votre terrain est si "pourri" que ça, c est l'étude de sol qui détermine si il est necessaire d'avoir recours à une étude béton mais pas un ami, ou alors une géologue qui a déterminé que votre terrain était soit du remblais sur un marécage, ,qu une langue d'argile mouvante se situait sous la couche de marne spongieuse et bonflante etc.
Heureusement que l on construit  encore sans ingénieur béton,  surtout des maison en bois qui pesent douze fois moins lours qu une maison en béton  et sont souvent en  R, ou R+1
alors pas d'arlamisme exagéré… une étude de sol   c est 1000 à 1500 voir 3000 euros, une étude beton 3000 à 5000 euros… ça augmente tériblement le prix du terrain mais j'en connais, ici, meme qui on pris le risque de construire sans étude béton dans des terrains "merdique"  (roche et rocher, éboulis de falaise ) n est ce pas cyril....
sinon c est un bureau d étude de structure

et si je mets un poêle de masse de 2 tonnes avec un aquarium d'1 tonne ?
je rigole

bien, je suis encore perdu là. le temps va faire son œuvre…

merci à vous.

qu'on se préoccupe de la charge d'exploitation sur une dalle portée (hourdis) c'est compréhensible.
mais si on est sur une dalle posée, le plus nul des sols résiste à 0,5 bar, ce qui fait quand même pas loin de 5 tonnes par m2

Je suis d'accord avec Quillacq sur le principe. La surface d'appui au sol est énorme par rapport à une semelle filante. Par contre le poinçonnement de la dalle est toujours possible par une charge ponctuelle. Il faut alors tenir compte de la résistance propre de la dalle (béton + ferraille) et de la portance du sol au droit de cette charge ponctuelle, sinon çà craque ! Mais là on parle vraiment de charges très considérables (un réacteur nucléaire, par exemple).

Pour jcmontagne : une dalle portée est séparée du sol et "portée" par des murets périphériques (et de refend s'il y a lieu) le tout étant en contact avec le sol par des "semelles filantes" (sorte de longrines béton enterrées). En général ces dalles sont composées de poutrelles en béton armé entre lesquelles on dispose des hourdis (ou entrevous) isolants ou non et sur tout çà on coule une "dalle de compression" armée de treillis métalliques. On appelle çà un plancher sur vide sanitaire.

A contrario, une dalle posée est en contact direct avec le sol, généralement sur un radier compacté (lit de cailloux) avec une barrière de capillarité pour éviter les remontées d'humidité.

Dernière précision : la "dalle" c'est le sommet final de la maçonnerie de soubassement (qui comprend entre autres les fondations), sur laquelle on plante la MOB à l'aide de quelques chevilles savamment dimensionnées. Très schématiquement, les fondations c'est enterré, la dalle c'est au-dessus du sol naturel et on pose la MOB dessus.

pourquoi vous poser tant de question  , est ce que vous vous posez les memes questions du pourquoi du comment fonctionne la pompe à injection de votre GTI, ou du comment le processeur de votre pc fonctionne, non , vous allez soit chez un garagiste soit chez un informaticien, , et bien là , allez chez un maçon ou un architecte et laissez courrir, chacun son métier …

Bonjour,

Pourquoi des entrevous en polystyrene ?
La même chose existe en brique de terre cuite (chez Ymeris par ex.) c'est guère plus cher, c'est isolant et respirant à condition évidemment de ne pas faire une dalle en béton dessus.
C'est ce que j'ai prévu pour ma MOB.
salutations.

T.DELTORT

D'abord vous restez correct SVP ensuite je n'ai jamais écris que l'entrevous  en terre cuite était plus isolant
que le poly mais plus respirant et naturel ce qui n'est pas le cas du béton.

La dalle puisque vous me posez la question sera en béton de chanvre d'une épaisseur de 16  cm qui reposera sur un plancher en poutrelles béton précontraint + terre cuite avec TCI.

Pour finir sachez que je respecte vos avis éclairés et que la réciproque doit être vrai même si je ne suis qu'un simple mâitre d'ouvrage à la recherche de solution constructive les plus naturelles possibles.

Salutations.

T.DELTORT