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Quillouk et Padacq, hello.
Je suis developpeur-concepteur-grouillot-de-base dans un graaaaaande boite de telecom, et avec d'autres collègues rameurs, nous sommes entourés de directeurs de business unit, de divisions, de départemens , de lignes de produits et de ressources inhumaines, de sous-directeurs de je ne sais plus quoi, de chefs de groupe et de projet, de team leaders, et de responsables de la brouette… qui nous servent de climatiseur naturel, le plus sain et le plus écologique (mais pas le moins casse-bonbecs) qui soit : d'un côté on met ceux qui brassent de l'air, et de l'autre ont met ceux qui nous le pompent. De temps en temps il est vrai une odeur désagréable : j'allais oublié ceux pètent plus que leur c…
Bref, à part ça, personne n'a parlé du contreventement du bastringue.
Oui, attachons nous à la dernière ligne de votre post car pour le reste c'est du casse bombek total.
Le problème c'est que si vous restez aussi imprécis dans votre question sur un sujet aussi crucial que le contreventement, on est pas sortie de l'auberge !! Alors kikiveut savoir l'agent de base de francetelecom sur la stabilité du bastringue ?
Encore un courant d'air ! Padouk, ferme ta fenĂŞtre Windows.
Un gusse qui ne bosse pas chez FT
Padouk c'est dans ton cerveau qu'il ya des prob. de contreventement !
Padouk c'est dans ton cerveau qu'il ya des prob. de contreventement !
Evolubois t'a remis 100 balles dans la machine à casser du Padouk, t'es infernal !!! tu peux pas t'en empêcher !! suis sûr que Mister Landry va pas tarder à remettre lui aussi 2 balles et ça y est on est encore bon pour faire appel à la FINUL … Quant à Yvonic a t-il rejoint le camp des terroristes ou bien il s'est égaré sur le champ de bataille ?
Mes griefs personnels face Ă la fermette industrielle :
- difficulté de réaliser des grands débords esthétiques et structurellement stables en pignon.
- qu'en est-il du vieillissement des assemblages, le contact bois métal a tendance à tendance à se dégrader avec le temps (je ne parle pas de la décennale mais de bien plus grandes durées 30 ans et plus)
- le traitement préventif des bois est supposé durable, sauf qu'en cas de problème la faiblesse des sections rend l'appartion de désordre de structure très rapide.
- le moindre défaut d'étanchéité de la couverture non détecté immédiatement peut avoir des conséquences très graves (même raison que précédemment faiblesses des sections)
- la mise en oeuvre par des poseurs de moins en moins qualifiés est de plus en plus souvent aléatoire (non respect des prescriptions en nombre de fixations des fermettes)
Certains de ces griefs s'appliquent Ă la MOB (faiblesse des sections, fixations qui deviennet de moins en moins solides avec le temps).
Vous l'avez compris : je suis un inconditionnel du poteau-poutre + charpente tradi (surtout si l'on veut construire pour les générations futures).
et bien........................ quel duel de competances!
IMPRESSIONANT.
Mes griefs personnels face Ă la fermette industrielle :
- difficulté de réaliser des grands débords esthétiques et structurellement stables en pignon.
- qu'en est-il du vieillissement des assemblages, le contact bois métal a tendance à tendance à se dégrader avec le temps (je ne parle pas de la décennale mais de bien plus grandes durées 30 ans et plus)
- le traitement préventif des bois est supposé durable, sauf qu'en cas de problème la faiblesse des sections rend l'appartion de désordre de structure très rapide.
- le moindre défaut d'étanchéité de la couverture non détecté immédiatement peut avoir des conséquences très graves (même raison que précédemment faiblesses des sections)
- la mise en oeuvre par des poseurs de moins en moins qualifiés est de plus en plus souvent aléatoire (non respect des prescriptions en nombre de fixations des fermettes)Certains de ces griefs s'appliquent à la MOB (faiblesse des sections, fixations qui deviennet de moins en moins solides avec le temps).
Vous l'avez compris : je suis un inconditionnel du poteau-poutre + charpente tradi (surtout si l'on veut construire pour les générations futures).
… CQFD, lorsque l'on est inconditionnel de quelque chose, on perd forcément (un peu) le sens de l'objectivité. Vous exprimez 5 préjugés défavorables relatifs à la charpente industrielle. Mais vos doutes vont être dissipés BernardF en quelques secondes (je l'espère) !!!
Je ne répondrai qu'à un seul point, ne voulant pas monopoliser la fréquence de ce forum et, je l'avoue bien volontier, je suis aussi très impatient d'écouter les "spécialistes" en charpente vous répondre … J'ai donc choisi les "grands débords en pignons".
Aucun souci en charpente industrielle que ce soit avec ou sans fausse panne.
Dans le premier cas, la fausse panne va être l'élément support des chevrons, des liteaux et donc de la couverture. Elle travaillera en porte-à -faux. La difficulté réside dans la réalisation d'un ancrage suffisant de cette fausse panne dans le pignon. l'affaire se résout facilement en "envoyant" cette fausse panne chercher non pas la première ferme industrielle (celle située proche du pignon voire accolée à celui-ci) mais la 2ème en principe située à 60cm à l'intérieur de la construction. Cela permettra de matérialiser un "encastrement" de cette fausse panne et donc, sous réserve de justification, permettre un porte-à -faux de 50 à 80cm de celle-ci et donc de donner naissance à un débord parfaitement stable de votre toiture par rapport au pignon. Je précise deux choses : Tout d'abord, la fixation de la fausse panne s'effectue à son extrêmité (intérieure) sur le flanc de l'arbalétrier récepteur de la 2ème ferme, et ensuite, vous l'aurez déjà sans doute deviné, la ferme industrielle collée contre le pignon devra être plus basse à due concurrence de la chambrée de la fausse panne (augmentée de la retombée des chevrons) puisque celle-ci doit passer au dessus de l'arbalétrier de cette première ferme …
Dans le deuxième cas, sans fausse panne, le principe de l'échelle de rive est alors utilisé. le principe de l'ancrage de l'échelle est le même que celui des fausses pannes ci-dessus succintement détaillé. Je peux revenir plus en détail sur cette technique si cela vous intéresse.
Selon le type de fermette comble habitable , on utilise des section d'arba de 36x220
une fuite de toiture locale ne remetrait pas en cause la solidité de toute la charpente
J'ai posé il y a quelque mois des vélux sur des fermettes d'une maison datant de 1970 entraxe de 90cm RAS.
C'est vrai que pour les fermettes a comble perdus les section sont faibles,mais calculées par des logiciels sérieux.
leur inconvénients: résistance nulle a la réaction au feu et elles sont plutot destinées aux formes de toiture simple.La pose n'est pas toujours correctement effectuée mais c'est un autre débat.
concernant les sections d'ossature mob (faite par certains industriels ) je suis d'accord avec toi , de plus je trouve le contreventement de 9mm un peu léger.
Tout cela est tres interessant et je partage vos differents avis sur le bien fondé de la charpente à fermette sur une MOB.
Je viens de finir la renovation de ma longere en pierre: la charpente à été refaite en fermette en chataignier en 1947 espacée d'un metre avec un chevron intermediaire.
Je suis partant pour l'explication de l'échelle de rive
merci
Et dans le cas de 4,55 m de portée entre deux murs, la seule solution c'est la poutre en I ?
Ou y a t-il d'autre alternative ?
Tout dépend de la charge de la toiture.
50kg au m2 pour les tuiles en terre cuite, avec une pente a 30%, en pleine (45m), et 10 cm de neige une fois tout les 10 ans (sud ouest).
evolubois Ă ecrit" je trouve le contreventement de 9mm un peu leger",
moi aussi,
quelqu'un pourrait il expliquer pourquoi on appelle cela un "voile travaillant"? est ce qu'il doit suivre la structure bois qui travaille ce qui expliquerait pourquoi il doit etre souple donc mince?
evolubois Ă ecrit" je trouve le contreventement de 9mm un peu leger",
moi aussi,
quelqu'un pourrait il expliquer pourquoi on appelle cela un "voile travaillant"? est ce qu'il doit suivre la structure bois qui travaille ce qui expliquerait pourquoi il doit etre souple donc mince?
Non ; c'est parce que c'est lui qui assure la rigidité des panneaux dans leur plan (il évite le phénomène du jeu de quilles ou de l'accordéon) ; 9mm, c'est le minimum pour que les pointes ne passent pas à travers.
Rien n'interdit de faire plus ; le voile travaillant n'a pas besoin d'ĂŞtre souple.
50kg au m2 pour les tuiles en terre cuite, avec une pente a 30%, en pleine (45m), et 10 cm de neige une fois tout les 10 ans (sud ouest).
Allez faire un tour sur le site de MD BAT il y a un dimensionneur de pannes…
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