Le corbusier et consors (wright, aalto, mies van der rohe, ando, etc) sont étudiés dans toutes les bonnes écoles d'architecture dès la première année.
Certes, malheureusement certains batiments sont loins d'être des exemples, mais dans la commande publique il y aurait beaucoup à dire…
Regardez les constructions appelées "expérimentales" des années 70. De nombreux architectes n'ont pas attendu la nouvelle mode pour faire des maisons respectueuses de l'environnement et économes en énergie.
Enfin au passage art et bioclimatique ne sont du tout antinomiques, au contraire. C'est par certaines contraintes que la création nait et peut donner naissance à des formes originales…
Une bonne construction bioclimatique se pense dans le fond du projet, dès l'ébauche. Ce n'est pas une construction classique sur laquelle on va rajouter une petite fenêtre par ci par là, ou une dite "veranda", mettre un peu plus de laine de verre (j'en profite pour dire au passage que cela ne s'utilise pas dans toute construction digne de ce nom) sur les prescriptions d'un ingénieur qui aura fait des calculs d'ailleurs très simples et d'une précison souvent stérile, les données climatiques étant de moins en moins fiables (cf ce bel été 2007).
Non, l'architecture bioclimatique c'est bien plus complexe que cela, c'est une creation d'équilibre et d'harmonie, un habitat sain une architectonique ou tout a un sens, une fonction, c'est un principe d'unité.
Les règles (urbanisme, administratives,etc) sont souvent assez restrictives et c'est justement tout l'art de l'architecte de savoir tirer toute la quintessence d'une construction à partir des impératifs donnés. Et quand on a quitté la conception complètement dépassée et sans qualité (à tout point de vue) de la maisonnette en parpaing au toit pointu à deux pentes, une autre dimension s'ouvre et on trouve par exemple des astuces faciles pour éviter d'infliger aux habitants d'une maison l'absence de soleil en hiver…
Le corbusier et consors (wright, aalto, mies van der rohe, ando, etc) sont étudiés dans toutes les bonnes écoles d'architecture dès la première année.
Certes, malheureusement certains batiments sont loins d'être des exemples, mais dans la commande publique il y aurait beaucoup à dire…
Regardez les constructions appelées "expérimentales" des années 70. De nombreux architectes n'ont pas attendu la nouvelle mode pour faire des maisons respectueuses de l'environnement et économes en énergie.
Enfin au passage art et bioclimatique ne sont du tout antinomiques, au contraire. C'est par certaines contraintes que la création nait et peut donner naissance à des formes originales…
Une bonne construction bioclimatique se pense dans le fond du projet, dès l'ébauche. Ce n'est pas une construction classique sur laquelle on va rajouter une petite fenêtre par ci par là, ou une dite "veranda", mettre un peu plus de laine de verre (j'en profite pour dire au passage que cela ne s'utilise pas dans toute construction digne de ce nom) sur les prescriptions d'un ingénieur qui aura fait des calculs d'ailleurs très simples et d'une précison souvent stérile, les données climatiques étant de moins en moins fiables (cf ce bel été 2007).
Non, l'architecture bioclimatique c'est bien plus complexe que cela, c'est une creation d'équilibre et d'harmonie, un habitat sain une architectonique ou tout a un sens, une fonction, c'est un principe d'unité.
Les règles (urbanisme, administratives,etc) sont souvent assez restrictives et c'est justement tout l'art de l'architecte de savoir tirer toute la quintessence d'une construction à partir des impératifs donnés. Et quand on a quitté la conception complètement dépassée et sans qualité (à tout point de vue) de la maisonnette en parpaing au toit pointu à deux pentes, une autre dimension s'ouvre et on trouve par exemple des astuces faciles pour éviter d'infliger aux habitants d'une maison l'absence de soleil en hiver…
Pas mieux à rajouter… chacun se situera ds ce propos de "FOND" sur le chemin qu'il lui reste à parcourir…
… Ils viennent dans le lot de construire un énorme lycée je crois, qu’on voit depuis le métro, ils n’ont pas lésiné sur le budget, des préaux d’art en béton aussi immense qu’inutile qui s’envolent vers le ciel et pas même bioclimatique, des avancés imbriqués les unes dans les autres, des arrondies partout… de l’art en somme, mais pas de bioclimatisme et un budget qui explose avec nos impôts… car un bâtiment d’art sa n’augmentera pas le niveau scolaire des élèves… sans compté qu’avec le coût de tout cet art on aurait pue en faire des choses en terme de passivité du bâtiment…
Gardez-vous des jugements partiaux & irréalistes depuis votre fenêtre du métro, vous pourriez être surpris de ce qu'ils se passent ds le détail…
…L’architecte pour 10% de commission propose t il ce rapport, à t’il même la compétence pour construire un tel rapport ?
Mon dernier bilan thermique remonte juste.... à la semaine dernière (niveau Minergie)… eh oui ! même qu'ils peuvent le faire… à peine croyable !
Je pense que les archis sont les principaux responsables de leur mauvaise réputation. Mais en général, ceux qui font un bon boulot, dont une bonne part réside dans la qualité d'écoute et l'honnêteté intellectuelle dans l'approche du projet, s'en sortent bien et sont reconnus.
La principale difficulté réside dans le déficit de culture architecturale de notre société. Et la vache, il y a des exemplaires ici qui savent le démontrer… Je crois savoir que le mêtier d'"urbaniste" n'est pas réglementé. Va falloir vite légiférer, parce qu'il y en a qui ont des sacrés idées…
…
vous en avez pas marre de raconter des inepties plus grosses que vous ?
…
vous en avez pas marre de raconter des inepties plus grosses que vous ?
Non, non, apparemment il est ds son élément… à la limite du troll mais tjrs aussi sur de son fait !
… en attendant j'en suis à 8 belles réalisations, je compte pas m'arreter la et vous ?
Des photos, des photos… !
pour Sloop, vous n'etes pas crédible lorsque vous dénigrez le travail des ingénieur !
Quand je disais que vous ne lisiez pas ce que l'on prend la peine de vous écrire, je ne pensais pas que vous atteindriez de tels sommets… je ne dénigre aucun ingénieur, je tournais simplement l'archi en dérision (pensant que cela vous ferais plaisir)… mais j'oubliais.. vous débutez, vous n'êtes pas encore habitué à l'humour des corporations du bâtiment..!
…la meme maison vaut 150 000 euros en france et 80 000 eurs USA la diference ? la legislation, l'urbanisme, l'obligation d'archi, les impots, l'obligation d'assurance....
Vous parlez de la conquète de l'ouest là ?! On est d'acord en 1776, il n'y avait rien de tout cela… !
…
Sloop j'ai pris le poste d'un autre intervenant pour le votre, désolé… j'ai rectifié.
j'ai aussi effacé mes precedentes interventions…
Je suis néanmoins étonné de vos questions et réactions.
Vous êtes architecte, effectuez de la maîtrise d’œuvre et maîtrisez l’ingénierie du blioclimatisme.
Vous m’enjoigniez pourtant et précédemment de citer les pays ou l’architecte ne serait pas obligatoire, étant vous-même incrédule face à cela.
L’architecte pose donc la question au particulier que je suis, alors que s’eu normalement été l’inverse, alors même et visiblement, que dans la majorité des pays le seul duo de ce qui correspondrait chez nous au maître d'oeuvre et aux ingénieurs existe au yeux de l'obligation légale.
Je suis de plus étonné qu'un architecte ne sache pas qu'aux USA l'obligation d'assurance notamment n'existe pas dans la majorité des cas pour le bâtiment. Le monde anglo saxon estimant en générale que les assurances relèvent d'un choix privé… l’entrepreneur de qualité ne devant pâtir par le jeu des assurances des défauts de ses confrères et le client ayant découvert un entrepreneur de qualité ne devant pâtir lui non plus, par le jeu des assurances des défauts d’autres… le contrat privé ayant en terre anglo-saxon une valeur juridique supérieur à la loi et ce contrairement à la France, ou le contrat privé n’a de valeur uniquement que si il est prévu et est la loi.
Tout comme le notaire et ses frais, ni la TVA, ni les charges patronales, ni les taxes mairies n’existent en nord Amérique… toutes choses qui font qu’une maison en France c’est plus de 50% d’impôts et que le coût de construction en nord Amérique est deux fois plus faible qu’en France pour la même réalisation.
Je ne connais pas la situation au Japon, mais se serait intéressant de l’étudier, j’aurai attendu d’un architecte qu’il dispose de cette vision internationale…
De fait aucune vision juridique ainsi que de la situation légale et économique à l'internationale dans le bâtiment n'est transmise aux architectes dans les écoles d'architectes françaises ?
Pour revenir au sujet initial : la signature de complaisance.
Un architecte qui prend les productions de son client, y appose sa signature et valide le dossier pour dépôt de permis de construire, sans même jeter un œil à ces mêmes productions fournies par son client, tombe ostensiblement sous le coup de la signature de complaisance.
Le fait de la signature de complaisance, peut il néanmoins être retenu d’après jurisprudence, dans le cas d’un architecte qui recevrait les productions de son client, les vérifieraient toutes effectuant en réalité le travail qui doit d’être effectué et y apposerait après seulement sa signature ?
Il est stipulé que l’architecte doit être à l’origine et concevoir. La frontière alors au vu de la loi entre ce que le client peut amener de productions abouties et ce que l’architecte doit effectuer de lui-même comme travail, n’est de fait et sauf erreur, non précisé.
Aussi c’est l’idée de la question, la signature de complaisance ne serait elle pas, non pas le fait pour un client d’apporter un travail déjà abouti pour validation à un architecte, mais le fait pour un architecte de valider sans vérification le travail déjà abouti fourni par un client ?
D’après jurisprudence cette notion et faute ne réside donc t’elle pas dans le fait pour l’architecte d’apposer son sceau sans y avoir travailler, plutôt que dans le fait pour un architecte d’apposer une signature sur le travail entièrement vérifié fourni par un client ?
Dans tous les cas le client fournit toujours une part de plans, esquisses, croquis à l’architecte, ne serait ce que pour exprimer son désir. La législation ne précisant apparemment pas la précision ni le coté abouti des documents que peut fournir un client, la législation est elle respecter lorsque le client transmet admettons 2/3 du travail que doit fournir l'architecte, que ce dernier vérifie ce qui a déjà été produit et qu’il termine les plans manquant avant d’y apposer sa signature ?
Pour conclure et je n’aurai pue demander que cela, la signature de complaisance est elle la faute pour l’architecte de valider sans vérifier les plans et le dossier fournit par son client à destination du permis de construire, ou est elle la faute pour l’architecte de recevoir des plans aboutis de son client ?
le principal c'est que c'est une faute pour l'archi, un point c'est tout
Je suis néanmoins étonné de vos questions et réactions.
Vous m’enjoigniez pourtant et précédemment de citer les pays ou l’architecte ne serait pas obligatoire, étant vous-même incrédule face à cela.
Bien évidemment, vous ne cessez de faire des allégations gratuites, sans réelles références autres que vos propres certitudes… je vous enjoint donc à démontrer ce que vous énoncer, pas autre chose… votre discours est constamment sybillin, truffé d'annonces que l'on devraient entendre comme universellement acquises… je vous dis NON ! étayez vos propos, argumenter en vous appuyant sur des cas, des exemples tangibles & concrets & pas sur des affirmations dont de toutes évidences vous n'avez jamais vérifier les sources… vous réclamez un débat de fond !? alors cessez de nager en surface & de nous abreuvez de propos exclusivement superficiels !
Je suis de plus étonné qu'un architecte ne sache pas qu'aux USA l'obligation d'assurance notamment n'existe pas dans la majorité des cas pour le bâtiment.
Si vous saviez le nombre de choses qui m'étonnent & m'effraient ds vos propos !!
De fait aucune vision juridique ainsi que de la situation légale et économique à l'internationale dans le bâtiment n'est transmise aux architectes dans les écoles d'architectes françaises ?
Bien sur que non, on passe notre temps à visiter des sites d'architectures éculés dont personne n'a rien à foutre, à faire de la masturbation intellectuelle, & des petits crobards artistiques !! je rêve… vous semblez déjà noyé ds votre activité franco-française & vous nous parlez d'international, arrêtez vos constructions en Indica & préférez la paille, ça vous fera moins de mal, je vous l'assure…
Précisions :
Sloop vous nous donnezvia Wikipedia la définition du mot corporatisme :
"Le corporatisme est un terme faisant référence à deux concepts. Il s'agit d'abord d'une doctrine économique et sociale basée sur le regroupement de différents corps de métier au sein d'institutions défendant leurs intérêts. Par extension, ce terme qualifie aussi l'utilisation de pouvoirs économiques, sociaux et politiques par certains groupes puissants ne cherchant qu'à défendre leurs intérêts ou l'intérêt de leurs membres au détriment de l'intérêt général. On peut alors le considérer comme un système économique."
Moi, je trouve que ça correspond tout-à-fait à la profession d’architecte. Question de point de vue.
Ce n’est pas l’ « architecte » du Moyen-Age que l’on réfute mais celui d’aujourd’hui :, D’ailleurs même si le terme d’ »architecte » n’apparaît qu’avec La Renaissance, au Moyen-Age, nous trouvions bien des bâtisseurs, or, comme vous aimez pinailler, « architecte » dans le Larousse est bien défini par sa racine grecque « arkhitektôn » maître constructeur mais nous pouvons dire aussi bâtisseur, donc la boucle est bouclée. C’est en sortant de la Guilde de la soie au Moyen-Age, que l’architecte a voulu être identifié comme un intellectuel humaniste.
Mais ce dernier, lui, n’empêchait pas les autres de construire et de concevoir.
C’est donc l’architecte contemporain à travers la loi de 1977 qui s’est arrogé certains privilèges. Puisque depuis 1977 date aussi la protection du titre d’architecte. Avant, tout le monde pouvait construire.
Mon analyse est que sous la pression des gros groupes de constructeurs, Bouygues et consort, qui avaient la main mise sur toute une part de la construction de logements dans les années 1977 (30 glorieuses), les architectes ont fait pression sur les responsables politiques pour protéger leur profession. En tout cas ils ont obtenu des miettes selon moi. ; Car de deux choses l’une, où les architectes sont reconnus comme nécessaires, et à ce moment là c’est au premier mètre carré qu’il faut faire appel à eux, ou ça ne l’est pas, alors pourquoi ce curseur de 170m2 Au niveau structure, une maison de 100m2 a autant besoin de calculs qu’une de 170m2, c’est bien le signe que l’on ne reconnaît pas vraiment la compétence de l’architecte dans ce domaine. La guéguerre architecte/ingénieur fait rage depuis bien longtemps et est d’ailleurs toujours d’actualités ; D’ailleurs, pourquoi existe-t-il des architectes/ingénieurs comme Marc Mimram par exemple, si les compétences des architectes en ce qui concerne la résolution de problèmes techniques est avérées ? remarquez, il était peut-être ingénieur, et est ensuite devenu architecte, c'est souvent dans ce sens là que la formation se fait.
La médiocrité des paysages français est aussi du fait des architectes, car désengagés depuis bien longtemps de la conception de l’habitat individuel., Celui-ci, laissé à des promoteurs sans grandes ambitions architecturales, ou alors relevant de la pure mégalomanie (exemple du Val d’Europe, eurodisney) est venu coloniser, pustuler, nos entrées de villes, leur périphérie, gangréner les villages, et effectivement rompre un équilibre, ignorant l’existant, ravissant du territoire souvent sans contre partie.
Le paysage espagnol ou québequois, n’est pas plus à mon goût que celui de la France. Le littoral espagnol en sait quelque chose, même si j’affectionne Barcelone.
Architecte obligatoire ou pas. Donc ça démontre bien que l’architecte n’apporte aucune amélioration en terme de paysage.(il serait d’ailleurs profitable de laisser ce volet de conception aux paysagistes dont c’est le métier au lieu de toujours vouloir tout accaparer, l’architecture d’intérieure et le design aussi. Sinon soyez beau joueur et acceptez aussi que d’autres puissent aussi construire tout simplement).
Mais petit rappel, ni Le Corbusier, ni Tadao Ando n’avaient et n’ont de diplôme d’architecte dplg, alors aurait-t-on du interdire au Corbu de construire les cités radieuses, où tout le monde va se précipiter ce WE de journées du patrimoine.
Doit –on interdire Tadao Ando ?
Moi je suis pour la liberté de création.
Selon vous : « L'une des choses à faire évoluer, c'est l'absence de culture en matière d'architecture, la méconnaissance totale de l'environnement que vous croyez connaître, ou oserais-je dire… la trop grande certitude dans laquelle (trop souvent) tout un chacun à la conviction d'être omnipotent sur le sujet, et ce, malgré son absence de formation… »
Eh bien parlons-en de la formation :
Aujourd’hui il suffit de 5 ans pour être titulaire du DPLG d’architecte (réforme de la formation, loi parue en aôut 2005). Mais avec ce dplg, plus moyen d’ouvrir sa boutique, trop forts ces architectes Il lui faudra une année supplémentaire de maîtrise d’œuvre dans une grande agence pour pouvoir valider un certain nombre d’items. Si ça c’est pas un numérus clausus instauré par la profession pour limiter la création d’entreprise et se garder la plus grosse part du gateau…. Je rappelle que 20% des architectes traitent 80% des projets. Sympa ce qui reste aux autres, donc corporatistes mais pas solidaires ni partageurs….
Pour Immoval, dans cette formation on y suit des cours de :
histoire de l’architecture, histoire de l’art, arts plastiques, matériaux, sociologie( matière qui emmerde tous les étudiants, ne comprenant pas pour la plupart ce que vient faire un homme, les hommes, dans l’architecture, cours souvent séchés…)
géométrie descriptive, mathématiques, résistance des matériaux, structure, mais ces items varient en fonction des années d’étude, des options et des écoles.
Sans oublier « le Projet », celui qui fait bien rire jean Nouvel (revoir une conférence de Jean Nouvel, dialoguant avec Daniel Buren, où il évoque son scepticisme sur la valeur des dits projets, surtout dans les premières années d’enseignement, quand la plupart des étudiants sortent tout frais du bacc (souvent S d’ailleurs), n’ont rien vu ni rien vécu, et à qui on demande de conceptualiser des idées qu’ils n’ont même pas.)
Sur environ 120 étudiants de première année il n’en restera qu’une cinquantaine en fin de cycle, mais n’allez pas croire que ce soit tjrs les meilleurs. Sur les 120 du départ à la course au diplôme, 5 auront assez de génie pour monter leur agence et en vivre, les autres, auront bien été dégoûtés, y compris ceux qui avaient quelque chose à dire. 50 moins 5 il nous nous en reste 45, eh bien si ceux-là ne viennent pas grossir le nombre de demandeurs d’emploi (40% des jeunes architectes diplômés sur l’OUEST étaient sans emplois, 23 archi au chômage, rien que sur Rennes), ils finiront sous-employés par leurs congénères comme grateux, au smig, sans status de cadre, sans être inscrits à l’Ordre, dessinateur sur leur feuille de paie, des perspectives de carrières époustouflantes…
Quant-à ce fameux diplôme, j’encourage tous ceux qui le désirent à allez assister à une soutenance de TPFE, souvent en accès libre, pour rire un bon coup, chacun pourra juger du niveau pour un travail de 6 mois. Il y a quelques bons projets mais une foultitude d’âneries, et plus c’est gros plus ça passe. Je peux fournir des exemples aux intéressés. Eh bien malgré des erreurs grossières, et une analyse souvent approximative, La Corporation va délivrer le précieux sésame, car il faut bien auto entretenir la « Machine », et pas à habiter celle-là ! Eh puis, faut bien de la main d’œuvre bon marché, c’est ça la loi de l’offre et de la demande, puisqu’il y a plus d’architectes cherchant un emploi que de postes à pourvoir.
Ah oui, j’allais oublier, en première année pour ne pas « castrer » l’imagination débordantes de nos étudiants, en projets on vous explique que l’architecture c’est très simple, deux morceaux de cartons, un peu de colle, et roule ma poule, on zapp les problèmes de structures ; quant-à l’économie du projet, ça c’est un gros mot, faut surtout pas en parler.
Malgré tout j’apprécie certains projets d’architecture, certains architectes, certains projets sans leur architecte, qui sont parfois caractériels, et j’aimerais bien que les architectes montent un peu plus au créneau pour effectivement faire changer le regard de nos concitoyens et édiles. Ca relève de l’engagement, et de la conscience.
Pour le handicape, j'évoquais le décret n°2006-5555 du 17 mai 2006, qui effectivement prend en compte tous les types de handicapes. Reste à voir comment elle sera aplliquée.( accessibilité des balcons par exemples)
Sloop, pourquoi ne pas faire son auto-critique, nul n'est parfait, et on peut très bien soutenir la nécessité d'une profession, en abordant posément les travers de cette dernière.
Sloop, pourquoi ne pas faire son auto-critique, nul n'est parfait, et on peut très bien soutenir la nécessité d'une profession, en abordant posément les travers de cette dernière.
Imaginez-vous très sincèrement que j'ai besoin de venir sur un forum où la profession est lapidé sans vergogne, pour faire mon auto-critique ou celle de mes pairs ?
Avant un métier, j'ai reçu une éducation & croyez bien qu'elle laisse une grande place à l'auto-critique, mais quelle laisse aussi & avant tout une grande place aux hommes ; surtout à ceux qui ne tirent pas sur tout ce qui bougent ou qui assènent des vérités aussi suffisantes que leur négligence à vérifier leurs dires…
Si une formation était parfaite, si une profession ds son ensemble, pouvait prétendre être parfaite ne croyez-vous pas que cela se saurait ? si l'acte de bâtir, ne concernait que des entreprises, des archi, des ingénieurs, des services techniques, des clients, des auto-constructeurs, des marchands de biens, & j'en passe… absolument au dessus de toutes critiques, ne croyez-vous pas que cela se saurait ?
Je ne prétend pas défendre une profession (bien sur que nul n'est parfait), qui effectivement est peut être victime de ses propres dérives (citez m'en juste une.... une, SVP, qui n'en ait pas !!), pensez-vous que je sois dupe après 22ans d'exercice !?, pensez-vous que je ne mesure pas les lacunes de l'enseignement !?, les erreurs d'orientations des réformes qui ne cessent d'atteindre le métier. !?.. mais pour autant, pensez-vous que je devrais renoncer à mes convictions d'homme !? & laisser dire tout & n'importe quoi sous prétexte que ds chaque profession on ne trouve pas le meilleur de chaque famille ! & qu'il suffit à tartanpion de crier très fort pour faire que le discours d'un apprenti marchand de biens devienne de saintes paroles !!
D'ailleurs ! la critique s'inquiète bcp de compétence & de formation… qu'en est-il de la leur ? la non-formation de marchand de bien/promoteur à la petite semaine, d'auto-didacte-auto-convaincus doit-elle finalement elle plus reconnue ou respectable que celle validée par un diplôme d'état ????, pourquoi pas ! (d'en certaines circonstances)…! mais avant tout, n'auto-validez pas de diplôme d'Arrogance & soyez respecteux d'autrui !
Ce qui me dérange le plus, c'est que "l'immoval's attitude" ne me concerne pas directement en tant que professionnel (c'est navrant & réccurant ; on fait avec…), mais en tant qu'individu… un tel discours va bien au delà du pseudo-débat initial, la critique n'est jamais argumentée (la part belle est faite au "je sais que" ; "je suis sur de") & fondé uniquement sur la brève de comptoirs.., mais elle est surtout volontairement blessante, accablante de présomption, d'accusation puériles & d'ignorance affligeante ; constamment à la limite du diffamatoire & ça ! ce n'est pas acceptable !
Un tel discours sur la profession de boulanger, de relieur ou de pianiste me révolterait tout autant, je ne suis pas partisan, juste très choqué humainement…
Au demeurant, je vous remercie Olivier d'apporter un peu de réflexion à ce triste & limité (jusqu'alors) débat… j'ai lu votre long propos précédent & y répondrai bien volontier… dès que dispo !
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