors la terre qu'il souhaite et tout le monde, en fonction de ses moyens, ne se prendrait pas la tête à choisir des matériaux de qualité; quelqu'un peu aisé financièrement ne pourrait-il pas se passer de route carrossable, de réseaux d'alimentation? Qu'est-ce qui empêcherait le marginal de s'installer à côté de la belle demeure huppée? On parle et on rêve de la liberté à outrance puis on n'a de cesse de réfléchir, penser, pour enfin brandir et citer les règles et les normes comme la RT2010, RT2011 le DTU etc… sans lesquels nous ne semblons plus savoir vivre et construire.
Ha ok, je comprends votre point de vue.
Pour ma part, quand je parle de liberté, je l'associe obligatoirement avec "propriété". La liberté ne peut pas exister sans son corollaire, la propriété privée individuelle. Autrement dit, on fait ce que l'on veut avec ce que l'on possède mais on a aucun droit sur la propriété d'autrui.
(la fameuse maxime, "la liberté des uns s'arrête où commence celle des autres", ne peut se concevoir que si la "frontière" est représenté par celle de la propriété privée. A partir du moment où la propriété privée n'existe pas, il faut une "autorité" qui décide à notre place, ce qui, pas définition, évacue toute notion de liberté).
Ainsi, peu de chance qu'un marginal s'installe à côté d'une belle demeure huppée puisqu'il n'aurait pas les moyens d'acquérir le terrain contigu, nécessairement très cher.
Cela dit, si le marginal à du pognon, il n'y a aucune raison de vouloir lui interdire quoique ce soit, je n'ai pas, vous n'avez pas et personne n'a, le monopole du bon goût.
Quant aux normes, elles devraient être indicatives et certainement pas obligatoires. A chacun d'assumer sa construction. J'imagine que les assurances feraient le ménage entre les normes indispensables et les normes absurdes, politiques ou issues du copinage, du lobbying.
"Oui, nous vous assurons à condition que votre construction respecte telle ou telle norme".
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