Merci Fred pour ce lien.

Argh impossible de lire la vidéo, je verrai ça ce soir de chez moi

A priori, fabrication et commercialisation de l'étranger…

Des adpetes du forum ont en ils déjà entendu parlé ?

Sinon le TMS ça a l'air aussi intéressant… et avec un recul aussi + intéressant…

Merci pour votre éclairage… terrassement prévu à partir du 10 novembre…

@ +

laurent

donc archinat, tu preconises une isolation horizontale sous le herisson......?

merci fred

j'ai vu effectivement le système mais pas envisageable au point où j'en suis dans mon projet

L'isolation périphérique avec TMS m'a l'air intéressante (faut que je vois le cout 16 à 19 euros le m² pour 60 mm) http://www.efisol.fr/produits/tms_sols.htm
le fabricant propose isolation en périphérie horizontale et verticale mais à l'intérieur de la semelle… je pensais le faire plutôt à l'extérieur avec solin fixé sur lisse basse ???

Mettre l'isolation sous le hérisson me fait quand même un peu peur au niveau du tassement comme le souligne tyoc

laurent

L'isolation sous hérisson reste quand même le top. Le problème du tassement différentiel ne peut pas venir de l'isolant lui même s'il est certifié (ACERMI) incompressible. Des précautions sont quand même à prendre pour ne pas le bousiller (couche de sable dessus dessous si possible).
Il risque d'y avoir des tassements différentiels si et uniquement si le hérisson a été mal compacté, ou bien si la plateforme qui est dessous n'est pas stable.
A noter que le pb de fissuration des dalles vient en grande partie de ce qu'on place traditionnellement l'isolant périphérique sous la dalle => pb car la fissuration apparait au séchage en général, le sable de fermeture sur le hérisson pompant la flotte, l'isolant non.

Évidemment, il faut s'arranger pour qu'il y ait continuité entre l'isolant périphérique et l'isolant des murs. C'est là que c'est un peu chaud en général. Il faut parfois se creuser pour les détails (notamment les seuils).

Une autre alternative que j'aime bien et qui permet de passer en dalle portée : isoler en périphérie par l'extérieur du soubassement en vertical, et en horizontal aussi, puis prévoir un trottoir sur le pourtour de la maison (dallette BA + finition -carrelage de terrasse, pierres, etc…)
L'effet est le même et on augmente la zone de contact du hérisson avec le sol. C'est évidemment plus cher puisqu'il faut prévoir la finition extérieure. Ça peut être une solution en terrain argileux, quand on doit créer un trottoir autour du bâtiment pour limiter les variations hygrométriques du sol autour des fondations.

Autre solution : isoler sous tout le hérisson qu'on prévoira d'une épaisseur conséquente (60 cm).

Dernière possibilité : quand on a des fondations très profondes, isoler seulement en vertical… mais il faut quand même descendre sous 1.2 m pour que ça devienne valable.

Toutes ces solutions sont très proches thermiquement, seule une simulation thermique permet de dégager des différences, mais ça se joue toujours à quelques  pouillèmes. En climat chaud, on cherche à privilégier quand même la solution la plus inertielle.

Les solutions telles que montrées par Fred_photo sont bien sûr efficaces, mais limitent quand même l'inertie du sol à la dalle, et ce pour un coût pas limité, lui. Quand on cherche à construire bioclimatique, le mieux reste de privilégier une forte inertie, pour aller vers un stockage passif de plusieurs mois, retarder le plus possible le démarrage de l'appoint de chauffage, et favoriser le stockage des apports passifs en cours d'hiver sur plusieurs jours.

il y a eu de nouvelles dispositions prisent pendant l été 2005  et  a ce moment j étais pilote et responsable de production dans une société bois associé avec une trés grosse entreprise spécialisé en dalle de toutes natures maison individuelle et dalle pour usine (avec essai a la plaque) 
la mise d un isolant sous dalle  était proscrite
et on est passé dans la plupart du temps en dalle auto porte
donc on a  du bas vers le haut
la terre de remblaiment   servant de coffrage provisoire,
dalle béton 16 cm  en carré de 3.50 de coté ,  si on voulait un isolant
donc isolant  de type styrodur 40 mm  et chappe de 6 cm
en cas de passage de gaine dans la dalle
celle si se situeraient dans la fibre neutre de la dalle mais  le  béton dessus et dessous de cette gaine serait egal au diametre de celle ci 
si on passe pour une raison ou une autre une gaine qui fait 100 mm  de diametre la dalle devrait faire 300 mm d épaisseur
si elle fait 60 mm de diamettre la dalle ferait 180 cm d épaisseur  prévoyant que les aine seraient espacé de 60 cm chacunne et ne devrait a aucun moment se croisé ou on prendrait en considération  l épaisseur
il est donc plus raisonable de passer les gaines sous la dalle, mais lorsque l on est dans un remblaiement  celui ci n est pas tassé , il faut donc suspentre au treillis soudé  les canalisations car le remblaiement peu se tasser  et de ce fait il y a un risque de modification des pentes   
j ai passé trois jours de stage sur ces fameuses dalles,
le plus simple étant donc si on ne veut pas isoler sous une chappe de faire une isolation par  l exterieur avec un pse  entérrable de 40 mm d épaisseur,

Mon maçon appelé ce soir m'indique qu'il n'est pas ok pour mettre l'isolant sous le hérisson.... car hors DTU donc pas de décennale

je suis en accord complet avec lui

oui je suis d accord avec vous mais  l emploi de la dalle solidarisé
pas d apport de matériaux supplementaire,  donc economique et ecologique,  pas d engin pour  tasser le remblaiement
c est quand meme pas mal
lorsque le terrain est plat
on creuse le fondation en général  par un terrassier (500 € en moyenne)
on  coule la fondation pleine fouille   (60/40 ) on pose les plannelles on on conffres  sur 20 cm de hauteur  on releve la forme de 4 cm ) on ferraille on passe les evacuations et autres fluides
on coule  point