Merci pour le retour, mais…c'est quand même pas donné !!!

Cela minimise l'intérêt économique des planches de coffrage.

Si je comprends bien, c'est dans le cas où les planches vont se disjoindre en été et laisser passer quelques UV entre elles.

Il faudra que je vérifie bien, mais l'abri est sous les pins donc il ne verra pas tant que cela le soleil.

Qu'est-ce qui se passerait avec un pare-pluie classique ?

La pose à la verticale était plutôt un choix esthétique.

Si nous passons en pose horizontale, le risque de passage des UV est-il quasiment nul et donc acceptable avec un pare-pluie classique ?

OK, merci pour vos précisions.

La solution planche de coffrage était "économique". Avec le pare-pluie spécifique elle l'est beaucoup moins.

Du coup, soit nous prenons le risque du "quasiment", soit il faut réétudier une solution plus classique de clins emboités avec pare-pluie traditionnel, si nous trouvons quelque chose de raisonnable en prix (cela reste un abri de jardin…).

10€, c'est à peu près le prix au m² des planches de coffrage (auquel il fallait ajouter à minima la lasure et le fameux pare-pluie).

Je ne pensais pas qu'on pouvait commencer à trouver des clins à ce prix.

Je n'ai plus qu'à chercher, même jusqu'à une quinzaine d'euros cela resterait intéressant.

il est préférable de poser un bardage paysan  avec tasseau couvre joint

http://www.linternaute.com/argent/patri … i/10.shtml

soyez juste conscient de 2 choses :
en si grande largeur, les planches vont tuiler en séchant
les planches de coffrage seront surement en bois vert ( non séché ) donc ce que vous achetez aujourd'hui à 200mm de large ne fera plus que 190mm dans 6 mois. suivant comment il est fixé, ca peut fendre.

La volige suffira pour du bardage paysan. Pour un montage qui tienne il convient de trier les lames en enlevant les plus déformées, puis les poser coeur au soleil (limite le tuilage), en bout percer un trou d'un diamètre plus grand que celui de la pointe ou de la vis. Cela paraît évident mais la fixation du couvre-joint passe dans le vide entre les 2 lames de manière à désolidariser le tout.