salut

pour le pseudo thermicien c'est la déclaration de conformité via le DPE qui me gène donc prendre la/les phrase (s) dans son ensemble

le pseudo thermicien qui dit que sa maison est conforme a la RT 2005 pour une maison construite et fini fin 2009 la RT 2005 était déjà dépassé
si il y a des courant d'air c'est vrai, c'est sur que le DPE va les détecter

même pour la RT2005 les  isolants doivent être jointif

un peu de lecture pour rafraîchir la mémoire pour certain

http://www.developpement-durable.gouv.f … 102006.pdf
http://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9gle … e_principe

@+

Bonjour à tous,

Comme promis, voici la suite des événements:

Après passage du thermicien ayant pu mettre en évidence l'existence de ponts thermiques, les plus importants se situant en périphérie des combles (causés par des négligences dans la pause de l'isolant), ce dernier à également mis en évidence un taux d'humidité ambiant de 68%, et 73% dans la salle de bains! Pour info, le Ministère du logement préconise de ne pas excéder les 60 %…

Donc, avant de penser à renforcer l'isolation sur les points soulignés par le thermicien, il me parait souhaitable de rechercher et traiter les causes de l'humidité, isolation thermique et taux d'humidité étant liés. N'étant pas sur place, c'est le locataire qui s'y est collé. Et voici ce qu'il a trouvé: après une période de pluie, il s'est rendu (entre autre) dans le vide technique qui ressemble à une lagune: il est inondé, et les isolants en polystyrène extrudé flotte à la surface.

Il y avait déjà constaté la présence de flaques, hors période de pluie. Le constructeur nous avait indiqué que cela était normal, car le vide technique n'est pas censé être étanche. L'étanchéité était assurée par une barrière anticapilarité (membrane) placée dans les ouvrages de soubassement et le plancher bas (si j'ai bien saisi…).

Ma question s'adressent à tous ceux qui connaitrait bien le DTU 20.1 (que j'essaie en vain de ma procurer en téléchargement légal): le vide sanitaire peut il être perméable à ce point aux eaux de pluie?

Le soucis, c'est que j'ignore s'il s'agit des eaux de ruissèlement (terrain plat, donc il faudrait qu'elles passent par dessous les fondations pour arriver dans le vide ventilé), ou de la proximité d'une quelconque nappe phréatique qui remonterait en période de pluie, voire une source)… Et quelle serait éventuellement la responsabilité du constructeur dans cette affaire. La notice descriptive du CCMI précisait : "en l'absence d'étude de sols, afin de déterminer le niveau d'assise des fondations (2 Kg/Cm3), la construction est projetée avec semelle filante et murs de soubassement. En l'absence de plans côtés en courbes de niveaux, la réalisation du vide sanitaire est prévue avec murs de soubassements, hauteur 60Cm"

Il faut enfin que j'ajoute, qu'au moment de creuser les fondations, le terrassier avait fait rajouter (par avenant au contrat) une rangée supplémentaire d'agglo sur le mur de soubassement, pour une évacuation correcte des eaux usée… Sinon, pas d'autres mauvaises surprises au moment de creuser lesdites fondations.

Il me faut donc drainer toute cette eau et trouver une solution pérenne pour qu'elle n'y stagne plus:
que me conseillez vous? Le constructeur peut t'il avoir une quelconque responsabilité dans ce désordre (dans le cadre de la décennale)?

Je vous remercie par avance des conseils, voire solutions que vous pourriez me suggérer, car j'admets être un peu… désorienté. Veuillez m'excuser pour ce post un peu long…

Cordialement.

Hernan

Les flaques, c'est en temps "normal", quand il pleut, c'est Venise…

Je me demandais qui allait la sortir le premier celle là… Je n'avais pas parié sur vous Alain, comme quoi…

Bref, pour mon histoire, l'ADIL me suggère de saisir la D.O., car ce n'est pas à moi d'identifier l'origine du problème. L'expert se prononcera, en particulier sur le respect des règles de l'art de la part du constructeur. A partir de cette expertise, nous verrons ce qu'il y lieu de faire, et au frais de qui… bref, on y verra plus clair…

Cordialement.