C'est vrai , Le monde du batiment a évolué trés vite ces derniére années ,les réglementations thermiques ,et l'étanchéité a l'air ont modifié la donne en matiére de transferts gazeux dans le domaine de la mob bois et humidité stagnante c'est le mauvais couple ,la mob a surement influencé l'architecture en matiére de toit plat ou faible pente .  ,le plus sage est quand méme de se référer aux avis techniques et dtu .sur le net on voit de tout méme des schémas sans pare-vapeur.
Il est pratiquement impossible d'étre sur a 100% de l'efficacité d'un pare-vapeur fixé sous les solives avec du scotch aux raccords, et tendu dans le cas d'isolant insuflé .
Le plus sur est quand méme l'isolation au dessus de l'élément porteur .
Si un avis technique d'un fabricant précise que l'on peut isoler entre les solives avec un frein vapeur ou un truc gente intello et méme qu'on peut en rajouter au dessus du platelage je suis prét a suivre .

Ben voyons ! elle contourne les solives ,fait demi-tour et reviens voir dans la piéce ! c'est pas con un intello.

Si l'humidité pénètre dans l'isolant, celui séchera  plus facilement avec un frein vapeur.
Maintenant VMS dis moi ce qui se passe si l'humidité pénètre derrière un pare-vapeur étanche, l'humidité fait quoi ??

A toute fin utile (je ne fais pas la promo de leurs produits) Pro clima est conforme à la norme DIN 4108, donc chez les allemands on peux mettre un frein vapeur, chez les français c'est pas possible…

Concernant les DTU, la France a j'ai l'impression, souvent un métro de retard, depuis combien de temps les murs perméants sont-ils mis en œuvre en Allemagne, Suisse etc..

assez certainement un désordre
eventuellement un sinistre

couvert par les assurances.....

avez vous essayez de lire un peu ces quelques publication je pense qu'il en résulte quelques réponses aux questions posées
@+

c est ce qui se passe pour un mur…  on a une isolation    un osb et une paroi ventilé          donc on est dans le meme cas de figure

Je remet ça sur le tapis mais voici ce que j'ai trouvé concernant le DTU 43.4

Édition 156 - Juin 2009Document : NF DTU 43.4 P1-1 (octobre 2008) : Travaux de bâtiment - Toitures en éléments porteurs en bois et panneaux dérivés du bois avec revêtements d'étanchéité - Partie 1-1 : Cahier des clauses techniques types (CCT) (Indice de classement : P84-207-1-1)03/10/2011
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2009 CSTB - Imprimé par : sud Page 18 sur 85

5.5 Conditions particulières aux toitures chaudes isolées

5.5.1 Épaisseur de la couche isolante (cas des toitures chaudes isolées)
L'épaisseur de la couche isolante doit être telle que le point de rosée se situe au-dessus de l'écran pare-vapeur. On se référera pour le calcul à l'annexe C.

5.5.2 Finitions en sous-face
Les éléments porteurs peuvent recevoir en sous-face un revêtement, dans la mesure où celui-ci n'est pas étanche à la vapeur d'eau et permet donc les échanges hygrométriques entre l'élément porteur et l'ambiance du local.
Les finitions suivantes sont considérées comme permettant les échanges : laissé brut — peinture vinylique ou acrylique à l'eau — lasures et vernis — papiers non plastifiés — textiles tendus ; moquettes sans sous-couche.
Pour les finitions dont la résistance thermique n'est pas négligeable (par exemple panneaux fibreux décoratifs, isolants thermiques ou acoustiques), on doit s'assurer que le point de rosée reste au-dessus du pare-vapeur.
Les joints peuvent être soit cachés (baguette, couvre-joint, etc.), soit accusés pour la recherche d'un effet décoratif. Les joints apparents entre éléments porteurs ne doivent pas être pontés par un revêtement collé, ni un enduit, ni une peinture.

Puisqu'il est indiqué qu'on peut mettre un isolant en sous face et à condition que le point de rosée se situe toujours au dessus du pare-vapeur (donc celui collé sur l'osb), je ne comprends pas pourquoi il faudrait mettre une lame d'air.