si  il ya des capricornes c est que le bois est humide sinon ils n attaquent pas le bois sec..  donc  si votre poteau est attaqué c est qu il est humide donc la seul solution c est de couper  l embase et de la faire reposer sur  un plot béton pour l isoler de l humidité remontante,
si le bois est sec pas de capricone sinon les  stoks de bois se  trouvant dans les scieries seraient  detruits car dans ces scieries rentre  chaque jour des  grumes dont certainnes  contienne des capriconnes  ,
d ou la solution de jfq faire monter en température l interieure de la maison a 50° et le probleme sera resolu

pas d accord non plus avec jfq , car la facade incriminee entre autre ( la ou ca greuille le plus ) est plein sud , donc vu les temperatures de surfaces largement a plus de 50 , je suis pas sur que cela suffise a faire creuver ces putains de bestioles  !!

et pendant que j y suis . . . est ce que ca bouffe aussi l osb?

Cette situation est assez angoissante, désolé Tanguy.

Comme le dit Alain, il doit certainement exister une entreprise spécialisée qui peut agir rapidement et efficacement dans ta région.
PS: Peut tu m'envoyer quelques photos des dégats.

Courage !

Nous avons eu une expérience semblable en beaucoup moins dramatique semble t'il. Dans les chambres nous avons posé des lames d'épicéa brut de sciage (scierie du coin). Très rapidement dans notre chambre nous avons entendu clairement des krr krr qui selon la littérature pointait du mot le capricorne (confirmé par la suite).
Faute de pouvoir identifier la ou les lames infestées, j'ai laissé pourrir la situation 2 ans jusqu'à ce que j'observe un trou de sortie. Sur la vingtaine de lames 1/3 était touchées plus ou moins, j'ai trouvé 6 larves et un insecte parfait mort. Les lames étaient fixées sur un solivage en douglas brut en prenant en sandwich une membrane (partie papier kraft partie DB+). Sur les 2 lames les + touchées, les larves ont bien tentées une invasion vers l'extérieur c'est à dire le grignotage de la membrane puis quelques coups de mandibules dans les solives et dans l'isolant en laine de bois. Ces tentatives avortées étaient parfaitement identifiables et rassurantes d'une certaine manière.

En conclusion la localisation à l'oreille est délicate surtout si plusieurs individus. Maintenant il est évident que la bestiole préfère de beaucoup l'aubier, que la quantité de matière pour le cycle d'un individu n'est pas énorme et qu'en milieu fermé la reproduction est presque impossible. C'est mon point de vue et non un conseil bien sûr.

pour ceux que ca interresse et beh la camera infra rouge ca marche pas . . . la camera endoscopique pas vraiment probant non plus . . . reste plus qu a tomber le placo par endroit  !!

salut tanguy

peux tu faire quelques photo pour voir l'ampleur des dégâts

(c'est sur de l'aubier tu as construit a une époque très humide avec du bois pas sec ?)

c'est une simple question multiple

@+