par principe, j'évite de revenir à plusieurs reprises sur le même message ; mais je ne pense pas pouvoir laisser passer la contre vérité de Goldorak :

si la vapeur d'eau traverse la cellulose, elle la mouillera !!!

C'est uniquement dû au fait que l'air intérieur à 20°C, 65% d'humidité contient 10g de vapeur d'eau par m3. Cette teneur devient saturante à 12°. DOnc dès que les conditions de température extérieure(disons autour de 0 à 5°) font que ces 12° peuvent être atteints dans l'épaisseurt de la paroi, il y aura condensation dans l'isolant, si celui ci n'est pas à cellule fermées (et c'est pas précisément le cas de la cellulose, dont une des formes la plus crépandue est le coton hydrophile, qui, comme son nom l'indique, se gorge d'eau à la première occasion).
Bien sûr au début, il est probable que ça va ressecher, puis de fil en aiguille, de moins en moins, jusqu'à ce que vos murs soient des éponges.

On peut épiloguer à perte de vue sur la différence entre freine vapeur et pare vapeur. L'essentiel est d'avoir une perméance du premier film nettement inférieure à celle du pare pluie.